AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Amour monstre (57)

[...] en espionnant les faits et gestes du maître-nageur qui papillonne de tout son charme pour les beaux yeux d’un jeune homme à la peau brune dorée qui semble avoir fourré trois livres de raisin à l’avant de son maillot de bain mouillé.
Commenter  J’apprécie          10
Arty se regarda dans le miroir et sa large bouche fut prise d’un grand sourire.
— Hop hop hop ! Ils vont vouloir me sucer le gland, aujourd’hui, je ne te dis que ça !
Commenter  J’apprécie          10
Il [Mumpo] beuglait avant même d’ouvrir les yeux, et continuait à rugir jusqu’à ce que le trou de sa bouche fût obturé par un mamelon. Puis il vidait la poitrine jusqu’à ce qu’elle tombe comme un gant de toilette plat sur les côtes saillantes de ses mères, et il beuglait pour qu’on lui donnât le téton suivant, jusqu’à ce que les quatre outres à lait fussent sèches et flasques.
Commenter  J’apprécie          10
Il [Arty] insistait pour que nous jouions aux dames, inlassablement, heure après heure, partie après partie. Il me battit cinquante fois et il aurait continué à me battre jusqu’à la fin des temps si je n’avais accidentellement remporté une partie. Il en fut pris de rage et renversa le damier. Puis il roula s’isoler dans sa chambre en s’enfermant à clé.
Commenter  J’apprécie          10
N.S. : Si vous pouviez le faire d’un coup de baguette magique, ne voudriez-vous pas que toute votre famille soit physiquement et mentalement normale ?
Oly : C’est idiot ! Chacun d’entre nous est unique. Nous sommes des chefs-d’œuvre. Pourquoi voudriez-vous que je souhaite que nous devenions des produits fabriqués à la chaîne ? Vous, la seule manière dont on peut vous distinguer les uns des autres, c’est grâce à vos vêtements.
Commenter  J’apprécie          10
(Arturo, en réponse à certaines critiques)
— Il est intéressant de noter que lorsque ces individus choisissent – car c’est toujours leur choix – de se soumettre à des amputations volontaires pour leur propre bénéfice personnel, la société affiche de grands airs offusqués et désapprobateurs.

Et pourtant cette même société respecte l’idée selon laquelle tout individu doit être prêt à risquer sa destruction totale sur un théâtre de guerre, en acceptant d’être le jouet de son officier supérieur, quels que soient les mobiles qui animent ce dernier – sa promotion au grade de lieutenant, ou l’augmentation des profits de l’entreprise qui vend les munitions.

Bon Dieu, cette idée-là, la société ne se contente pas de la respecter : elle exige purement et simplement que chacun d’entre nous l’adopte et la mette en pratique. Et elle vous fusillera si vous ne filez pas droit.
Commenter  J’apprécie          10
J’avais constaté dans la douleur qu’il n’avait pas besoin de moi. Qu’il pouvait se passer de moi de manière permanente sans qu’à aucun moment je ne vienne à lui manquer. Il avait toutes ces autres personnes prêtes à danser pour lui. Moi, je n’avais que lui.
Commenter  J’apprécie          10
Il [Arty] avait horreur qu’on le chatouille et il était particulièrement chatouilleux juste derrière les couilles, alors c’est une zone que je laissai assez souvent de côté. Quand la mousse verte envahissait le réservoir, elle prenait Arty par les couilles et la partie de son corps peu fréquentable située juste derrière elles. Je devais me servir d’une brosse à récurer pour lui enlever cette chose.
Commenter  J’apprécie          10
Elle n’était qu’humilité et adoration à l’égard d’Arty – toute en fayotage et en “j’embrasse-la-terre-sur-laquelle-vos-vénérées-couilles-brunes-traînent”.
Commenter  J’apprécie          10
Et là, il plonge dans le sarcasme. Arty a le sarcasme tellement cinglant qu’il pourrait écorcher vif un vieux rhinocéros.
Commenter  J’apprécie          10





    Autres livres de Katherine Dunn (1) Voir plus

    Lecteurs (403) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Ce film d'horreur et d'épouvante est (aussi) un roman

    Jack Torrance, gardien d'un hôtel fermé l'hiver, sa femme et son fils Danny s'apprêtent à vivre de longs mois de solitude. Ce film réalisé en 1980 par Stanley Kubrick avec Jack NIcholson et Shelley Duvall est adapté d'un roman de Stephen King publié en 1977

    Le silence des agneaux
    Psychose
    Shinning
    La nuit du chasseur
    Les diaboliques
    Rosemary's Baby
    Frankenstein
    The thing
    La mouche
    Les Yeux sans visage

    10 questions
    967 lecteurs ont répondu
    Thèmes : cinema , horreur , epouvanteCréer un quiz sur ce livre

    {* *}