On a essayé de négocier avec lui, mais il avait le cerveau cuit par l’alcool. Il ne voulait rien entendre et nous disait que c’était trop tard, que l’argent ne rachèterait pas sa jeunesse.
On ne fusille pas les gens pour la mort symbolique d’un personnage de bande dessinée.
Je ne suis jamais gaie, mais je chante quand même : cela fait paraître le temps plus court et la vie moins mauvaise .
Pendant la guerre de 1914-1918, les Bretons ont servi de chair à canon pour épargner les vies des Français. Aujourd’hui, pourquoi les Bretons mourraient-ils pour la Pologne ? Aider la Pologne, c’est la mort assurée pour cinq cent mille Bretons. La Bretagne sera envahie par une armée de réfugiés, de nègres, d’Arabes, de Juifs, tandis que vos maris, vos frères seront au front. Les Polonais ne méritent pas que la Bretagne leur offre ce sacrifice.
Le paradoxe du nationalisme fossoyeur de l’idée même de nation ne pourra jamais être mieux démontré !
On ne leur apprend pas que le breton et le français. Ils font aussi des incursions en anglais, en espagnol, en roumain, en occitan. On n’oublie ni le grec ni le latin, pour leur montrer qu’une langue peut mourir, comme un être humain…
On le fait souvent par ici, quand on a un trou, on invente ou on va chercher dans sa mémoire des passages d’une autre chanson qu’on vient coller comme une rustine sur des paroles percées…
Il faut toujours se méfier de la mer, même quand on est né avec le pied marin… Elle ne fait pas de cadeau.