Il se rappelait vaguement quelques mots de l’une de ses nouvelles, qui définissaient l’enfer en ces termes : « Là où l’alcool n’a plus de prise et où l’âme d’un homme est pourrie en lui. »
Parfois, on choisit le mensonge, j’imagine. Cela arrive à tout le monde de mentir de temps en temps.
Le champagne est une boisson délicieuse, mais il donne soif...
La justice était l’un de ces grands mots qu’on écrivait souvent avec une capitale, mais, en fait, il était bien plus difficile à définir que la loi.
Le travail sans espoir fait couler le nectar dans un tamis et l’espoir sans objet ne peut vivre.
La nudité en elle-même n’est rien : c’est l’intention de nudité qui garantit le sublime rendez-vous. La nudité en elle-même n’a jamais signifié grand-chose pour moi, même quand j’étais un jeune garçon. Je ne me suis jamais intéressé à toutes ces peintures italiennes représentant des femmes nues. De même, il me semble que peu de nos jeunes, si licencieux et immoraux, montrent un intérêt démesuré pour les femmes qui affichent tous les jours leurs corps dans les journaux populaires.
Les thèmes les plus courants de cette pornographie exotique sont le sadisme, le masochisme, le fétichisme, le travestisme, le voyeurisme (ou scoptomanie), le narcissisme, la pédérastie et la nécrophilie. Il existe des thèmes moins courants comme la coprophilie, la cleptolanie et la zoophilie.
On ne comprend jamais très bien les mobiles des gens. C’est comme s’il y avait la manifestation de quelque chose – mais il y a toujours une part de mystère.
Il avait souvent médité sur l’éternel problème de la justice. Il savait, comme la plupart des hommes aux valeurs civilisées, que la loi avait pour fonction de fournir l’encadrement légal à l’intérieur duquel les hommes et les femmes étaient protégés dans leurs activités légitimes. Certes, le criminel devait être puni pour ses méfaits, car c’était la loi.
Les temps changent, n’est-ce pas ? De nos jours, bien peu de filles sont dignes de se marier en blanc, si vous voulez mon avis.