J'ai beaucoup aimé les 3 ou 4 premiers chapitres qui montrent à quel point l'archéologie (couplée à l'histoire) peut contrarier le "récit national" et ses images d'Épinal. J'ai bien aimé aussi les deux derniers. Les chapitres intermédiaires m'ont moins intéressé, car ils ne concernent pas l'histoire de France (ou de l'Europe) mais celle de la discipline face aux faussaires ou à la difficulté de développer et de maintenir l'archéologie préventive.
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