premier roman de l auteur que je lis et sans doute dernier.
too much
voilà mon résumé : trop de rebondissements ahurissants d horreurs gratuites de personnages tordus et détraqués à la psychologie simpliste tous réunis dans seul roman
… trop de tout et rien de bon .
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Personnages? Caricaturaux.
Intrigue? Manque de crédibilité
Ecriture? Simpliste
Acheté "pour voir" vu les nombreuses critiques positives, y compris dans la presse et les sites littéraires spécialisés.
J'ai vu, j'ai lu et je ne suis pas convaincu.
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Si Récidive abordait les origines d'Hanah Baxter, son enfance et les relations compliquées avec son père, L'homme de la plaine du nord revient, sans transition aucune sur ses débuts de profileuse auprès de son mentor, Anton Vifkin, vingt ans auparavant. On n'échappe ni à son destin, ni à son passé, celui de la profileuse est peuplé de monstres et une fois de plus elle devra y faire face. Sonja Delzongle élabore une histoire efficace constituée de plusieurs intrigues assez prenantes et bien élaborées sur un rythme qui monte crescendo au fil du récit.En revanche,on ne retrouve ni la force ni la profondeur qui animait les précédant volumes L'accumulation de situations pas toujours vraisemblables, les abondantes coïncidences ou le hasard fait les choses à la perfection, bouscule quelque peu la crédibilité de l'ensemble. Le spectaculaire et l'extrême prennent le pas sur la réflexion au détriment de la profondeur des personnages qui affichent même une candeur improbable voir un comportement incohérent dans certaines de leurs actions. On a, de plus, le sentiment qu'Hanah Baxter se promène de façon éphémère à travers l'histoire, telle une invitée d'honneur, mais sans en faire réellement partie. Cela n'enlève en rien la qualité de l'écriture toujours parfaite ni à l'inventivité de l'auteure et, L'homme de la plaine du nord reste un roman intéressant et soigné mais classique, sans originalité,sans le petit plus que présentaient Dust et Quand la neige danse pour prétendre se démarquer des multiples productions du genre. Loin d'offrir un final en apothéose,"Invictus"tire discrètement sa révérence sans éclats ni panache,sur la pointe des pieds.
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