Le corps couturé de cicatrices et désormais estropié de Thorn se dessine comme le contre-pied de son esprit brillant, et comme le témoignage de son vœu ultime de faire le bien, le mieux, pour les siens et pour le monde dans lequel il vit.
Les lustres grelottent sur son passage, les meubles grincent, la pendule sonne un grand coup interrogatif. C'est ce qu'il trouve divertissant chez les Animistes. On finit par ne plus savoir qui, de l'objet ou du propriétaire, est celui qui appartient réellement à l'autre.