On pointe rarement du doigt le vrai ravage dont les journaux féminins et l’industrie cosmétique sont responsables : faire croire à une nation de boudins qu’elles peuvent, en faisant quelques efforts, avoir l’air d’autre chose que de ce qu’elles sont…
Achète-toi tout ce que tu veux, ça ne remplira jamais le vide qui te dévore le coeur.
" Là, tout de suite, je voulais surtout aller m'acheter un camion pelleteuse, creuser un trou dans le sol et m'ensevelir en attendant que le temps passe."
"Je suis la peste, le choléra,
la grippe aviaire et le bombe A.
Petite salope radioactive,
mon coeur ne comprend que le vice.
Transuraniens, humains poubelles,
contaminant universel."
Les enfants sont les vecteurs autorisés de la sociopathie des parents. Les adultes geignent en faisant mine d'être dépassés par la vitalité "destroy" des petits, mais on voit bien qu'ils jouissent d'enfin pouvoir emmerder le monde en toute impunité, au travers de leur progéniture. Quelle haine du monde a bien pu les pousser à se dupliquer autant?
Les Français ont besoin de voir des pauvres qui ne les insultent pas. Ils savent que s’ils montent dans un bus blindé pour s’extasier sur les conditions de vie des pauvres dans leurs banlieues, ils vont se faire brûler le bus. Ca les met dans la détresse : toute cette pauvreté sur laquelle ils pourraient s’attendrir, lâcher une petite pièce et donner leurs vieilles fringues. Mais ces pauvres-là sont méchants. Ca complique les choses, pour la charité chrétienne. (p. 179).
Une gueule d'ange. Une âme de salaud. Un classique.
Achète-toi tout ce que tu veux, ça ne remplira jamais le vide qui te dévore le cœur.
"à trois mille cinq cent euros le trimestre, j'imagine que les gamins qui se font exclure doivent avoir au minimum essayé d'en tuer d'autres à la tronçonneuse."
Les femmes quittées après cinquante ans par des maris qui veulent la jeunesse affirment volontiers « J’aurais préféré qu’il me quitte plus tôt, j’aurais pu refaire ma vie ». Elles ne savent pas ce qu’elles disent. Il n’y a rien de pire qu’être quittée avant trente-cinq ans. C’est être quittée pour ce qu’on est, sans pouvoir rien mettre sur le compte de la vieillesse…