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Citations sur UnPur (24)

On peut mourir et vivre longtemps. On peut vivre et mourir chaque jour.
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Les parents du petit sont occupés à se faire des mamours, les imbéciles, ce sera leur faute ce qui va arriver. Ils n’écoutent jamais les infos ? Ils ne connaissent pas les statistiques ? Des milliers d’enfants sont enlevés de par le monde. Ils se croient au-dessus du lot, les amoureux ? Protégés par leur bonheur ? Tant pis pour eux, ils sont dans notre viseur, et leur désinvolture va leur coûter leur vie entière. J’enrage que ce soit si facile.
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"La fêlure d'une mère, elle est votre blessure à vie"
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Je découvre les couchants qui sont une crête rousse aux vagues, lorsque sur la plage l’eau se retire, mon reflet à être mordoré me paraît moins noir.

Aucun jour ne se ressemble, c’est affaire de lumière, tenter d’en pénétrer le secret vous occupe un homme.

Sous un ciel infailliblement vaste, j’échoue à m’enfoncer dans un ventre salé, à peine j’y entre que les vagues m’en expulsent. Je joue à saute-nuage le long du rivage, enjambe leurs ombres sur le sable mouvant. L’écume, son bouillon, viendra bien assez vite pour les avaler.

D’autres soirs, la pluie tambourine sur l’océan devenu pâle, l’horizon ceint d’une écharpe de brume chaude. J’aime alors être dans l’eau, sentir le ciel la frapper, y échapper. Les fléchettes d’eau douce rebondissent sur la peau de l’océan bouclier de la mienne. Le sable sous certaines lumières a le grain d’une chair à vif, j’y irrite mon gland à coup de râpe, je veux abolir l’inavouable.

Si je le pouvais, je remettrais après l’avoir fouillé chaque grain de sable à sa place.
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Je ne peux faire autrement que penser à nous trois même si cela agrandit la tristesse. Mais un jour j’arrête, l’espoir ne fait pas forcément vivre, non. L’espoir, ce ne sont que des lettres attachées, et elles m’entravent. Un prisonnier ne peut pas ajouter à son enfermement, et à la fin je me garde de vous, mes tant aimés. Et crois me libérer de vous. Je ne laisse plus le souvenir me ronger, et j’arriverai à rester vivant.
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Quand le passé n’est jamais assez loin, le présent paraît hors de portée.
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«  On se roule soi- même à se vautrer dans ce qui aurait pu être.
La culpabilité en fait son miel .
Elle a mordu mon âme, en a déchiqueté un bon morceau, ça ne se recoud pas . »
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J'ai fait le plein de désastre. La vie manquée. La répétition de l'effroi mois après mois. Je ne suis pas cet enfant mort au fond de mes tripes, je ne suis que sa dépouille, elle n'a pas de coeur, rien qui pourrait me sauver.
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La vérité, on en fait ce que l’on veut, ce que l’on peut. On fait avec. Elle est une guimauve que l’on étire. On la tord, et elle prend toutes les formes, revêt l’apparence qu’on lui donne.
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"La fêlure d'une mère, elle est votre blessure à vie"
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