Peut-être qu’un jour on m’a fait signe, que l’on m’a montré quelque chose du doigt… Il serait effrayant que dans tout ce cosmos si harmonieux, si parfait et si égal à lui-même, seule la vie de l’homme fût livrée au hasard, que seul son destin n’eût aucun sens…
Chacune des femmes que j'ai aimées m'a opprimé, étouffé, même sans le vouloir, chacune m'a effiloché comme un vieux tapis, dissous, consumé jusqu’à la décomposition totale. Aucun homme n'échappe à ce destin...