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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Suite et fin de ce premier diptyque, le tout dans une ambiance toujours excellente et des décors magnifiques. Côté histoire, nous en avons le fin mot, même si, à mon goût, un peu plus de suspense aurait été préférable.
Une belle découverte que cette série, cet anti-héros et la Sérénissime Venise.
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Suite du masque dans la bouche d'ombre, ce deuxième tome de Giacomo C est plus sombre que le précédent.
Tout en continuant à enquêter pour le compte du marquis de San Vere, Giacomo C aura fort à faire pour gérer ses créanciers qui ne lui veulent pas que du bien.
A mesure que l'enquête avance, on découvre aussi la véritable identité du meurtrier et aussi toutes les interactions des personnages qui gravitent autour de Giacomo..
Le dénouement de cette histoire peut surprendre le lecteur, et c'est d'ailleurs avec tristesse que l'on termine cet épisode des aventures de Giacomo C.
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Le deuxième volet captivant, émouvant et si poignant du Masque dans la bouche d'ombre.
Monsieur de C. est entré en bande dessinée. Et c'est une réussite!
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" Où les auteurs s'intéressent bien plus aux motivations de leurs personnages qu'à leur identité réelle. Contrairement aux intérêts de Monsieur de C. "
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Le titre ne laisse planer aucun doute, le lecteur va connaître le fin mot sur le tueur en série qui hante Venise et défigure des femmes, choisies au hasard, si ce n'est que ce sont à chaque fois des femmes qui semblent coucher avec le premier venu. Qu'elles soient prostituées, nobles ou bourgeoises.

Griffo améliore son trait, surtout en ce qui concerne les visages. C'est plutôt bienvenu. Les décors sont également un peu plus fouillés. Dufaux a bien potassé son dictionnaire du XVIIIè siècle. Vocabulaire et expressions fleurissent çà et là. L'atmosphère "fin de siècle" d'une Venise où l'on ne pense qu'à s'amuser les deux pieds dans la fange est bien rendue.

Dufaux a la très bonne idée de dévoiler rapidement le coupable. S'ensuit alors une course-poursuite entre Giacomo C. qui commence à entrevoir les éléments du puzzle et le tueur. Les auteurs gèrent bien la tension qui s'accumule et culmine dans un grand final entre burlesque et tragédie, à l'image de Venise. Par ailleurs, on croise Goldoni et d'autres célébrités de l'époque.

La construction en diptyque (pour ces deux premiers tomes) semble bien convenir à Dufaux, qui s'est parfois aventuré dans le grand n'importe quoi sur des séries plus longues, perdant le fil de son récit. Ici, c'est serré, dense, avec suffisamment de pistes et de personnages secondaires pour rendre l'atmosphère de Venise, ville frappant l'imaginaire de tout un chacun. Ainsi, Giacomo C. a beaucoup de soucis avec le Chevalier, un malfaiteur proxénète se piquant de littérature et de poésie de bas étage.

Même si les dessins sont un peu en dessous de mes attentes, j'ai pris énormément de plaisir à lire ces deux tomes.
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Tandis que les fêtes vénitiennes battent leur plein, que, dans les taudis, les rats pullulent, la statue de l'ange à l'épée cherche son propriétaire et le duo Giacomo/Parmeno est toujours à la poursuite de l'assassin de jeunes femmes. Monsieur C. réussira-t-il à échapper aux filets de ses ennemis et aux griffes de femmes avides ? Lui dont le coeur ne bat que pour jeune et belle Caterina ?

Suite et fin de cette première aventure, « La Chute de l'ange » débute dans la lumière (parfois un peu terne d'ailleurs) pour doucement s'assombrir, aussi bien au travers des couleurs que des propos. Les palais font place aux mansardes délabrées, les ors cèdent devant la blancheurs des marbres, le soir tombe tandis que les cases se focalisent sur un rat, le rat, celui par qui le mal arrive.
Plus que dans le premier tome, le dessinateur a ici clairement mis l'accent sur les visages et les expressions, d'une rare intensité. L'équilibre de certaines cases frise le génie (je pense notamment à la dernière de la la planche 21), et que dire du rendu du Campanile (planche 22) et de l'érotisme de la planche 19 ?
Je n'ajouterai rien sur le final qui, de toute façon, est au-delà de tout mot : Splendide !
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