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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ce livre ne ma pas laissé indifférent.

D'un côté, je suis rentré tout de suite dans l'histoire, un jeune garçon Leif qui lors d'un combat au bâton va gagner un ticket bleu. Ticket bleu, qui va lui donner la possibilité d'être entraîné par le meilleur programmateur et le meilleur maître de lame et ainsi pouvoir combattre dans l'arène N°13.

Lors de son apprentissage chez Tyron, il fera la connaissance de sa fille, Kwin, une écervelée qui tout en lui faisant visiter les zones interdites pendant les nuits, les arènes et ses recoins, les abattoirs, lui fera enfreindre les règles dictées par Tyron. Mais que ne ferait-il pas pour Kwin.
Pendant son apprentissage, il fera la connaissance des Lacres,connaîtra ses premiers combats dans l'arène, mais également se sortir des pattes des chacals, où Kwin l'avait emmenée.
Il connaîtra les premières désillusions avec la mort de Kern, entraîneur et gendre de l'écurie Tyron, lors d'un combat contre Hob.
Leif découvrira les secrets de son père, ancienne légende de l'arène 13.
L'envie de combattre Hob se fera toujours plus grande et ainsi venger ses parents.

De l'autre côté, j'ai été déçu par l'intervention des cavaliers Genthai qui arrivés de nulle part, vont les sortir des pattes des chacals. J'ai trouvé cette sortie trop facile. Ça m'a gâché le combat de Leif et de Kwin contre les chacals.
J'ai été également un peu déçu par la longueur du récit. Je m'attendais à mieux au vu de l'épaisseur du livre, mais avalé en moins de 5 heures, pourtant je suis plutôt du genre lent. Je trouve cela un peu juste !!!

Je mettrais la note de 3 sur 5 pour ce premier tome, en attendant tout de même avec hâte la suite avec j'espère de bonnes surprises qui me fera remonter la note pour le tome 2.
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Leif a 16 ans et il n'a plus ni père ni mère. Il décide de quitter son sud natale pour aller combattre dans l'arène de combat la plus populaire du pays : l'Arena 13, celle où le monstre que tout le monde craint le plus exerce son pouvoir : Hob.
Pour cela, Leif demande au meilleur des entraîneurs de le former au combat. Seulement, Tyron, cet entraîneur, lui demandera de faire ses preuves.

Chez Tyron, Leif rencontrera Deinon et Palm, deux autres apprentis avec qui il partagera une chambre mais aussi Kwin, l'une des filles de son entraîneur. Kwin a un caractère assez fort et Leif se sent rapidement attiré par la jeune fille mais elle est également une grande source d'ennui et de danger pour lui et sa famille.
Cependant, Leif ne perd pas de vue son objectif : combattre dans l'Arène 13 et tuer Hob. Leif est déterminé.

Les scènes de combat sont très bien décrites et bien que sanglantes, ce n'est pas gore pour autant et les scènes décrites ne choqueront pas les ados.
Le héros évolue dans un monde dévasté, une ville sombre avec ses arènes de combat et Hob qui fait régner la terreur chez ses habitants.

C'est un livre très prenant même si j'ai trouvé qu'il manquait de rebondissements. L'histoire est intéressante mais un peu lente à se mettre en place et j'ai trouvé ça bien dommage. Cependant, ce roman est quand même accrocheur et j'ai déjà très envie d'avoir le tome 2 entre les mains pour connaître la suite.


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Pas de coup de coeur.
Même si je trouve l'univers bien construit, je n'ai pas spécialement accroché avec celui-ci.
Il est particulier et ne m'a pas complètement séduite.
J'aimais le concept des combats dans l'arène 13, mais au bout d'un moment j'avais l'impression de lire toujours la même chose…
Et je ne parle même pas de Kwin, héroïne rebelle capricieuse et insupportable...
Il n'y a que l'intrigue sur Hob qui m'a fait tenir jusqu'à la fin car j'attendais l'affrontement entre Leif et lui avec impatience, puis j'ai finalement été déçu que cela ne bouge pas plus et que Leif qui pourtant bouillonne de haine a son égard ne se montre pas plus féroce et réfractaire.
Cela ne m'a pas donné envie de lire la suite !!
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Arena 13 est une bonne trilogie, néanmoins elle est loin d'être la meilleur, le scénario étant assez courant. Malgré cela, les romans restent agréables à lire et il est très facile de se plonger dans l'histoire et de s'attacher à Leif , le personnage principal. Je le conseille pour l'approche que les livres renvoient car ils nous offrent un monde sérieux et plutôt sombre. de plus les personnages évoluent de façon assez importante a cause des épreuve qu'ils traversent ce qui leur donne plus de crédibilité et qui parfois même leur donne une dimension plutôt inquiétante...
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Arena 13 est le premier tome d'une nouvelle saga écrite par Joseph Delaney, principalement connu pour être l'auteur de L'Épouvanteur. Pas de Thomas Ward ou de John Gregory, cette fois-ci, mais un nouveau héros répondant au nom de Leif et de nouvelles créatures, les Djinns.

C'est dans un univers mi-médiéval mi-dystopique que nous entraîne cette aventure. Les humains, après avoir été vaincus par des machines devenues autonomes, ont été confinés dans Midgard, une infime portion du monde qui était autrefois le leur.

La couverture, sombre et sanglante, et le premier chapitre donnent le ton. C'est assurément à une histoire d'horreur que nous avons à faire, et pourtant... Je crois que je n'ai jamais été aussi frustrée par l'une de mes lectures que par celle-ci. Je m'attendais à beaucoup plus d'horreur, de frisson et de sang, mais j'ai été déçue.

Déjà, les combats dans l'Arène 13 ne sont pas aussi terribles qu'on pourrait l'imaginer. Il y a bien quelques duels à mort, mais ils sont assez rares, et les affrontements ne se font finalement presque jamais d'humain à humain, puisque ce sont les lacres, des robots-guerriers, qui mènent l'essentiel du combat.

La majeure partie de ce tome se concentre sur la formation de Leif en vue du Tournoi des Apprentis et l'action n'est pas au rendez-vous. Même lorsque quelque chose semble se présager, la tension retombe très vite (je pense notamment à la capture de Leif et Kwin et aux secours qui surgissent pour les sauver avant de disparaître aussi vite qu'ils sont apparus).

La fin marque tout de même un tournant à ce niveau et est plus à la hauteur de mes attentes, avec l'horrible trépas de l'un des personnages et la présence de Hob. J'espère que le tome 2 poursuivra dans cette voie plus sombre et qu'elle nous dévoilera des informations sur les éléments les plus intrigants de l'histoire, comme les lacres ou la Barrière.

Les personnages, quant à eux, m'ont laissé un sentiment mitigé. J'ai beaucoup apprécié Tyron, malgré sa attitude parfois bourrue, la prévenance de sa fille Tina et de son époux Kern, et même Palm, en dépit de son caractère méprisable, ne m'a pas déplu. S'il a des airs d'enfant pourri-gâté, ce n'est rien à côté de la capricieuse, égoïste et manipulatrice Kwin.

À cause d'elle, j'ai également eu du mal à adhérer à Leif, parce qu'il m'a agacée à se laisser entraîner dans toutes ces histoires qui lui ont valu un tas d'ennuis par la faute de Kwin, qui ne s'intéresse finalement à lui que lorsque ça l'arrange, et qui l'oublie ensuite en présence de son petit ami.

Je ne cacherai pas que cette lecture a été pour moi une déception. En tant que fan de L'Épouvanteur, je m'attendais à plus de la part de la nouvelle oeuvre de Joseph Delaney, et j'espère que la suite d'Arena 13 saura me faire oublier ce sentiment que m'inspire le premier tome.
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Ce roman me semblait un peu intrigant et me paraissait faire plonger les lecteur dans le monde des jeux du cirque romain.

J'avais en partie raison car une partie du monde des combats dans les arènes de Midgard s'inspire du monde des gladiateurs et des lanistes de la Rome antique. Cependant, ce qui est différent, c'est que les combattants entrent dans l'arène avec les "lacres" (humanoïdes qu'ils programment) et que les êtres humains subissent la domination d'êtres qu'ils avaient créés et qui se sont rebellés.
On a donc un roman de science-fiction post-apocalyptique bien original. Cette originalité du cadre donne envie d'en savoir plus et de suivre les pas du jeune Leif pour découvrir les secrets de son monde.

Le livre n'est pas épais et la pagination aérée permet une lecture des plus rapides.
De plus, l'intrigue avec ses rebondissements bien dosés est assez prenante pour que l'intérêt du lecteur ne faiblisse pas.
Côté personnage, le protagoniste principal, Leif, qui narre l'histoire est sûr de lui, déterminé dans son objectif et assez mystérieux (il nous relate que ce qu'il veut bien dire de son passé, par exemple) pour nous réserver bien des surprises au cours de la série.
Il a un côté mature bien au-delà de son âge (sa ténacité à parvenir à ses fins) et en même temps, il est aussi un adolescent comme les autres (notamment lorsqu'il cède à Kwin,la fille de son maître).

En bref, un bon tome de départ qui pose bien les bases de l'histoire et du monde et offre assez de pistes à suivre dans les tomes suivants.

A partir de 13 ans
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Nous suivons Leif dans ce roman, un jeune orphelin qui rêve de combattre dans l'Arena 13. Au début du roman il gagne un ticket de loterie qui lui permet de choisir son entraîneur au combat, il choisit le meilleur : Tyron. Leif se rend donc à Gindeen dans la capitale pour rejoindre un entraîneur, une ville dominée par une créature Djinn, Hob qui dirige par la terreur.

Des règles de combat sont données au départ. Je n'ai pas tout compris tout de suite mais c'est en continuant la lecture que l'on comprend et qu'on en apprend plus sur les Arena et les combats qui y ont lieu avec les lacres et leur codes de programmation. Les lacres sont des simulacres, des robots humains qui sont aux côtés du combattant dans l'Arena et qui sont programmés par lui.

Joseph Delaney a su se renouveler en nous proposant une nouvelle saga très éloignés de l'histoire de l'Epouvanteur mais pourtant avec une atmosphère très similaire. C'est donc un univers très éloigné de l'Epouvanteur mais le personnage principal est très proche de Tom dans son caractère et ses agissements.

On s'attache très vite au jeune Leif. Il fera aussi la rencontre de Kwin, la fille de Tyron. Une jeune fille au caractère dur et provocateur qui souhaite également combattre dans l'Arena 13 malgré l'interdiction aux femmes de combattre.

C'est un roman jeunesse beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît au premier abord avec un univers très riche et détaillé, entre la science-fiction et la fantasy.
Lien : http://frontwing.co.uk/blog/..
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Belle découverte ! Cela faisait longtemps que je n'avais plus lu un livre jeunesse :-) Malgré une histoire assez simple et pas une très grande profondeur des personnages, j'ai trouvé le livre prenant et divertissant !
Lien : https://meslecturesandco.wor..
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J'ai adoré l'univers dans lequel nous plonge Joseph Delaney, connu également pour sa saga « l'Epouvanteur ». Sombre, l'ambiance se veut malsaine et nous enferme dans un sentiment d'angoisse permanent. Hob, ce djinn effroyable a même fini par me donner la chair de poule tellement sa présence m'indisposait.
Ce roman futuriste a des allures antiques. En effet, l'humanité sous l'emprise de forces malfaisantes se tourne alors vers une échappatoire, une distraction : les jeux dans l'arène.

Les règles qui régissent les jeux sont innovantes, et l'on obtient un savant mélange de combats et de programmation qui m'a bien plu. Par contre, j'ai du relire plusieurs fois les règles émises en tout début du roman malgré les explications techniques données à Leif au cours de l'histoire car je me perdais assez souvent. Une fois cette barrière franchie, on ne peut que se délecter de l'intrigue pleine de rebondissements et rentrer en plein coeur de l'histoire. A la fin du roman, on n'a envie qu'une seule chose : lire la suite coûte que coûte !

Quant aux personnages principaux, j'ai été séduite par Kwin, une jeune fille intrépide qui se bat contre la condition que tente de lui imposer cette société masculine. Les femmes ne pouvant combattre, elle ne cesse de défier les jeunes apprentis et de s'entrainer contre la volonté de son père.

Pour finir, ce livre nous pousse à la réflexion notamment sur l'exploitation des lacres( créés à l'image de l'homme et devant obéir à des ordres programmés) mais aussi à cette « usine à profit" qui entraîne les « gladiateurs » dans leurs côtés les plus sombres. Entre succès, popularité et argent, ces combattants risquent bien de perdre leur âme !
Lien : http://bdineli.blogspot.be/2..
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C'est un livre qui se lit très rapidement. Bien qu'il avoisine tout de même les 400 pages, l'écriture est aérée et découpée en chapitres assez courts. Je tiens à dire aussi que j'ai trouvé la couverture magnifique et que c'est d'abord ça qui m'a poussée à lire le résumé.
J'ai passé un bon moment dans l'ensemble mais je ne cache pas que c'est une lecture qui ne restera pas gravée à jamais dans ma mémoire. L'idée de départ est pourtant très bonne. Il faut dire que j'adore les dystopies alors je ne pouvais pas passer à côté. le prologue laisse présager une histoire pleine de rebondissements, noire et captivante. du coup j'ai très vite lu les premiers chapitres avec l'espoir d'arriver à ce moment où je pourrais enfin être emballée. Mais c'est là que je suis déçue et que je reste sur ma faim. Je pense que l'auteur aurait pu aller plus loin dans les détails, dans les actions. Tout reste en surface, c'est dommage. Je pense qu'avec une idée pareille, on aurait pu avoir une histoire qui nous tienne en haleine et qui nous fasse frissonner. Malheureusement, on ne contente juste d'être spectateur d'un récit qui tire un peu en longueur.
Je me suis par contre vraiment prise d'amitié pour le personnage principal. C'est un garçon courageux, qui a de l'ambition et l'auteur lui avait vraiment donné ce qu'il fallait pour vivre de grandes aventures. Peut être que la suite me réservera une surprise car je la lirai tout de même avec plaisir. Ce moment de lecture reste bon et je vous conseille de le lire si vous ne vous attendez pas à trop d'action.
Lien : http://gwenetseslectures.blo..
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