Notre auteur ne risquait rien à publier cette histoire sur ses aïeules, d'autant plus qu'elles étaient essentiellement libres (?) et en cela semblaient différentes de celles d'une autre époque (?).
Nous voici donc replonger dans les labyrinthes féministes de bon aloi, qui décidément n'en finiront plus jamais.
Moi aussi j'avais des aïeules libres, intelligentes, cultivées, artistes, divorcées, musiciennes : ouî elles étaient libres, mais je n'en ai pas fait un fromage pour autant.
Histoire gentillette mais pénible à lire, le style appliqué d'une jeune écolière de 16 ans des années 30 est évidemment plat comme une galette bretonne , sans originalité car il découle d'un stage d'écriture (sans doute exorbitant qui semble cependant avoir porté ses fruits puisque édition… CQFD.
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