Louis Labarthe, cordonnier célibataire vit une petite vie bien tranquille rythmée par des parties de cartes avec ses amis, Porte, Portel et Porteret et de rares maîtresses.
Depuis son retour de vacances des Indes, madame Fauré, elle, marche beaucoup...
Je n'ai pas vraiment adhéré à cette histoire très confuse et vraiment peu passionnante malgré une très belle écriture et un sens de l'humour souvent présent. Les chapitres se succèdent sans ordre apparent et on peine à suivre le récit et les religions omniprésentes sont bien fatigantes malgré l'ironie des considérations les concernant.
C'est énervant de passer à côté d'un livre que l'on sent de grande qualité mais je me suis beaucoup ennuyé à sa lecture.
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Chagrin : "Ce mot a pour usagers des enfants et les amoureux. Mine de rien le mot chagrin couvre un immense territoire : tout ce qui revient blessé de l'enfance et de l'amour."
Les villes n'ont plus de campagne
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Comme un qui s'est perdu dans la forêt profonde : sonnets
Étienne Jodelle
Édition d'Agnès Rees
Préface de Florence Delay
Éditeur Gallimard
Collection Poésie, n° 574
« Étienne Jodelle, ce nom ne vous dit sans doute pas grand-chose et pourtant il s'agit d'un des sept membres de la Pléiade, ce groupe de poètes constitué autour de Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay. Un des derniers numéros de la collection Poésie chez Gallimard nous donne à le découvrir avec ce très beau recueil de sonnets avec ce titre superbe : Comme un qui s'est perdu dans la forêt profonde. Ce sont des sonnets, surtout des sonnets d'amour, mais aussi des sonnets politiques, des sonnets religieux... »
Guillaume, libraire à La Procure de Paris
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