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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Pour tout vous dire, je n'avais jamais entendu parler de Vincent Delareux. En faisant quelques recherches rapides, j'ai découvert un jeune auteur de 23 ans, souriant, sympathique, propre sur lui, pas de quoi s'inquiéter. Maintenant que je l'ai lu, voilà le conseil que je pourrais vous donner : Ne vous fiez pas aux apparences ! Son livre est le négatif de son image !

Les premières pages ont d'ailleurs très vite confirmé mon erreur d'appréciation. Sans préliminaires, l'auteur nous emmène à la rencontre d'une famille particulièrement dysfonctionnelle. Elle est composée de membres, tous aussi mauvais les uns que les autres. Ces infâmes individus, emplis de haine et d'égoïsme, mettent en action leur méchanceté envers les autres. La tragédie n'est donc jamais loin et ils s'en donnent à coeur joie. le lecteur se retrouve plongé dans une histoire glauque, où tous les coups sont permis.

Après un début de lecture nuancé, avec des protagonistes excessifs et un peu caricaturaux, la magie (noire) a opéré sur moi ! Mes réserves ont été balayées par l'ambiance du roman. « Les pyromanes » appartient à ces romans sulfureux qui agissent comme un aimant. Les scènes malsaines et violentes se succèdent, je suis constamment dans le malaise, mais je reste absorbé par ma lecture. Les protagonistes sont ignobles, leurs actes le sont tout autant et pourtant ils ont un pouvoir fascinant indéniable. Cette aventure fait appel à tous les bas instincts de l'être humain et c'est ce côté sombre qui semble nous attirer.

Vous aurez compris que cette aventure littéraire n'est pas destinée à tout le monde. Incestes, cruautés, meurtres rythment le texte pour en faire un roman glaçant. Pour ma part, j'ai dévoré cette tragédie familiale, à la saveur très noire. Et j'ai maintenant hâte de découvrir ce que Vincent Delareux me réserve à l'avenir !
Lien : https://youtu.be/VSkN_6vhV2A
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Après le succès rencontré avec son premier roman, le cas Victor Sommer, Vincent Delareux sort son deuxième livre, Les pyromanes, qui retrace la vie d'un personnage présent dans son précédent roman. Les ingrédients sont quasiment identiques : des personnages particuliers, très mystérieux et une plongée en apnée dans les méandres de la psychologie humaine.

L'histoire se déroule dans un petit village de Normandie, où Thérèse Sommer est réputée pour tromper impunément son mari avec l'ensemble des hommes du village. Contre toute attente, Thérèse tombe enceinte d'une petite fille non désirée, qu'elle considérera immédiatement comme sa rivale. Cette fille, Françoise, sera élevée dans la peur permanente, elle ne connaîtra pas l'amour maternel ni paternel mais pourra se raccrocher à sa grand-mère, seule pointe de lumière dans son quotidien très noir.

Françoise grandit dans un environnement familial compliqué, puisqu'elle est rejetée par ses propres parents, ainsi que par l'ensemble des habitants du village et en particulier ses camarades de classe, qui tous, la catégorisent comme étant la fille de Thérèse la gourgandine. Cela l'oblige à se raccrocher aux seules pointes d'espoir qui jalonnent son existence, en l'occurence la religion et la figure de sainte Thérèse de Lisieux, qu'elle prendra comme point de repère tout au long de sa vie. Elle se découvre également une fascination pour le drame du château désaffecté du village, qui a vu un couple d'amoureux issus de la même famille se donner la mort pour s'aimer il y a plusieurs décennies. Un épisode dramatique qui bouleverse et obnubile la jeune femme.

Françoise est une jeune fille fragilisée depuis l'enfance, facilement influençable, naïve mais gentille, pour laquelle on ressent autant de compassion que de peine. Sa personnalité, tout comme celle de sa mère, est entourée de mystères indicibles, qui donnent de la noirceur au récit et une touffeur certaine. On a beaucoup de mal à comprendre leurs agissements, leur façon de penser, de réfléchir et d'agir. le comportement de la mère et de la fille prouve qu'elles souffrent de troubles mentaux qui peut facilement être considéré comme de la folie pure. Vincent Delareux nous plonge dans des méandres psychologiques complexes, qui donnent une dimension passionnante au récit mais aussi très angoissante.

Un très bon roman, percutant, fascinant, qui ne vous laissera pas indifférent. J'ai beaucoup aimé cette deuxième rencontre littéraire avec Vincent Delareux !
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Avec « le cas Victor Sommer », j'avais découvert un jeune auteur prometteur explorant les prémices de la folie chez un homme écrasé par une mère possessive. Avec « Les Pyromanes », Vincent Delareux confirme son aisance avec le roman noir psychologique en nous plongeant dans les origines de ce personnage qui, avant d'être figure maternelle consomptive, n'était qu'une petite fille en proie à un père alcoolique et abusif, mais surtout sous la tyrannie d'une mère dont l'égoïsme n'a d'égal que la cruauté.

Thérèse Sommer est une femme infidèle dont les plus grandes fiertés sont sa beauté et ses mâles conquêtes. Dans son petit village de Normandie, rares d'ailleurs sont les hommes qui n'ont pas déjà visité sa couche, ce qui assoit sa réputation d'ogresse du sexe et attise la jalousie des femmes trompées. Fière, libre et indépendante, Thérèse est tout à la fois reine et déesse en son royaume, n'ayant que faire de l'opinion des villageois et encore moins de celle de sa mère, la discrète Jeanne. Lorsque Thérèse accouche d'une petite fille après un déni de grossesse, elle voit en cette abjecte créature une rivale inacceptable qu'il faut enchaîner et briser.

La petite Françoise parviendra-t-elle à surmonter les tortures psychologiques infligées par sa mère, trouvera-t-elle auprès de sa grand-mère l'attachement sécure qui lui permettra de dépasser les abus parentaux, ou devra-t-elle se tourner vers la foi et les prières pour apaiser le feu qui crépite en elle, aspirant à un brasier vengeur ?

Les courts chapitres aux titres pleins de traits d'esprit s'enchainent pour dérouler le fil maudit de l'existence de Françoise. le style est efficace, fluide et sans prétention, les portraits de ces villageois tiraillés par leurs travers et leurs pulsions rappellent le réalisme des nouvelles De Maupassant. L'auteur est un fin observateur des noirceurs de l'âme humaine, qu'il aime explorer et décortiquer à la manière d'un fruit pourri. Avec cet antépisode de son premier roman publié aux éditions L'Archipel, l'auteur transforme l'essai et creuse une veine proche de celle exploitée par des romanciers que je suis avec plaisir, tel Franck Bouysse.
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Vincent Delareux publie son second roman Les pyromanes aux éditions de l'archipel et nous offre un thriller psychologique sombre et violent néanmoins envoûtant.

Bienvenue à Brézeville, au début des années 1950 dans un petit village en Normandie.
Thérèse Sommer, mariée et infidèle à Serge. C'est une névrosée, infidèle, car il n'y a que le train qui ne lui est pas passé dessus. Elle dicte sa loi à son petit monde comme à son mari, à sa mère qu'elle déteste et à ses amants qu'elle consume.
Serge est un marin-pêcheur alcoolique qui noie son mal-être au bar et qui est au courant des tromperies de sa femme.
Lorsque Thérèse tombe enceinte de Françoise, elle devient sa rivale. Mais l'une d'elles est de trop. Qui gagnera ?

Françoise grandit dans un univers sombre, malsain où elle est maltraitée, mais elle va implorer le ciel et prier les saints pour échapper à son calvaire.

Quand Françoise, rencontre son cousin Antoine, tout est bousculé et chamboulé.

Un conte terrifiant et cruel.

Incestes, mystère, maltraitance, meurtre et violence.

Les pyromanes est un roman noir psychologique parfaitement bien construit et amplement maîtrisé par l'auteur.

La plume de Vincent m'a une fois de plus emportée bien que certaines scènes violentes m'ont fait froid dans le dos. L'ambiance est très sombre, toxique et étouffante. Quelques lenteurs ont ralenti ma lecture en revanche, les chapitres sont courts et efficaces. L'auteur nous dresse des personnages profondément abominables et détestables.

Le lecteur tombe dans une ambiance glauque, malsaine et anxiogène et nous pousse à toujours en vouloir savoir plus sur cette famille dysfonctionnelle. Cette lecture est clairement addictive et rythmée !

Avec ce second roman, l'auteur frappe fort et va encore plus loin que le premier. Néanmoins, Vincent Delareux confirme incontestablement son talent d'écriture et je vous invite à le découvrir par vous-même.

Si vous êtes amateurs de romans noirs, psychologiques, historiques avec un brin pour les classiques, cette saga familiale est faite pour vous alors foncez chez votre libraire.

En revanche, une question m'a hantée tout le long de cette lecture. Vincent, où vas-tu chercher tout ça ??? Quelle imagination débordante !

Bravo Vincent pour ce nouveau roman réussi ! Cet auteur n'a pas fini de faire entendre parler de lui !
Lien : http://juliechronique.fr/202..
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Quand Vincent Delareux nous précise que Les Pyromanes donne un éclairage sur le cas Victor Sommer, son primo roman que j'ai tant aimé, il ne ment pas ... et pour un éclairage... il est violent.

On retrouve la plume précise et acérée de ce jeune auteur de talent. Il met en exergue les traumatismes de l'enfance, et leur hérédité ?
Il nous parle de rumeurs mais aussi de ceux qui n'ont pas parlé et savaient.

Il nous parle d'amour et de folie, de religion et de pêcheurs.

Dans ce roman, on remonte la lignée des Sommer ... enfin des Summer dont le nom fut écorché leur valant un rapprochement avec les allemands ... ça commençait mal post guerre mondiale.
Il y a Jeanne qui vit recluse avec ses poules ... mais va être la source de bonheur et de réconfort de ses petits enfants ... seulement savait-elle ? Était elle si ignorante ?
On peut se poser la question quand elle préféra taire les causes réelles de la mort de sa fille Thérèse.
Oui il y a a Thérèse : femme superbe qui sitôt mariée trompe son ivrogne de mari. Car pour Thérèse, être libre et exister, ça passe par son physique et son nombre d amants. A t-elle tant besoin d amour et pourquoi ?
Alors quand Thérèse tombe enceinte d'un amant, quand elle enfante une fille , ce n'est pas de l amour pour l'enfant qu'elle éprouve mais une rivalité extrême, un dégoût sans nom ... qu'on a du mal à expliquer ... quoi qu'il nous ramène à Jacqueline, sa petite soeur.
Oui Jeanne a une seconde fille que tous les regards attirent, qui est belle et intelligente et qui fuira la Normandie pour Paris au plus vite ... pour survivre ?

Et voilà que Françoise, fille de Thérèse, petite fille de Jeanne , mère de Victor Sommer, vit et grandit ... dans le malheur , dans la douleur, elle ne vit plus, elle survit... depuis qu'elle a recouvré la vue à 5 ans, elle est persuadée que le miracle est attribuable à Sainte Thérèse (ça ne s invente pas) de Lisieux. Et sa foi va vite devenir envahissante.

Jeanne, Thérèse et Françoise vivent à Brézeville, ce village qui vit des rumeurs comme Madame Bourguignon ou la Marmitte ..., mais ces rumeurs ne sont pas dénuées de fondement seulement voilà, ils savent mais laissent faire ...

La question est posée : la parole ... même libérée peut elle sauver ? Ou des actes sont ils nécessaires ? Qui sont les coupables ? Ceux qui savaient et n'ont rien fait ? Ceux qui ont survécu quitte à tomber dans la folie et se croire tout puissant ?

Je ne vous parle pas des hommes ici volontairement, j'en ai dit beaucoup déjà et tiens à vous laisser découvrir ce qui se trouvent entre les lignes.

Mention spéciale pour la référence au Château des Ravalet.

Bonne lecture à tous.
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Il y a quelques semaines, j'avais publié mon retour de lecture sur un premier roman d'un jeune auteur ("Le Cas Victor Summer"), Vincent Delareux. Aujourd'hui sort le deuxième : nous y retrouvons Françoise, la mère de Victor. Comment Françoise est-elle devenue cette mère étouffante, totalement liberticide ? C'est ce que l'auteur nous narre dans "Les Pyromanes" : comment la maltraitance se perpétue de génération en génération.
C'est très sympathique de pouvoir suivre l'évolution d'un jeune auteur que l'on sent talentueux, depuis ses débuts. La plume est belle, l'histoire est habilement contée, on assiste à la destruction de la jeune Françoise, au fil du temps, aux prises avec une mère maltraitante et un père qui oscille entre la maltraitance et l'indifférence. J'aurais certes encore mieux adhéré avec des personnages un peu plus nuancés, mais je pressens un joli futur littéraire à l'auteur.
Notez, au passage, l'esthétique de la couverture, très soignée, y compris à l'intérieur, une attention bien agréable pour les lecteurs.
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Françoise est née d'on ne sait quel amant de Thérèse, sa mère qui ne veut pas d'enfant mais nous sommes dans les années 50 au coeur d'un village normand où avorter est une abomination. Thérèse enferme son enfant haïe dans une pièce noire et ne cesse de la battre. Seule mémé, la grand-mère de Françoise lui apporte de l'amour et quelques joies trop brèves
Le mari de Thérèse est un fieffé ivrogne qui ne tardera pas à abuser de la petite. Pour seul bagage, Françoise ne reçoit que la religion de sa mémé et son culte pour sainte Thérèse qu'elle prie ardemment, et cette histoire que lui conte sa mère, celle des jumeaux hétérozygotes incestueux qui se sont pendus dans le château abandonné non loin de là.
A 13 ans l'enfant rencontre son cousin et en tombe passionnément amoureuse.

Une enfant détestée, violentée, abusée au vu et au su de tout un village qui aime mépriser et jaser sur cette famille mais ne lèvera jamais un doigt pour aider la petite, l'empathie étant la dernière de ses qualités. Une enfant baignée en sus dans une religion teintée de superstition et ces contes effrayants narrés par sa mère, peut-elle éviter la folie ou se construire autrement qu'avec une conception du monde et des hommes complètement erronée ?
Mais où sont donc les pyromanes ? Ce sont les foudres de Thérèse contre sa fille et le désir du père calcinant son âme. de quoi allumer chez Françoise les feux de la haine avant qu'elle ne brûle d'amour pour son cousin. Et nous sommes ballottés entre les feux de l'enfer et des flambées d'espoir, sans que nous n'en sortions apaisés.
Les personnages sont tout d'une pièce sauf Françoise, seule figure nuancée, complexe et riche d'un monde qu'elle s'est construit, un monde où le bonheur est rendu impossible car incendié à sa source.






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Après le cas Victor Sommer que j'avais adoré, Vincent Delareux revient avec les pyromanes, un roman où l'on retrouve la famille Sommer. L'histoire de celui-ci se déroule avant celle de Victor Sommer, mais peu importe, les romans peuvent se lire indépendamment, et sans ordre particulier.

Les pyromanes nous permet de « comprendre » un peu mieux les agissements, le caractère, de la mère de Victor. Si l'on avait déjà eu un aperçu du dysfonctionnement de cette famille dans l'ouvrage précédent, les pyromanes nous montre à quel point celle-ci est particulière.

Les personnages sont bien travaillés, l'ambiance est malsaine, pesante à des moments, et à juste titre. L'auteur nous embarque dans une sombre histoire où inceste et violence font parties du voyage.

C'est un roman noir où la psychologie a toute sa place, le récit n'est pas des plus joyeux, on oscille entre le bien et le mal.

Les chapitres sont assez courts, l'histoire prenante, une plume toujours aussi agréable à lire et prometteuse pour l'avenir. J'ai passé un très bon moment de lecture.

Le seul regret que j'ai, c'est d'avoir mis 15 jours à lire ce livre par manque de temps. Je pense que je me serai encore plus imprégné de l'histoire si je l'avais lu plus rapidement. Mais c'est un détail qui n'entache en rien la qualité du récit.
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🔥AU FEU !🔥
Les années 50, un petit village de Normandie. Thérèse défraie la chronique en couchant avec tous les hommes de la région au nez et à la barbe de son mari pêcheur. Cette belle femme est une vraie harpie, en guerre contre le monde entier et qui ne souffre aucune contrainte. Alors lorsqu'elle se retrouve mère d'une petite Françoise, c'est une catastrophe. Comment se construire lorsqu'on a été enfantée par un monstre ? Que comprendre du monde lorsqu'on grandit recluse dans la saleté et la violence ?

C'était la première fois qu'on lisait un roman de Vincent Delareux et ce fut un choc. Violence du récit, personnages sombres tout droits sortis de "Barbe Bleue", ambiance mystique flirtant avec le fantastique... On s'est retrouvées immergées dans une histoire effrayante de maternité non consentie et de folie, de croyance et de vengeance à laquelle on ne s'attendait pas du tout. Très loin de notre zone de confort, donc. Mais si on a eu du mal à éprouver de la sympathie pour les protagonistes de ce conte cruel, on a été sensibles à l'écriture de Vincent Delareux et à son imaginaire, qui nous a semblé inspiré du réalisme magique. Ce jeune auteur possède une plume envoûtante et sait créer des univers entre gothique, poésie et horreur, ne reculant devant aucun tabou. On a dévoré ces pages incendiaires avec angoisse et malaise jusqu'au dénouement terrible qui nous a laissées sans voix.
Pour ceux qui ont déjà lu Vincent Delareux, ce roman est en fait un prequel de son premier "Le cas Victor Sommer". Il vous tente ?
Vous connaissez cet auteur ?

Bisous et bon week-end 🌞Ne jouez pas avec des allumettes
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Les pyromanes, c'est l'histoire tragique de Françoise, une jeune enfant qui grandit entre haine et maltraitance. Elle vit dans un village reculé de Normandie avec sa mère Thérèse. Thérèse est une femme qui méprise, elle consume ses amants et prendre l'indépendance comme maître de vie.

🧨 Vincent, l'auteur, nous propose là des profils psychologiques différents et bien décrit. J'ai était fasciné par la recherche psychologique et par le développement des personnages qui rythme, ce roman, du début à la fin ! L'intrigue se met doucement en place et on s'attend à être rapidement transporté sur une fin qui s'annonce des plus enflammée!
À travers ce roman, on retrouve également des croyances, la religion comme espoir pour se sauver, sans toutefois imposer sa vision des choses et tout en gardant une certaine distance pour le lecteur. J'ai beaucoup apprécié car c'est en entraînant et on ne se lasse pas de cette histoire. On se prend d'attachement pour Françoise et on espère une fin heureuse pour celle-ci. Mais est-ce possible quand le parcours de notre vie semble être rythmé par le chaos et la haine ?

Un thriller surprenant et des personnages fort que je recommande vivement !
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