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3,58

sur 1880 notes
C'est pas bien nouveau, je suis une feignasse. Alors pour m'initier enfin à l'oeuvre de Despentes sans m'enquiller d'emblée les trois tomes de Vernon Subutex (qui nonobstant me tentaient considérablement, merci les zamis babelionautes) j'ai opté pour la facilité avec Apocalypse bébé.

Où l'on découvre une ado fugueuse pistée par une détective un peu paumée, elle-même flanquée d'une consoeur du genre atypique (la Hyène qu'on l'appelle, juste pour donner une idée…)

En marge de ce trio aléatoire l'on dénichera en vrac et principalement
- un écrivain frustré,
- une mère indigne,
- une belle-mère étriquée,
- une religieuse pas nette (comprendre une ecclésiastique chelou, et non un chou périmé).

Et là tout de suite j'ai envie de dire, Virginie, j'adore ton ton (je veux bien qu'on se tutoie si ça dérange pas, sinon pour la blagounette ça le fera pas). Efficace, intelligent, parfois trash, souvent grinçant, ton ton Virginie (pas tata, commencez pas à m'embrouiller vous là-bas) je l'ai grave apprécié.

Mais pas que.
J'ai aimé aussi le déroulement inattendu de l'intrigue, savouré les portraits cyniques et si justes de tes personnages et l'habile alternance de leurs points de vue respectifs, sans oublier la redoutable dimension sociologique de ton propos.

Tranquille, j'ai donc joyeusement dégusté tout ça… pour au final prendre en pleine face le dénouement-qui-déchire sans vraiment l'avoir vu venir (feignasse ET lente à la détente).

Réjouissante lecture, mémorable claque.

Finalement je n'aurais que reculé pour mieux sauter, car à présent bien sûr les Vernon Subutex me tentent plus que jamais.

PAL+ 3 du coup, j'avais bien besoin de ça. Merci Virginie.


Lien : http://minimalyks.tumblr.com/
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Virginie Despentes au sommet de sa plume.

Provocante. Sincère. Dingue. Indétrônable. Bouleversante. Choquante.

Valentine, ado rebelle s'il en est, a disparu et nous suivons Lucie et La Hyène, parties à sa recherche. Un duo truculent qui m'a fait parfois éclater de rire pour de vrai (genre t'es dans le métro et tu te marres, sauf qu'en vrai, je prends jamais le métro mais bon, vous m'avez compris).

Comme elle sait si bien faire, Despentes nous parle de gros déglingos, abimés par la vie, de beautés vulgaires adeptes de coke et de sexe ou de rebelles sans cause prêt à tout casser. Tout le monde s'en prend plein la gueule. Elle parle de notre société, de notre époque, comme un Zola en son temps, et chronique des destinées plus ou moins recommandables, égratignant au gré des pages tout ce qui pourrait s'apparenter à du politiquement correct et bordel, que ça fait du bien ! Virginie Despentes, elle secoue son lecteur et s'amuse à souffler le chaud et le froid, le pathétique et le terrible en deux trois phrases. La fin m'a ramassé, éclaté en plein vol. Fini de rigoler …

Difficile de qualifier ce roman. Polar. Roman d'anticipation. Romance trash. Grand roman au final.

Perso, La Hyène entre dans mon panthéon des personnages littéraires inoubliables. Une nana obsédée sexuelle, au verbe haut, violente à l'occase mais tellement cocasse.

On pourrait trouver Despentes trop bobo, trop vulgaire, trop, trop, trop et trop : on aurait sûrement raison.

Mais c'est tellement bon l'excès dans ce monde un peu tiède, en attendant l'apocalypse.

Lien : https://labibliothequedejuju..
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Première fois que je lis un Despentes, et je ne sais pas encore si on m'y reprendra. Je n'ai pas réellement été déçue (je ne m'attendais à rien de précis en le commençant), et je n'ai pas tout à fait détesté. Je l'ai lu parce qu'on me l'a prêté, par curiosité.
Selon moi, l'enquête sur la disparition de Valentine (ado écorchée vive, je me demande comment on peut avoir si peu de respect pour soi-même) n'est pas la partie la plus intéressante, je l'ai trouvée plutôt banale et prévisible dans son déroulement, vu le contexte et les personnages : Lucie, détective plutôt gourde, fait appel à la Hyène, professionnelle du genre, aux réseaux tentaculaires et aux méthodes peu orthodoxes. Pas étonnant donc qu'en quelques coups de poings et/ou de téléphone et/ou de tam-tam, celle-ci localise Valentine. On pressent également le dénouement à partir du chapitre sur Elisabeth.

Le « mérite » de ce livre tient dans sa galerie de personnages et leur excellente analyse.
Après, il faut prendre son parti (ou pas…) de la débauche de vocabulaire grossier, vulgaire, de la violence sous toutes ses formes, des scènes orgiaques et/ou glauques. Il faut également se « farcir » les opinions/réflexions négatives de l'auteur (Apocalypse bébé, ou « Despentes contre le monde entier »), qui flingue tous azimuts (les femmes en particulier), et qui donne l'impression (comme dit dans un autre commentaire) que seul l'amour lesbien est authentique.
Je me suis demandée si ce livre était autobiographique, et si l'auteur, telle une Lucie à côté de ses pompes, ne se rêvait pas en Hyène…

J'ai trouvé la fin totalement bâclée et incohérente par rapport à l'ensemble du récit. En effet, celui-ci est contemporain et réaliste, mais dans les dernières pages part dans un total délire et veut se la jouer anticipation dystopique, en ratant complètement son objectif. le mélange des genres est inopportun à ce stade du récit.
Beaucoup trop de questions restent volontairement en suspens (entre autres, l'objectif d'Elisabeth ou de ses « employeurs » en utilisant Valentine). le but est peut-être d'alimenter la théorie d'un complot universel, mais là aussi l'effet est raté, et j'ai eu la nette impression que Despentes elle-même ne savait pas comment terminer son histoire.

Nihiliste, excessif, trash, violent, l'accumulation m'a écoeurée. Ce livre ne laisse pas indifférent, le plus effrayant étant de se dire que cette fiction n'est peut-être pas si éloignée de la vérité.
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J'ai été très déconcertée par ce roman de Virginie Despentes. Je suis restée dans le sillage de Lucie Toledo, détective privée et de Louise Bizer, surnommée la Hyène, acienne avocate du barreau de Paris en charge de missions très spéciales dans une quête haletante et rythmée.
Leur objectif: retrouver Valentine Galtan, adolescente en fugue, fille d'un écrivain renommé au succès très relatif.
Les personnages sont croqués au vitriol, écriture "Despentes" oblige!
Mais dans ce roman, priorité à l'action, donc point ou fort peu de dialogues à la "Audiard". Il est vrai que nous naviguons dans des milieux plutôt "bobos". Heureusement que Valentine est là pour relever la "sauce"! C'est pas de la tarte cette gamine, un prénom romantique à l'eau de rose, bien mal porté vous en jugerez par vous-mêmes!
Apocalypse bébé est avant tout une enquête policière avec cette petite touche irrévérencieuse propre à Virginie Despentes. Mais derrière cette plume acerbe, on sent toute la tendresse d'une femme pour l'adolescence délaissée affectivement, et une infinie tolérance pour l'autre quelles que soient ses inclinations sexuelles.
Avec Virginie Despentes, on ressent toujours ce frisson de découvrir les failles cachées, les fragilités sous la force et la vigueur apparentes.
Peu de style direct donc, mais des personnages dont les actes deviennent petit à petit significatifs au fur et à mesure où nous apprenons à les décrypter.
Fulgurant!
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CHALLENGE ATOUT PRIX 2015/2016 (20/20)

Prix Renaudot - Général - 2010

Pardonnez mon manque de culture mais Virginie Despentes, je ne connaissais pas. Parcourant ma PAL monumentale faite souvent de livres troqués ou achetés dans des brocantes, à la recherche d'un prix littéraire pour terminer mon challenge Atout Prix, voilà que je tombe sur ce roman à la couverture jaune fluo et au titre plutôt marrant qui m'évoquait les tribulations d'une mère de famille et de sa progéniture... Ceux qui connaissent comprendront ma méprise. Ma lecture terminée, en me penchant sur sa biographie, je découvre que cette auteure est spécialisée dans le trash et je ne peux désormais que confirmer.

Je suis pourtant entrée très facilement dans l'histoire de Lucie, cette détective privée plutôt banale, chargée par la grand-mère qui la soupçonne de mener une double vie, de suivre Valentine, une adolescente issue d'un milieu bourgeois. Cette dernière ayant échappé à sa vigilance s'est évanouie dans Paris, Lucie se voit donc obligée de partir à sa recherche. Doutant de ses compétences, elle s'adjoint les services de La Hyène, jeune femme aux multiples contacts en tout genre et spécialiste de la traque. La longue descente aux enfers peut commencer car l'adolescente pour oublier sa solitude et le manque d'intérêt de sa famille se réfugie dans le sexe et la drogue et fréquente les milieux les plus sombres.

Virginie Despentes nous dépeint une société moderne dans tout ce qu'elle a de plus laid, où il est très facile pour des jeunes livrés à eux-mêmes de se laisser entrainer dans toutes les dérives. Rien ne trouve grâce aux yeux de l'auteure à part les relations homosexuelles féminines qui occupent une grande partie du roman. Pourtant, malgré la débauche et la violence décrites, j'ai quand même apprécié l'écriture où perce un humour caustique et la finesse de la plume lorsqu'elle n'est pas trempée dans le vitriol. J'ai aimé aussi la construction du roman où les chapitres avec Lucie comme narratrice de son enquête, alternent avec les portraits des différents personnages qui ont côtoyé Valentine.
Ce roman très dense est à la fois un polar d'une noirceur parfois insoutenable et une satire sociale sans concession où l'on s'aperçoit que la richesse ne comble pas le désespoir du cœur chez les adolescents. Évidemment, il faut aller au bout de la lecture pour comprendre le titre. Une lecture assez particulière à laquelle j'accorde un 13/20.

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Valentine a disparu. Fugue, enlèvement, meurtre? Pour Lucie, détective privée, il ne va plus s'agir de la suivre mais de la retrouver. La prime justifie les moyens : elle se fait aider par la Hyène, dont le surnom est à l'image du personnage.
On est alors embarqué dans un tourbillon de personnages plus déglingués les uns que les autres, chacun bien droit dans les bottes de sa propre logique, sur les traces de cette gamine paumée, égarée au sein de sa famille tuyau-de -poêle.
Personne n'y échappe. Avec une acuité cynique et clairvoyante, Virginie Despentes dézingue. Les bourges, les ratés, les nantis, les pauvres, les cons et les intelligents, tous dans le même panier. C'est toute notre société qui est passée au décapant, non dilué.

Le style est abrupt, mais adroit, les dialogues plus vrais que nature. Ni métaphore ni euphémisme, du brut de décoffrage. Et ma réticence à le lire (mes précédentes incursions dans l'univers de l'auteure n'avaient pas été, loin s'en faut, une expérience extatique) s'est trouvée métamorphosée en un vrai plaisir de lecture, d'autant que le mystère de la disparition de la gamine agit comme une carotte devant le nez d'un âne.

Même si l'on est conscient de ne pas vivre au pays de Candy, ou des Bisounours, il est certain cependant que cette vision du monde est celle du verre à moitié vide. Et il vaut mieux ne pas être trop dépressif pour ressortir indemne de ce type de roman.

Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Ce livre est l'exemple typique du livre que je n'aurai jamais lu si on ne me l'avait pas prêté ! Je n'aime pas les livre avec un langage vulgaire, je n'ai pas d'affection particulière pour les polars, enfin rien ne m'attirai vraiment en fait. Mais finalement j'ai quand même eu envie savoir le fin mot de l'histoire. Et ma fois j'ai pas été déçue au final !

Donc amis du trash et de la décadence ce livre et pour vous et pour les autres aussi !
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Pas de coup de coeur pour le premier roman de Virginie Despentes que je lis. Cette recherche d'ado fugueuse réalisée par deux enquêtrices, dont l'une plutôt atypique, n'est que l'excuse pour tracer au vitriol une critique acerbe de toutes les moeurs dites "bourgeoises".

L'auteure porte un regard sévère sur tout ce que l'on peut nommer « institution » qu'elle soit de l'ordre du privé comme du public. Elle vilipende les « pauvres têtes asphyxiées par la beauferie hétérocentrée ».

C'est cash, méchant, avec quelques maximes personnelles sans grand intérêt comme « la richesse est un épais matelas, elle amortit les chutes, permet de se relever »... et j'en passe.

L'auteur a ainsi trouvé sa cible : ceux qui se lèvent le matin à heure fixe pour aller travailler, ceux qui possèdent quelque chose, ceux qui éduquent une progéniture … bref le système.

Certes, tout n'est pas rose dans la société humaine moderne, il faudrait être idiot pour ne pas le reconnaître, mais un peu de tolérance, et de compréhension de l'Autre, dans ses travers et ses erreurs aurait plus d'intérêt que ce type de roman plus agressif qu'analyste.

Lien : http://justelire.fr/apocalyp..
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Despentes met son enquêtrice préférée, La Hyène, motarde cloutée, homo inconditionnelle, à la fois nounou cynique et semeuse de trouble bienveillante, sur les traces d'une ado rebelle, Valentine - et surtout paumée- qui est tellement à l'ouest qu'elle devient un danger potentiel pour elle...et pour les autres: cette petite-là, entre de mauvaises mains, c'est de la dynamite...

Comme à son habitude, V.D. émaille son enquête de portraits pleins de chair et de relief, focalisant son récit sur une pléiade de personnages auxquels on s'attache, chemin faisant, et qui sont autant de minis voyages dans le grand périple de l'enquête elle-même, - son récit...ou plutôt celui de son avatar, la timide Lucie, narratrice et "privée" à la gomme qui a bien besoin d'un coup de main, voire d'un coup, tout court, un bon, si possible, pour sortir de sa léthargie de gourdasse hétéro...Heureusement, il y a Barcelone, La Hyène attentive et ses amazones secourables...La gourdasse va être très vite initiée à une autre vie...

Sautera, sautera pas? Entre Valentine et Lucie, le lecteur a du grain à moudre...même si la fin est un peu...téléphonée, si je puis me permettre d' utiliser cette expression..

Au passage V.D. sème à tout vent et à tout va des petits bouts de son existence à elle dans des existences étrangères : celle d' un écrivain "sans réseaux", celle d'une hétéro sans éclat qui soudain a la révélation du saphisme, comme Claudel celle du Christ, derrière son 13ème pilier, celle encore d' une ado sans amour qui voudrait tant qu'on fasse attention à elle qu'elle se perd dans les drogues, le sexe, s'abîme dans le viol, la prostitution et pire encore, au risque de ne se retrouver jamais..

Tout n'est pas rose, tant s'en faut, dans cette odyssée policière, dans cette autobiographie déguisée, mais il y a toujours l'humour grinçant, le parler trash, les formules à l'emporte-pièce de V.D. pour faire rire ou sourire même aux heures les plus noires.

Il y a quelques longueurs, quelques redites aussi, quand le récit change de focale et qu'on reprend la trame en rétropédalage inversé, comme si on ne pouvait comprendre les ellipses sans remettre pesamment les points sur les "i"......

Dans un genre assez proche, j'ai préféré Subutex 3, roman choral lui aussi, mais plus rapide, plus rythmé , plus abouti- et lui aussi une ode noire et sans garde-fou aux sombres temps des Assassins dont nous avons franchi les portes d'airain en janvier 2015..

Prémonitoire, mais encore un peu trop "apocalyptique" pour y croire, Apocalyse Bébé est encore quelques coudées en-dessous.

Subutex 3 a, lui, le redoutable privilège d'avoir été écrit après l'apocalypse, la vraie, celle de janvier 2015 et celle du 13 novembre.Apocalypse Bébé ne faisait que la pressentir, d'où son irréalité apparente...

Le pire est toujours difficile à prévoir, même dans un roman.
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Aaah, ça m'avait manqué ! L'optimisme à toute épreuve, la joie de vivre et le ton exalté qui caractérisent cette sacrée boute-en-train de Virginie Despentes ! Depuis que j'avais quitté Vernon en 2018, je n'avais plus goûté à cette fraicheur ni à cette légèreté.
Il était grand temps d'y revenir pour achever sur une note positive cette belle année 2020 !

Quel enchantement, quel plaisir de suivre Valentine au long de ses pérégrinations, de humer de loin en loin son délicat parfum de jeune fille candide !
Au début de ce joli conte métaphorique, la voilà qui décide en effet de prendre la poudre d'escampette pour partir à la découverte du vaste monde, et nous lecteurs sommes sur ses talons.
Ah, la friponne, ah les joies de l'école buissonnière !
Et que dire des deux sympathiques inspectrices chargées par la famille de Valentine de suivre discrètement la trace de la charmante bambine (qui sait, la pauvrette pourrait faire de mauvaises rencontres ?)
L'une des deux enquêtrices - répondant au doux surnom de la Hyène - m'était d'ailleurs connue depuis le trilogie Subutex, et j'ai été ravi d'avoir de ses nouvelles, de l'entendre développer à mots choisis sa jolie rhétorique ou étayer en finesse, pudeur et élégance sa philosophie de vie toujours empreinte de tolérance, de juste mesure et de sérénité.

Apocalypse bébé : le feel-good book qu'il vous faut, pile-poil dans l'esprit de Noël, à offrir d'urgence à vos proches de 7 à 77 ans !


- - - - - - - - -
[ Et là vous vous dites : il n'a rien compris au bouquin, le pauvre garçon !
Sisi je vous rassure, j'ai tout bien compris ... et j'ai quand même beaucoup aimé ! Je voulais juste éviter d'en rajouter, en ces temps moroses, avec la noirceur générale et absolue du présent roman (une vraie fresque à la Pierre Soulage !), l'acidité des sujets de société abordés, la déprimante caricature de notre monde occidental décadent, l'échec de l'intégration, le spectre du terrorisme, les dérives des réseaux sociaux ("cet anonymat crapuleux, litanie d'insultes obstinées, délivrées par des incompétents, [...] le dixième cercle de l'enfer"), la vacuité morale et intellectuelle des élites, le cynisme omniprésent et les réflexions acerbes qui claquent page après page avec la douceur d'un reflux gastrique...
Nouvelle galerie des horreurs à la Despentes, nouvelle photographie glaçante d'une époque agitée et nouveau plaisir de lecture délicieusement licencieux.
A consommer tout de même avec modération. ]
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