Arena 13, tome 1

Il y a 700 ans, l'humanité connu un tournant dans les avancées biosynthétiques codifiables. Des êtres de synthèse, composés de chair et d'os mais dotés de capacités physiques très supérieures à l'homme furent ainsi programmés aux arts du combat : les « simulacres », également appelés « lacres ». Initialement dépourvus de conscience propre, les programmes militaires gérant ces lacres furent poussés à l'extrême et l'apparition d'un tout nouveau type de créatures artificielles s'autocréa. Celles-ci, les djinns, devinrent de redoutables prédateurs pour la race humaine. Ils générèrent à leur tour de nouvelles créatures de synthèse (cette fois, véritablement cauchemardesques) et plongèrent la planète dans une guerre mondiale que les humains perdirent, malgré leur haut niveau d'expertise technologique et l'emploi d'armes redoutables. La population humaine passa de milliards à milliers. Les survivants furent cloîtrés dans une zone ceinturée d'un brouillard surnaturel infranchissable : Midgard. Soumis et dépouillés de toutes avancée informatique, les humains y furent contraints de vivre dans des conditions quaisi-médiévales doublées de l'horreur de devoir composer avec la présence d'abominations régnant sur eux. En sept siècles, sous la domination des djinns, beaucoup de connaissances furent perdues et seule l'utilisation de simulacres persista, lointain prestiges d'une ère autrefois si moderne. Toutefois, l'encodage des lacres devint basique et minimale, réduisant ceux-ci à des automates tenant plus de l'objet que de l'animal et employés comme tels dans les treize arènes de combat servant de pierre angulaire à la civilisation ayant cours.

C'est dans ce contexte que le lecteur y rencontre Leif, un apprenti combattant de 15 ans, personnage principal et seul narrateur de l'histoire dans ce premier tome de la série. L'adolescent quitte sa région d'enfance, Mypocine, pour la ville de Gindeen, où il aspire à se battre dans l'arène 13, ultime lieu d'affrontement contre Hob, un djinn sadique responsable de la mort d'innombrables humains des environs et reconnu pour aimer se repaître tout particulièrement du sang des jeunes filles et des femmes. D'abord aspirant combattant, Leif rencontre Tyrion, un maître de lames réputé dans a maison duquel il sera mis à l'essai et rencontrera Deinon et Palm, d'autres novices, ainsi que Kwin, l'impétueuse fille de Tyrion dont l'attrait exercé chez Leif n'a d'égal que sa formidable capacité à mettre ce dernier en péril.

Le tout est raconté par Delaney avec beaucoup d'efficacité et de fluidité plaçant le lecteur dans la délicate situation d'être incapable de quitter le livre avant la fin : vivement les nuits blanches pour dévorer sans modération cette oeuvre si brillamment sombre!

Un premier tome très accrocheur.
On pourrait comparer ce début de saga à celle de l'épouvanteur. En effet on y retrouve le même schéma maitre/apprenti et les personnages ont sensiblement le même âge. Mais la comparaison s'arrête là pour moi.
L'univers oscille entre fantasy et science-fiction post apocalyptique.
Les personnages de Leif et Kwin sont très attachants. celui qui m'a le plus surpris est Tyron en comparaison plus humain que l'épouvanteur.
J'ai beaucoup aimé plonger dans ce nouveau monde. L'auteur prend le nous faire découvrir la ville et de raconter les légendes. On a le temps de s'imprégner de l'atmosphère avant que les hostilités ne démarrent.
J'ai hâte de découvrir le tome 2 et la tribu Genthai!

Résumé : Leif, un jeune garçon, arrive un jour dans la capitale du pays, Gindeen, afin de pouvoir être pris comme apprenti afin de pouvoir combattre dans l'Arène 13, lieu de combats de tous les dangers. Son objectif ultime : pouvoir défier Hob, qui terrorise la population, et le tuer afin de venger la mort de ses parents.

Mon avis : Ce roman de science-fiction contient de multiples références romaines, notamment en ce qui concerne l'entraînement au combat des gladiateurs.

Leif, jeune garçon dont les parents sont morts à cause de Hob, monstre qui règne sur les hommes par la terreur, arrive dans la capitale avec la farouche volonté de pouvoir combattre dans l'arène 13, où Hob défie à mort des combattants. Mais le chemin est long avant de pouvoir combattre dans cette arène, et Leif doit tout d'abord se trouver un maître afin de pouvoir entrer en apprentissage. Les entraînements sont intenses, mêlant théorie, programmation et pratique.

Et le danger rôde partout dans la ville, entre les sbires de Hob, un autre apprenti jaloux, et la fille de son maître, qui l'entraîne vers les pires dangers…

Un roman intéressant, mêlant histoire, combats, apprentissage, dans un monde cruel dominé par de sinistres créatures. L'auteur, connu pour sa célèbre série « L'Epouvanteur », poursuit son succès auprès des jeunes.
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J'avais super envie de découvrir l'autre série de Joseph Delaney, l'auteur de l'Epouvanteur. J'ai passé un bon moment de lecture, ce premier tome pose de très chouettes base et j'aimerais bien lire la suite. Il y a un petit problème de rythmique, mais trois fois rien, cette série est très prometteuse.

L'univers est très intéressant. On sent que notre civilisation d'aujourd'hui a disparu et a su subsister à travers quelques références intéressantes que l'on peut voir en début de chapitre. J'ai adoré l'aspect programmation qui me rappelle énormément le langage informatique (Java, HTML, etc.). Ca donne un très bon plus, surtout que les lacres sont très intéressants à voir dans ce récit. J'espère en apprendre plus sur eux. Pareil pour le peuple Genthai dont est originaire le père de Leif, ou encore les Chacals et Hob. C'est un univers riche, sombre, violent et captivant que nous présente l'auteur avec ce premier opus.

L'atmosphère est très noire. Leif est orphelin, son histoire est horrible, il va côtoyer les abattoirs de Gindeen ; la ville est le terrain de jeu et de chasse d'un être effroyable : Hob. Ce dernier tue, il laisse ses chacals manger les habitants, j'ai bien ressenti la peur, l'angoisse à travers certains chapitres. L'auteur n'épargne pas l'horreur de la vie, ni celle des combats dans l'Arène 13. C'est un monde singulier et peu réjouissant qui nous est offert avec ce tome, pourtant, j'ai adoré du début à la fin. C'est particulier, il y a une pointe d'humour, beaucoup d'amour dans la famille de Tyron.

J'ai adoré les personnages présentés, excepté Kwin et Palm. Tyron est formidable, un peu bourru, mais très exigeant, charmant et bienveillant. C'est un maître très formateur et intéressant, j'ai adoré tout ce qu'il fait pour ses élèves, pour sa famille. Tina et Kern forment un joli couple, Tina est la fille de Tyron et une femme sympathique, Kern est adorable. Deinon est gentil, il évolue au contact de Leif. Par ailleurs, notre héros est génial, j'ai pris plaisir à le suivre, même si j'ai trouvé qu'il me manquait un peu de partage. Je le trouvais par moment effacé et je me demandais ce qu'il pensait de tel ou tel fait. Sinon, il est très courageux, téméraire, c'est un bon guerrier, il a changé entre le début et la fin du tome. Kwin est la fille cadette de Tyron et je la trouve détestable, manipulatrice et caractérielle. Palm est le fils de riche, prétentieux et imbuvable. Je serais heureuse de les retrouver dans la suite, histoire de les connaitre davantage et de les voir évoluer.

L'histoire est intéressante. Je m'attendais à plus de combats, mais l'auteur a préféré développé l'ambiance noire et oppressante de Gindeen. On évoque le passé de Leif, ce qui le pousse à entrer dans l'Arena 13, ses déboires et ses espoirs. On découvre ainsi la ville, le contrôle de Hob, l'entraînement des combattants. J'admets que l'on a un tome très introductif qui sait toutefois sortir son épingle du jeu à plusieurs reprises pour offrir de très bons rebondissements, des émotions fortes et des révélations croustillantes. Si j'ai manqué d'un juste équilibre entre tout ça, si j'ai trouvé quelques longueurs, ça n'entache en rien mon enthousiasme.

J'ai pris plaisir à découvrir ce roman, parce que la plume de l'auteur est juste génial. Il a vraiment cette plume pour le fantastique, l'épouvante et le sombre — que l'on peut déjà voir dans l'Epouvanteur. Les descriptions m'ont directement plongée dans l'univers palpitant de l'Arène 13, les dialogues sont bien écrits. le tout s'avère construit, fluide et sympathique à lire. Je suis fan de l'ensemble.

En conclusion, Arena 13 est très différente de l'Epouvanteur. Seul l'aspect noir les rapproche. Ce premier tome propose un univers reposant sur les combats, sur une pointe de fantastique très terrorisante. Tout m'a captivé, j'ai adoré le style d'écriture, le monde de Gindeen, les notions abordées, les personnages auxquels je me suis vite attachée. L'intrigue se révèle agréable à découvrir. Et malgré ses défauts, j'ai été surprise agréablement par l'ensemble, je lirais sans hésiter la suite.
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Si le monde inventé par J. Delaney est un peu complexe avec une multitude de règles, des codes particuliers qui régissent les combats dans les arènes, on ne perd pas pour autant le fil de l'histoire et l'on suit les aventures de Leif, monté à la ville de Gindeen, pour entrer dans l'arène et devenir le meilleur des combattants de la plus illustre d'entre-elles : l'arène 13. Dans ces combats, les hommes se déplacent derrières des lacres (des créatures d'apparence humaines dénuées de conscience mais que l'on élève pour le combat) qu'ils commandent à l'aide d'un langage très élaboré. Si les mises à mort sont rares - on pense inévitablement aux gladiateurs - les accidents sont légion et dans l'arène 13, il reste possible d'assister à des combats fatals. Toute l'activité de la société est organisée autour de ces affrontements sur lesquels ce font des paris et pour lesquels, des factions avec leurs "maîtres de lame" entretiennent des équipes. Leif vient pour intégrer celle de Tyron, le plus célèbre maître de lame de Gindeen, il parvient à se faire engager comme apprenti.
Dès lors, le roman suit ce personnage, la narration est réalisée de son point de vue. C'est - pour ce premier tome - un roman d'apprentissage classique, avec les erreurs et les réussites, les mentors qui font progresser le personnage principal, ceux qui sont un obstacle dans sa progression (Palm, un autre apprenti issu d'une faille riche) et l'inévitable histoire d'amour (avec Kwin, la fille de Tyron). Rien de surprenant donc si ce n'est l'univers très sombre imaginé par l'auteur. La vie des hommes, dont on ne sait ce qui leur est arrivé, n'est pas enviable, ce qui reste de l'humanité est reclus dans un petit territoire dont il ne peut sortir (La Grande Barrière), mais c'est surtout Hob, sorte de monstre assoiffé de sang qui prélève régulièrement son dû, qui fait régner la terreur et vient aussi affronter les meilleurs combattants dans l'arène 13. Ce premier tome pose donc un certain nombre de jalons pour mettre en place un univers dans lequel la mort est fréquente avec force détails. le roman est bien écrit, ce sont de courts chapitres qui se succèdent dans un rythme bien calculé pour entretenir le suspens et donner envie au lecteur de poursuivre sa lecture. Chaque chapitre débute par une citation de livres de référence dans cette société et peu à peu les éléments s'imbriquent pour apporter un peu plus d'épaisseur et de signification à cet univers imaginaire prometteur...mais vraiment sombre.

Arena 13 est un livre que je voulais lire absolument, je ne me suis pas faite prier quand Beli m'a dit que l'auteur serait à Montreuil (Salon du livre jeunesse) pour l'acheter et le faire dédicacer.
Ce livre m'a beaucoup plu, le personnage principal Leif n'a que 15 ans (ce qui me bloque en règle général) mais je l'ai trouvé très mur pour son âge, il sait exactement ce qu'il veut et va tout faire pour réussir. Combattre dans l'Arena 13 est son voeu le plus cher, dans son village il était le meilleur au combat de bâton, mais dans la grande ville les choses sont différentes, les gens ne sont pas comme dans les campagnes, si vous n'avez pas d'argent, ni une bonne réputation si vous ne faites pas vos preuves, vous n'êtes rien. Leif va donc devoir faire ses preuves et trouver son mentor et à Guindeen le meilleur maitre c'est Tyron, c'est lui qu'il veut et il va tout faire pour montrer à cet homme qu'il peut être l'apprenti qu'il lui faut.
Dans cette ville les gens ont peur, des choses qui s'y passent sans que personne n'ait son mot à dire. Hob (c'est un peu celui dont on ne doit pas prononcer le nom), s'il vous veut, il ne vous lâchera pas, il peut faire de votre vie un enfer, vous prendre tout ce que vous aimer pour vous atteindre, il vous prend votre âme votre sang et donne votre corps au Chacals, c'est un personnage omniprésent dans l'histoire même s'il ne fait pas de grandes apparitions, on append à avoir peur de lui rien qu'en écoutant (lisant) ce qu'il se dit de lui.
Leif va donc devoir apprendre, ça ne va pas toujours être simple. Certains événements vont venir perturber son apprentissage et certaines découvertes vont être assez déroutantes, tout le monde ne veut pas le bien du jeune homme, certaines jalousies vont mettre sa future carrière en péril, il va devoir se battre encore plus fort pour parvenir à réaliser ses projets.
Beaucoup de personnages vont venir croiser le chemin de Leif, l'intrigue est bien menée, certains passages sont assez éprouvants, touchants voir même tristes, on se doute que dans l'Arena 13 il se peut qu'on n'en ressorte pas vivant mais on espère malgré tout.
C'est la premier fois que je lis un livre de cet auteur et je ne me suis vraiment pas ennuyée, on est projeté dans le futur et en même temps on a l'impression d'être revenu a l'époque des Romains avec les gladiateurs, les combats d'arène etc. Ce premier tome laisse présager un second qui je pense ne va pas nous laisser reprendre notre souffle, ce qu'il se déroule à la fin promet des émotions fortes, j'espère qu'il ne tardera pas trop.

On suit Leif dans ses péripéties, dans un univers dystopique qui mélange science fiction et péplum romain. Oui, c'est un mélange assez bizarre je l'accorde, mais l'auteur à réussit son pari. Je me suis plongée dans cette histoire les bras grands ouverts.

La mythologie mise en place est très pertinente, cependant à l'inverse vu que c'est assez complexe, j'ai parfois eu du mal à me situer dans l'espace ou encore comprendre les armes utilisées.

Les personnages sont très bien construits que ce soit Leif, le personnage principal de ce tome ou que les autres personnages secondaires. de plus, les paysages décrits sont juste incroyables.

L'auteur ne nous délivre pas toutes les réponses à nos questions. En effet, lors de son interview il a clairement mentionné que cette saga serait longue, et ancrer dans un univers complexe.

En clair, j'ai beaucoup aimé ce premier tome, bien que du coup, l'attente du second tome va surement être une torture. L'auteur a une plume qui m'enchante, j'ai vraiment hâte de suivre les aventures de Leif et de ses comparses.
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J'ai beaucoup aimé ce livre. Je ne me suis pas ennuyer même si la première partie n'est pas tellement centrée action mais sur la mise en place de l'histoire. le style d'écriture de l'auteur est simple et ça se lit donc assez facilement, la difficulté résidant dans le langage lié à l'arène 13.
Concernant le vocabulaire spécifique à l'univers, on se retrouve avec toutes ces nouvelles choses à comprendre et on est un peu perdu au début mais finalement on intègre vite les informations à savoir (au pire, il y a un glossaire à la fin du livre).
Ce qui est étrange, c'est l'impression en le lisant, que l'histoire est basé sur un contexte historique alors qu'en réalité il se passe dans le futur et on voit d'ailleurs pas mal de parallèle avec l'informatique. J'ai également été perturbé par le fait que dans ce fameux futur les femmes ont repris cette ancienne place du sexe faible. Je n'avais vraiment pas l'impression d'être dans un univers futuriste.
Je m'attendais également à quelque chose de plus « flippant ». Je n'ai eu peur ni même redouté les créatures qui peuplent ce roman. C'était un peu trop gentillet à mon goût disons. Cependant, c'est bine évidemment une question de point de vue et beaucoup de personnes arriveront probablement à ressentir d'atmosphère pleine de peur recherchée par l'auteur.
De plus, j'ai trouvé ce livre un peu trop jeunesse pour moi car certaines réactions sont vraiment enfantines.
Au final, j'ai apprécié l'univers d'Arena 13 car l'histoire est bien construite même si certains points ne m'ont pas vraiment convaincus. Je lirais donc la suite de ce roman avec plaisir.

Comment ne pas s'attacher à Leif ? Ce jeune orphelin, courageux et sensible, a quitté Mypocine, sa campagne au sud du pays pour arriver après deux semaines de marche à Gindeen, la capitale de Midgard. Sur place, il compte devenir le meilleur combattant de l'Arène 13, grâce à l'aide de Tyron, propriétaire d'une écurie (la meilleur !) de gladiateurs.
Joseph Delanay ne ménage pas le garçon car si le début semble plein de promesses (et presque trop facile), les choses se corsent un peu et il s'avère qu'il est finalement loin de toucher au but. de péripéties en coups de théâtre, l'histoire ne tombe jamais dans la facilité et pour un texte jeunesse se révèle assez violente et surtout loin d'être enfantine. D'autant qu'à côté de ces combats et de ce parcours initiatique, l'auteur glisse des robots humanoïdes, une goule terrifiante et des événements à venir liés à l'empire humain prometteurs............................
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Joseph Delaney dont les premiers tomes de sa série l'épouvanteur m'avait conquise il y a pas mal de temps et les arènes rappelant l'époque romaine que j'ai toujours appréciée, ça me paraissait le combo gagnant pour avoir un bon moment de lecture.
Et c'est un combo pas aussi gagnant que ce que j'imaginais.
Le début est long, très long si je ne devais pas écrire une critique je l'aurais surement mis de coté et j'aurai eu tort. La mise en place est longue surtout pour un roman pour ado mais la suite est très prometteuse.
Une fois que l'action arrive et que les éléments se mettent en place, le roman devient addictif et très intéressant, les pages défilent vite. La seconde moitié du roman change complètement l'opinion que l'on peut avoir au début. Un conseil : accrochez-vous!
Un petit plus qui m'a séduite : la présence d'indices assez variés qui laissent penser que l'histoire peut prendre différentes directions. du coup, la suite de la série est ouverte ce qui permettra d'être surpris par le choix de développement à venir.
Merci à Babelio et à Bayard pour ce premier tome d'Arena 13 qui après un début difficile m'a conquise