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J'ai déjà exprimé ici mon manque d'enthousiasme pour les derniers Thorgal et les séries parallèles.
Pourtant, sans doute poussée par une sorte de sentiment de fidélité, je continue à suivre de près ou de loin les dernières parutions.
Si on sent dans ce dernier album la volonté de renouer avec un scénario plus cohérent avec les anciens "Van Hamme", il n'en reste pas moins que je n'arrive toujours pas à ressentir le même engouement qu'avant. Je considère le départ de van Hamme comme fatal !
En ce qui concerne le graphisme, je trouve le feu écarlate très inégal. Il y a de très belles vignettes, notamment les gros plans sur Thorgal. Même si sous son allure de mendiant, fatigué et les joues mangées par une barbe hirsute, on ne le reconnaît pas toujours notre superbe héros d'autrefois, intègre, tenace et déterminé, son regard m'impressionne toujours autant. Ce regard intense renvoie l'image d'un père en proie au doute, au regret de n'avoir pas été un bon père pour Aniel et la tendresse qu'on y décèle a tôt fait de me ravager...

A suivre ...mais jusqu'à quand ?
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Thorgal est prisonnier des mages rouges qui ont transformé Aniel, petit garçon muet, en Kahaniel réincarnation du prophète de la magie rouge et un adolescent en pleine révolte contre son père.

Voici un tome de transition. Changement de scénariste : Sente laisse place à Dorison pour retrouver un scénario plus en accord avec la ligne éditorial. Thorgal s'est un peu perdu dans l'intrigue des magiciens rouges et de Bagdadh, du coup Dorison a du travaille de remaniement à faire tout en conservant plus ou moins la ligne scénaristique qui doit se faire retrouver les séries parallèles au prochain tome. Pas facile pour lui, il s'en sort plutot bien.
Bagdadh est à feu et à sang entre hommes du calife, adeptes des mages rouges et soldats de Magnus... Dans tout ça Aniel est celui qui doit sauver la ville en maitrisant le feu écarlate mais c'est une magie dangereuse qui risque surtout de tout dévaster. Thorgal essaie désespérément de sauver son fils mais doit surtout réparer les blessures entre un père et son fils.
A la fin de ce tome on repart enfin vers les contrées froides du nord avec Thorgal, son fils, Lehla, Petrov et Saloma.

Graphiquement c'est très beau. Pourtant l'on sait que la maladie de Rosinski a rendu la conception de ce tome pour lui. On ne peut donc que lui dire chapeau pour le rendu.
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Thorgal retrouve Aniel mais n'arrive pas à temps pour empêcher la transformation de son fils . Dans une ville assiégée ,il va pourtant tout tenter pour le ramener chez lui ...
Ce tome rencontre plutôt des mauvaises critiques et je comprend pourquoi . le dessin manque de précision ,le scénario est assez simple et entendu ...mais pour une fois Thorgal apparaît démuni et fragile face aux accusations de son fils . C'est une autre face de lui qu'on découvre . Et la fin est pleine de promesses , le prochain tome devrait porter sur les retrouvailles de Thorgal et Kriss de Valnor :)
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Un changement de scénariste en plein arc... j'ai grincé des dents avant même de lire la première page.
Bon, force est de constater que l'histoire se suit et est même plus fluide que dans le tome précédent mais il n'empêche que je n'ai pas ressenti vraiment d'attrait. C'est bien simple, en fait je crois que je ne reconnais plus Thorgal. Je ne sais pas à quoi c'est du...j'ai du mal à situer le fier viking dans les sables du Moyen-Orient entre les croisés et les Magiciens Rouges. Et quand je vois arriver les dirigeables du pays Qa je me dis que c'est moi qui vais trop loin en cherchant encore des ancrages historiques. Bon, ok. Mais si je fais cela, à quoi bon nommer la ville Bag Dahd et l'empereur d'occident Magnus...
Outre cela, j'ai trouvé ce tome confus, les retournements de situations qui se succèdent à toutes vitesse m'ont un peu lassée et finalement je n'en retiendrai pas grand chose.
De plus, si on se pose deux minutes et qu'on essaye de faire le point sur l'histoire, on se rend compte que l'histoire est pleine de trous et que des personnages ont purement et simplement disparu de l'équation.
Bref, je ne suis pas convaincue.
Côté dessin, je suis partagée. J'aime beaucoup le style composé essentiellement de taches de couleurs où le dessin est traité en cernes blancs ou noirs. C'est un peu expressionniste, j'aime bien mais pas ici en fait, pas dans Thorgal. Rosinski fait évoluer son style, je le comprends et c'est bien normal qu'après plus de 40 ans il n'aie plus envie de faire la même chose qu'à l'époque de Alinoé mais je pense que c'est pourtant ce qu'attend le lecteur.
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Il m'a fallu “encore” relire le tome précédent (datant de 2 ans et demi) pour re-situer le contexte et l'intrigue, et enchaîner le tome 35 des aventures du viking le plus célèbre de ces dernières années (37 quand même !). Et j'ai le sentiment de me répéter pour introduire les critiques de chaque album… Comme les histoires ont tendance à s'étirer de plus en plus en longueur, et comme on change “encore” de scénariste, il faut du temps à chacun pour reprendre ses marques (auteurs et lecteurs).
Je commençais à m'ennuyer ferme ces dernières années en voyant ce pauvre Thorgal errer du Northland au Moyen-Orient pour récupérer ses rejetons.
Or cette fois-ci, quelque chose de nouveau s'est passé. Après un certain nombre de pages pour rembobiner l'histoire mise en place par Yves Sente, non sans mal, Xavier Dorison reprend la main de manière plus ferme et soutenue. Oh, je n'irais pas jusqu'à parler de chef-d'oeuvre mais on a quand même le sentiment que notre héros vient de se réveiller. Dans un scénario où se mêlent légendes, croyances et violences (toujours le même conflit entre religions), les trahisons et les retournements de situation offrent au moins à Rosinski la matière à déployer son art du dessin et de la mise en couleurs (acryliques, aquarelles ? les deux ?).
En deux mots, Thorgal arrive à “Bagh Dad” pour récupérer son fils Aniel (d'avec Kriss de Valnor) que les Magiciens Rouges ont enlevé et endoctriné. Arriveront-ils à se retrouver et renouer des liens filiaux ? La meilleure volonté de l'un survivra-t-il au fanatisme des autres ? Rien n'est moins sûr, d'autant que la fin reste en suspens.
On aurait presque hâte de lire le prochain album, mais dans combien de temps ?
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Qu'est-ce qui a bien pu se passer pour qu'Yves Sente passe la main en plein milieu d'un arc narratif ?
Bon, en même temps, je me disais qu'avec Xavier Dorison à la manoeuvre, les choses iraient un peu mieux car le dernier était bien, bien raté et Dorison m'a rarement déçu.
Et pataplouf, c'est le drame.
Les, disons 10 premières pages, ça va encore, et ensuite ça sombre dans le n'importe quoi, scénaristique comme graphique.
Finalement, j'ai quand même eu l'explication de pourquoi la femme voilée (j'ai oublié son nom, c'est dire) était à ce point au courant de tout (ça aurait quand même dû alerter Thorgal, d'ailleurs), mais ses motivations finales restent complètement floues, on a l'impression qu'elle change sans arrêt de camp, voulant à tout prix provoquer le "feu écarlate", puis voulant qu'il n'ait plus lieu, voulant tuer Aniel, puis voulant le sauver...
Le sultan Machin Chose, personnage très important du tome précédent, conspirant avec le Grand Wazir et la femme du Calife, disparaît corps et biens de celui-ci, on n'en entendra tout simplement pas parler.
Du côté dessin, c'est la Bérézina, avec une débauche de rouge qui vous fait saigner la rétine, et des plans lointains toujours plus baveux, flous et barbouillés, à l'image du scénario en fait.
La mayonnaise n'a pas dû prendre, puisque dès le tome suivant, on change à nouveau de scénariste.
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Ça me fait de la peine de le dire, mais la série bat sérieusement de l'aile. Eh oui, c'était mieux avant.

Thorgal poursuit son fils jusqu'à Bag Dah, aidé de personnages nouveaux et complètement fade. le scénariste, dont j'ai oublié le nom, nous sert une histoire complètement tiré par les cheveux, ou tout ce petit monde court dans tout les sens , dans une ville assiégée par des Croisés. Et que vienne faire les Chaams , peuple rencontré dans le Pays Qa dans cette histoire? Pourquoi ne pas avoir continuer avec Johan, quitte a laisser son père en retrait? Pour terminer les dessins sont horribles, genre fait a la gouache. Un album qui ne me laissera pas un bon souvenir.
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Cet épisode est le plus sombre de la série ! le monde est au bord du chaos. Thorgal arrivera-t-il à sauver son fils et par là-même, le reste de la planète ? On y apprends une importante nouvelle que je redoutais un peu mais comment aurait-il pu en être autrement ?
Un épisode qui tient en haleine, d'une rare violence.
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Un nouveau tome de Thorgal avec un nouveau scénariste, en l'occurrence Xavier Dorison. Autant le dire tout de suite, on est loin du niveau général de la série. On est face à une histoire linéaire qui n'est pas transcendante. On est face à une baisse de niveau de la série depuis quelques albums, due sans doute aux changements réguliers d'auteurs. Par contre je trouve les séries parallèles d'un très bon niveau donc j'espère un énorme album quand les trois séries se rejoindront. Si le niveau scénaristique baissant s'explique aisément, il est par contre plus incompréhensible celui du dessin. Rosinski a changé sa technique depuis "Moi, Jolan" avec un style plus aquarelle qui rend parfois flou certaines vignettes, mais ici c'est vraiment trop avec cette couleur rouge omniprésent ça rend les planches dégueulasses, il est temps que Rosinski se reprenne. En résumé, un tome indigne de la série, on attends toujours le retour du vrai Thorgal.
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Ce nouvel épisode de Thorgal marque les débuts de Xavier Dorison au commandes du scénario de la série-mère. Il est difficile de juger de la qialité de sa reprise puisqu'il reste encore prisonnier de l'intrigue mise en place par Sente. Il lui faudra d'ailleurs normalement encore publier deux Kriss de Valnor et un Thorgal pour en terminer avec l'ambitieux (trop ambitieux) arc narratif en cours.
J'ai l'impression que Dorison tente de retrouver le ton des premiers Thorgal: moins verbeux et plus rude que chez Sente. Reste que le déroulé de laction reste très basique et que rien ce tome souffre en plus d'être un tome de tranbsition plutôt faible du point de vue de l'intrigue en général. Il ne se passe pas grand chose d'intéressant. de plus, les planches paraissent bien trop brouillonnes et grossières pour convaincre. Je crois que c'est l'un des albums les moins aboutis du point de vue graphique. Il me semble que Rosinski a souffert d'un gros pépin de santé, ce qui expliquerait que ce tome n'a pas été réalisé dans les meilleures conditions. En tout cas, pour l'instant, je laisse encore le bénéfice du doute à Dorison. Mais il faudrait un réel coup de fouet pour redonner du lustre à cette série.
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