La faiseuse d'anges

C'est fou ce que la mémoire peut parfois être ennuyeuse. On trouve justement une quête de la vérité, d'un savoir oublié, que la mémoire de Max, notre héroïne, veut encore et toujours cacher malgré les nombreux essais pour se rappeler.

Max, chef d'une équipe de police, essaie de trouver le meurtrier d'une femme quand une nouvelle enquête lui tombe dessus. Un tueur en série sévit et tue des femmes qui ont, en apparence, rien à voir les unes avec les autres. Seulement, un petit rien, une intuition, va enfin faire avancer la cellule de recherche mise en place. Pendant ce temps, le meurtrier de sa mère se sent menacé par les recherches de Max et décide d'en finir une bonne fois pour toutes en tentant de la dissuader d'en arrêter là avec son passé. Seulement, c'est bien mal connaître notre chef de brigade qui enquête désespérément depuis de nombreuses années.

Malheureusement, quand elle finit par se rappeler de ce qu'elle se cachait involontairement, deux secrets vont refaire surface, la fragilisant émotionnellement. Va-t-elle pouvoir pardonner est la grande question de la fin et si je souhaite avoir la réponse à ma question il va me falloir lire la suite.

La lecture en elle-même est très facile à prendre d'emblée, l'écriture est courante et facile à lire et à comprendre. Même un adolescent pourrait dévorer ce roman sans aucun problème si l'histoire lui plait. L'ambiance oscille entre lassitude, courage et motivation mais on perçoit qu'elle est fatiguée, notre petite Max. Elle a l'impression de chercher pour rien mais en même temps elle veut savoir. La curiosité est humaine et c'est quand il est trop tard que l'on se rend compte que l'on aurait préféré ne pas savoir.

On est ici dans un thriller à suspens bien sympa mais assez loin de ce que je lis d'habitude. Ici il n'y a pas de gore, c'est écrit avec une certaine finesse et le livre n'est pas excessivement long non plus.

Ici on est sur une série de meurtres, que des femmes sont trouvées avec le visage manquant, les empreintes digitales brûlées et une ablation des organes de reproduction. Mais en parallèle on suit aussi une histoire de copycat et le meurtre de la mère de Max. Ça fait beaucoup de choses dit comme ça mais tout se goupille super bien et on ne peut pas dire que le livre manque de rythme.

J'ai bien aimé dans l'ensemble même si j'ai trouvé le final un peu gros et facile à deviner. Et le point négatif… le personnage principal ; Maxime. Bon ok je peux comprendre qu'elle soit complexe et qu'elle ai un passé assez compliqué mais j'ai déteste ce personnage. Elle me sortait par les yeux mais d'une force par moments… j'ai aussi trouvé dommage qu'on ai pas énormément de rebondissements. Il y a du rythme certes, mais j'aurais préféré un peu plus je l'avoue.

Bref ça reste un thriller sympa, je le recommande quand même mais je l'ai pas eu ce « Wahou » que j'ai pu avoir avec de nombreux autres thrillers.
À noter que l'écriture reste très fluide et que c'était le premier roman de l'autrice, et qu'elle est quand même forte pour nous captiver jusqu'à la fin malgré les petites déceptions. À l'occasion je lirai sans doute d'autres de ses livres pour me faire un avis plus poussé de Sandrine Destombes!

Le commissaire Maxime Tellier doit faire face au départ de son supérieur et mentor, Enzo. Lui qui a toujours été là pour elle, dans sa vie de flic ainsi que dans sa vie personnelle. Lui qui a enquêté sur le meurtre de sa mère, lui qui a été un véritable (re)père pour elle.

Quand un scalpeur fou se met à sévir et à agresser des femmes, Maxime n'a d'autre choix que d'être à la hauteur pour son équipe.

L'enquête la mènera en Normandie, loin de sa zone de confort. Elle y fera la connaissance de Vincent, son homologue.

Parce qu'un bonheur n'arrive jamais seul, Maxime se verra rattrapée par son passé. le meurtrier de sa mère semble vouloir entrer en contact avec elle… L'occasion pour elle de faire enfin son deuil et d'identifier l'assassin.

Après avoir littéralement ADORÉ « ils étaient cinq », je ne pouvais m'empêcher de replonger dans l'univers sombre de Sandrine Destombes.
« La faiseuse d'anges » n'est pas un coup de coeur, bien que j'ai apprécié l'histoire. J'envisage de lire les autres livres de la saga afin d'en savoir plus sur l'héroïne, Maxime Tellier, que j'ai pris plaisir à découvrir.

Maxime Tellier la commissaire se retrouve sur une série de meutres atroces qui la mène elle et son équipe en Normandie là où toutes les victimes ont un lien. Aidée du capitaine Gouvier de la gendarmerie de Lisieux la traque va leur relever l identité du tueur qui sévit. Mêlée à cette histoire le passé de Max troublant sur l assassinat de sa mère il y a 30 ans.
Encore une fois je suis conquise par le style de Sandrine Destombes. Fluide, sans fioriture elle nous emmène et nous mène dans son enchevêtrement d évènements mais en démêlant les ficelles et aboutir à la fin de l enquête. J adore beaucoup votre style et vos personnages attachants. Merci pour ce très bon polar et cet excellent moment. Encore un coup de coeur ♥

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Le meurtre de la mère de Max n'a jamais été élucidé. Son mentor était en charge de l'enquête et voilà que maintenant il part en retraite et la laisse seule et fragilisée, aux prises avec un tueur en série. Elle fera équipe avec Vincent pour cette traque qui mettra un point presque final à sa quête intime.
Très bonne intrigue émaillée de personnages attachants qui jette en pâture les préjugés sur les choix de vie des femmes « modernes » encore bien présents dans les années 80 , en espérant que notre société a évolué depuis … les lectrices jugeront !
Un style efficace pour ce premier roman que je lis de cette auteure et pour une fois il n'y a pas de guerre des polices mais de la collaboration dans l'intérêt des victimes. 
Bonne lectures
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Très rapidement, nous faisons face à un meurtre qui se révèlera plus complexe que prévu. J'ai apprécié l'évolution de l'enquête ainsi que celle du personnage principal entre son passé et le présent.

Ce que j'ai bien aimé dans ce polar, c'est l'existence de 2 enquêtes secondaires qui se produisaient en même temps que la principale. Mais surtout, c'est le fait que l'auteur n'a pas mis de côté ces histoires et a pris le temps de les résoudre afin de répondre à nos questions.

J'aime beaucoup la fluidité de l'écriture de Sandrine Destombes, je relirai sans hésiter un autre de ses romans.

Hâte de me plonger dans la prochaine enquête du commissaire Max !

Lorsque je lis un livre en deux jours, c'est que je l'ai vraiment aimé ! C'est le cas de la faiseuse d'anges. Des femmes retrouvées sauvagement assassinées mais toutes recouvertes d'une couverture de survie. Comme si l'assassin avait tenu à les préserver,une fois mortes.
Quel(s) point(s) commun(s) les relie(nt)?
L'enquêtrice se retrouve face aux origines des êtres humains, jusqu'à sa propre existence.
À lire sans hésiter.

C'est mon premier livre de l'auteure.
Je ne suis ni décue, ni emballée.
L'histoire est sympa mais je l'ai trouvée banale, ou pas assez surprenante.
L'intrigue est bien, il y a du suspense, j'ai adoré le personnage de Max mais il m'a manqué un petit truc en plus, ca arrive…
Il faut savoir que c'est le premier livre de l'auteure, il faut être indulgent…je lirai donc d'autres livres de l'auteure pour être sûre.

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Des femmes… assassinées…
Des visages… elles n'en ont plus…
Leurs doigts… ont été brûlés…
Elles ont été massacrées …

Cette série de meurtres a lieu un peu partout en France, il y'a néanmoins un lieu clé : la Normandie.

La commissaire Maxime Tellier va tenter de stopper cette série de meurtres atroces en déjouant les méfaits de ce meurtrier en série.

Maxime, Max, qui est- elle vraiment ?
Son passé la rattrape…
Le meurtrier de sa mère assassinée 30 ans plus tôt nourrit ses cauchemars…
Ne serait-il pas là ?
Auprès d'elle?


Voilà, c'est fait, j'ai enfin ouvert mon premier livre de Sandrine Destombes
Une écriture efficace, sans fioritures, addictive, une enquête qui nous dévoile un meurtrier improbable.
Une judicieuse description des personnages.
Il m'a peut-être manqué un peu plus de descriptions des meurtres… c'est mon côté cruel

Mais ce que j'ai surtout apprécié, c'est Max.
Maxime, mais dites-moi Mme Destombes pourquoi ce prénom aux consonances masculines.
Derrière ce prénom se cache peut-être un personnage atypique, mais surtout décalé et ça, ça me plaît, elle a son côté ironique mais aussi sensible.
Une femme forte, mais humaine…

C'est le 1er livre de cette auteure !
Me dit-on à l'oreillette,
Bravo, bien joué, un très bon polar avec un suspense aguichant…

Vous m'avez donné l'envie de retrouver Max au plus vite !