Fight for Love, tome 5 : Ripped

J'ai attaqué ce tome à contrecoeur pour une raison simple : Pandora me sort par les yeux depuis le début et ce sentiment s'est accentué avec le tome précédent. Trop pessimiste, trop "cassante" bref, je ne l'aime pas du tout mais comme j'ai lu les premiers tomes et que je compte bien lire ceux qui suivent, je me suis "forcée" à lire celui-ci.
Ici on quitte complètement le monde de l'underground pour passé à celui de la musique. Même si l'histoire ne m'a pas passionné autant que les précédentes, Pandora m'a tout de même montré une autre facette. Celle d'une jeune femme blessée, qui a du faire face à des choix difficiles très jeune et qui s'est retrouvée avec le coeur en miette. Finalement ce fût une bonne surprise même si le couple MacKenna/Pandora ne m'a pas transporté comme les couples Remy/Brooke et Greyson/Melanie.

Ayant énormément aimée ma lecture des quatre premiers tomes, c'était avec une impatience folle que je me suis jetée sur le roman, mais j'ai assez vite déchantée.

J'ai eu un petit problème d'enjeux avec ce tome-ci. Dans les tomes précédents, on parlait de règlement de compte entre mafieux, de menaces, de dangers mortels...Ici, on parle d'adolescents "adultes" qui boudent.

Le seul élément perturbateur qui fait avancer l'intrigue c'est le non-dit. Les personnages passent leur temps à se mentir, à ne pas vouloir se dire les choses et c'est tout. Il n'y a pas vraiment de problème, donc pas vraiment d'enjeux, donc pas vraiment d'histoire.

Cela dit, Katy Evans a toujours un don incroyable pour créer un cocon pour son lecteur dans lequel il va se sentir bien, et où il va s'attacher aux protagonistes principaux. J'avais déjà hâte d'en apprendre un peu plus sur Pandora et je me suis beaucoup attachée à elle malgré le côté agaçant du vouloir dissimuler la vérité.

Et puis il y a MacKenna, rockeur au coeur tendre, un peu incohérent car il dit qu'il déteste Pandora et qu'il lui en veut (il a même écrit une chanson diffusée en radio pour dire qu'elle lui a brisé le coeur), mais dés qu'il passe une minute avec elle, il commence à la draguer et à lui dire qu'il a des sentiments pour elle.

Et surtout je n'arrive pas à comprend quel est son motif de mécontentement, comment est-ce qu'elle a pu lui brisé le coeur alors que c'est lui qui est parti. Après avoir écrit quatre très bons tomes je trouve que celui-ci est en dessous des précédents et surtout il sort de l'univers de la saga, ce qui n'est pas rien.

La saga parle de l'univers du combat Underground donc autant rester dans cette univers-là et l'approfondir. Je n'ai rien contre le fait qu'elle écrive sur la musique, sur les rockers et autres mais dans une autre saga, car là c'est un peu comme la tulipe rouge en plein dans un bouquet de roses blanches, et si j'ai autant aimée cette saga c'est en partie parce qu'elle nous introduit à un monde que l'on connaît peu et que l'on pas eu l'occasion de lire jusque là (ou très peu).

Malgré tout j'ai passé un très bon moment de lecture et j'ai retrouvée ce cocon chaud et douillet que j'aime tellement grâce à la plume de Katy Evans, et du coup j'espère que le dernier tome de la saga me fera oublier ce petit passage à vide dans une saga littéraire que j'aime énormément.

La sensualité brute qui est devenu la signature cette saga, et est toujours présente, même si l'on est plus proche de l'enthousiasme adolescent à l'idée de la découverte que de l'épanouissement sexuel adulte.

Enfin bref...Un tome un peu inférieur aux précédents à cause de quelques petits problèmes d'enjeux et d'intrigue mais qui reste très plaisant à lire, et où l'on retrouve ce moment sensuel et chaleureux que l'on aime tant dans l'univers créé par Katy Evans.
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C'est avec un immense plaisir et aussi un peu de nostalgie que j'ai reçu le dernier tome de Fight for love et je remercie sincèrement Marie et les éditions Hugo et Roman pour cette opportunité.

Pourquoi Nostalgie ? Parce c'est le dernier tome de la saga qui fut pour moi un véritable coup de coeur. Je ne vais pas m'attarder sur la couverture qui est magnifique comme d'habitude, ni sur le résumé qui m'a très interpellée et pour cause, il s'agissait de l'histoire de Pandora.

Pandora est l'amie gothique de Mélanie et Brooke. On la voit à quelques reprises dans les précédents tomes et elle nous donnait l'impression d'une jeune femme colérique, susceptible aussi… Et ce tome nous éclaire sur la haine qu'elle garde en elle. Haine envers son petit ami de l'époque Kenna.

Kenna, lui, c'est le bad boy par excellence, craquant, sexy… (ben oui…) charismatique et accessoirement rock star. Son passé le hante et comme Pandora, il hait cette période où il a cru un moment en leur amour…

L'auteur nous entraîne dans ce tome sur le passé du couple et comment ce dernier, continue d'interagir avec le présent. le « je t'aime, moi non plus » est omniprésent dans cet opus… (peut-être même un peu trop parfois, de mon point de vue) et les scènes de sexe, moins présentes que dans les tomes précédents toujours aussi incandescentes.

Je n'ai pas vraiment accroché avec les personnages principaux, contrairement aux autres tomes… Même si j'ai bien aimé l'histoire, je ne l'ai pas trouvé vraiment originale. Mais au-delà de tout ça, j'ai passé un bon moment quand même en compagnie de la plume de l'auteur…

En conclusion, un dernier tome pour lequel j'attendais une fin en apothéose et qui m'a un peu déçue par la simplicité de l'histoire.

"Pandora a vécu un chagrin d'amour il y a quelques années. Alors que Mackenna, son mec de l'époque, donne un concert avec son groupe, elle décide d'y aller avec Mélanie afin de se venger. Mais cela tourne mal et les deux demoiselles se font arrêter. Alors que Mélanie est libérée, Pandora devra passer un marché afin de ne pas être poursuivie. Elle n'a pas d'autre choix que d'accepter ce marché, pensant qu'elle pourra ignorer Mackenna pendant quelques semaines. Mais cela ne sera pas si facile car sa tête le déteste, mais son corps rêve de lui…

J'ai passé un bon moment de lecture avec cet opus, mais ce n'est pas mon préféré de la saga. La plume de l'auteure est toujours aussi agréable et addictive.

Changement d'univers dans cet opus puisqu'il s'agit d'un univers musical. Pandora est une jeune femme très rancunière et fragile qui se cache derrière des apparences de jeune femme gothique, sombre et froide. Nous découvrons au fur et à mesure de l'histoire le passé de Pandora et donc sa relation de l'époque avec Mackenna. On découvre également que la mère de Pandora est une garce. Attention, il y a pas mal de sexe dans cet opus ;)

Pour conclure, j'ai passé un bon moment de lecture avec cet opus, même si l'univers des précédents opus m'a manqué."
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Ma chronique: Me revoilà pour une nouvelle chronique sur le dernier tome en date de la saga Fight for Love.

Dans ce tome, on retrouve Pandora, l'amie gothique de Mélanie et Booke. Brisée par un amour d'adolescence, elle profite de l'arrivée en ville de Mackenna, son ex (devenu depuis star du Rock), pour organiser une petite vengeance durant le concert qu'il doit donner en ville. Seulement, rien ne se passe comme prévu et Pandora n'a qu'un choix si elle souhaite éviter un dépôt de plainte: accepter un "deal" qui la placera bien trop prêt et bien trop longtemps à portée de main de Mackenna.
Bien que cette proximité imposée la torture, c'est aussi l'occasion pour les deux jeunes gens de se redécouvrir et de se rendre compte de pas mal de choses. Parviendront-ils à passer outre les non-dits et le sentiment mutuel de trahison qu'ils éprouvent?

Passons à mon retour maintenant.
Pour être honnête, ce livre ne se distingue de la routine "baise-moi" familière à la saga uniquement dans ses soixante-dix dernières pages. J'ai d'ailleurs eu beaucoup de mal à me mettre dedans au début. Je sentais que beaucoup de choses couvaient, mais rien ne tombe avant la fin du chapitre dix-huit (sur un total de vingt-trois plus l'épilogue). Il est dommage que la première information ne soit pas offerte un peu plus tôt, que la totalité des remous se centre sur la fin.
Pourtant, malgré ça, les révélations sur l'histoire de Pandora et Mackenna, bien qu'arrivant tardivement, ont réussi à me tirer plusieurs frissons, à m'émouvoir. Plus particulièrement à travers la chanson qui clôture l'épilogue et qui illustre la plus belle preuve d'amour qui les unis, mais aussi la plus belle forme d'amour qui existe au monde. (Je ne peux pas en dire plus sans spoiler, il faudra me croire sur parole ^^)

Côté plume, j'ai ressenti plus que jamais la répétitivité dans le vocabulaire. Je ne l'avais pas soulignée dans mes chroniques sur les précédents tomes, ne sachant si je devais l'attribuer à la traductrice ou à l'auteure directement. Toujours est-il que trois fois le même mot sur deux lignes de texte, quand l'histoire se fait un peu désirer, ça titille légèrement. À noter également quelques mots manquants ici et là.

(La suite au bout du lien :D)
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