Le scénario de ce second tome fait beaucoup pensé à Massada.
Après avoir repoussé l'ennemi grâce à un fin stratagème qu'ils n'avaient pas anticipé, la province de Shuo se retrouve à nouveau encerclée par les Turcs, plus nombreux, et plus déterminés que jamais à écraser tous les Chinois dans ils croiseront le chemin. Face à un tel constat, le gouverneur Heng Gongsun se trouve face à un choix cornélien : se sacrifier pour espérer que la population dont il a la charge sera sauve, ou alors mener un combat perdu d'avance.
Malgré quelques scènes au palais avec le traître Li Shimin, il y a peu d'action dans ce tome, et peu de nouveautés.
Bien que cette lecture n'ait pas été aussi palpitante que ce que j'attendais, je suis toujours curieuse de connaître la suite.
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