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4,1

sur 556 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'étais enthousiaste à l'idée de découvrir le quotidien de toute une brochette de personnages vivant à New-York en 1948 dans la même pension de famille et partageant toutes et tous une même passion pour le monde de la scène : théâtre, claquettes, danse ou musique.
Cette histoire en trois tomes démarre très lentement, on y présente les filles : Manhattan, Chic, Hadley, Page et quelques autres et Jocelyn, un petit français qui vient découvrir la vie en Amérique.
J'ai rapidement déchanté car les personnages sont nombreux et je les confondais sans cesse.
D'autre part, à part des dialogues, il ne se passe rien, niveau intrigue, c'est zéro, et au bout de presque 500 pages, j'ai trouvé ça vraiment dommage qu'il se passe si peu de choses.
Certaines prennent des cours de danse, s'habillent pour sortir manger une pizza ou aller auditionner pour une pièce de théâtre ou une publicité, mais tout ça reste bien creux.
L'auteur a peut-être tenté d'écrire une sorte de « Chroniques de San Francisco » mais version New-York dans les années 50, mais pour moi, la sauce n'a pas pris.
En plus, le public adolescent à qui le roman semble destiné ne connait surement pas les références des acteurs, chanteurs et autres célébrités des années 50.
Je ne lirai pas les suivants.
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Dans "Broadway limited", le lecteur se retrouve à l'époque de l'après-guerre aux Etats-Unis. On se promène dans les rues de Broadway et de ses innombrables salles de spectacles.
A la pension, il y a celles qui se font appeler Chic, Manhattan, Page, Hadley et les autres. Elles ont toutes des ambitions et veulent rencontrer le succès en devenant danseuse, actrice. D'autres veulent juste passer à la télévision dans une publicité, une série, un téléfilm.. Elles viennent des quatre coins du pays, ont grandi souvent à la campagne et rêvent de gloire et de succès. le rêve américain.
Nous sommes à l'ère où la jeunesse américaine veut profiter de la vie, danser sur de nouveaux rythmes, aller au théâtre, sortir, vivre et être libre.

Il s'agit aussi d'une histoire d'amitié. La présence de Jocelyn et de ses expressions très françaises apportent un peu de changement à la pension. le jeune français a quitté une France dévastée, qui peine à se reconstruire, pour une vie à 100 à l'heure. Il découvre les fêtes américaines qui lui sont curieuses comme Halloween, il mange des plats étranges comme des pizzas. A New-York, il y a tout le temps de l'animation, nuit et jour. Sa nouvelle vie, il l'a raconte à sa soeur, au travers les lettres qu'il lui envoie.

J'ai beaucoup entendu parler de ce roman et j'en ai lu que de bonnes critiques avant de me laisser convaincre en allant à la librairie me l'acheter. le contexte est attrayant, l'environnement me paraissait très plaisant mais la magie n'a pas opéré. Je suis vraiment déçue par cette lecture. J'en attendait évidemment beaucoup et au final je me suis totalement ennuyée. J'ai même fini le livre en lisant une page sur deux, et je déteste ça. J'ai trouvé le récit long, plat, sans intrigue, sans palpitations. Il y a beaucoup de dialogues mais au final il ne se passe pas grand chose durant les presque 500 pages de ce roman mis à part une simple relation d'amitié qui se met en place. le tome 2 est peut-être plus palpitant mais il ne passera pas entre mes mains. Dommage.

Déception !
Lien : http://labibliothequedemarjo..
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Absolument rien n'a retenu mon attention dans ce récit dont j'avais pourtant entendu beaucoup de bien. Les références cinématographiques qui m'intriguaient en lisant le résumé se sont finalement révélées ne servir en rien le récit (donc sont très superficielles et sans intérêt), les personnages sont à peine esquissés, sans profondeur, en plus de ne pas susciter la curiosité ni l'intérêt du lecteur. Les actions sont également absentes du récit qui est non seulement sans surprise, mais on pourrait dire sans rien du tout. Il ne se passe pratiquement rien, c'est d'un ennui... Je cherche encore le fil conducteur de ce que je viens de lire.
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Bon je vais me faire huer mais tant pis, je le dis, je n'ai pas pu finir... Cela ne m'arrive quasiment jamais, mais au bout de 300 pages, j'ai déclaré forfait.
Je suis passée totalement à côté de ce roman qui est trop décousu pour moi. Alors certes je suis fatiguée et c'est peut-être la raison qui fait que je trouve que le livre n'est pas fluide du tout. Mais l'intrigue m'a aussi totalement échappée. Alors je me suis dit que si à la 300e page, je ne savais toujours pas qui était le personnage principal et où nous menait l'"histoire", j'avais le droit d'abandonner...
Pour moi, il s'agit avant tout d'un bain dans l'atmosphère américaine du monde du cinéma des années 50, avec toutes les stars de l'époque qui sont évoquées.
Bref, je laisse donc ceux qui ont aimé vous en parler.
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Dans ma PAL depuis pas loin de trois mois (oui, ça commence à faire long…), je me suis qu'il était temps de passer à l'action! Chose dite, chose faite, je me suis lancée dans la lecture du nouveau roman ado de Malika Ferdjoukh, "Broadway limited". Mon enthousiasme est malheureusement peu à peu retombé au fil des chapitres et mon sentiment de déception s'est rapidement confirmé.

La toile de fond du roman, le New York d'après-guerre, me plaisant beaucoup, je ne m'attendais pas à être aussi déçue. Finalement, j'ai trouvé que l'auteure n'exploitait pas suffisamment ce cadre historique très riche. J'espérais me retrouver véritablement plongée dans l'ambiance de la ville et des années 40, mais ça n'a pas vraiment été le cas. L'auteure multiplie pourtant les références, notamment cinématographiques (James Stewart, Cary Grant, Fred Astair etc.), mais au lieu de donner de l'épaisseur à son intrigue, j'ai trouvé qu'elles l'alourdissaient.

Ma deuxième déception concerne les personnages féminins, très nombreux dans le roman. Dès les premiers chapitres, je me suis égarée parmi les différentes locataires de la pension. Elles ne nous sont pas vraiment présentées, ou du moins, de manière complètement fragmentée, si bien qu'on a peine à savoir qui est qui, qui fait quoi. Qui plus est, je n'ai pas "adhéré" aux personnages, je ne me suis pas sentie impliquée émotionnellement dans leurs mésaventures new-yorkaises. Pour être honnête, je me suis même ennuyée… Je pense que le fait de présenter les personnages à la façon d'un kaléidoscope est une volonté de l'auteure, mais j'ai trouvé que cela ne facilitait pas la compréhension de l'intrigue.

D'ailleurs, venons-en à l'intrigue! Au vue des premiers chapitres, je m'attendais à ce que le fil conducteur du roman soit Jo, l'étudiant musicien. Découvrir l'Amérique des années 40 à travers le regard de ce jeune étudiant français était une bonne idée. Mais rapidement, c'est une multitude de points de vue qui se succèdent. On passe d'un personnage à l'autre, d'une histoire à l'autre. Personnellement, je n'ai pas apprécié le fait qu'il n'y ait pas vraiment de fil conducteur à l'histoire.

Je ne doute pas que ce roman saura trouver son public. Alors, sans regret, je passe mon tour.
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Un premier tome que j'avais hâte de découvrir, je m'attendais à une ambiance à la west side story mais j'ai été déçue. Ce livre prometteur n'a finalement pas été un coup de coeur.
On y trouve Jocelyn jeune français arrivant aux états-unis et qui se retrouve malgré lui dans une pension pour filles. Jocelyn est attachant et toutes les demoiselles de la pension également. Seulement je n'ai pour ainsi dire pas trouvé où se situe l'intrigue ou le fil conducteur. On découvre une multitude de personnages qui vaquent chacun à leur occupation sans pour autant qu'un événement marquant arrive. Vers le milieu du roman on découvre une histoire d'amour avec pour le coup une réelle intrigue, qui retombe aussitôt le chapitre terminée pour ne pas reprendre. La suite est-elle dans les tomes suivants ?
En général pour des séries je m'attend à une "demi-conclusion" à la fin du livre, un terme qui permet de mettre un point final au roman avec néanmoins une porte ouverte pour nous donner envie de lire la suite. Un indice qui nous pousse à penser que cette histoire n'est pas finie. Cependant je n'ai retrouvé ni conclusion ni porte ouverte à la fin de ce roman.
J'attendais ma lecture depuis quelques temps et c'est finalement pour moi un flop.
Dommage pour cette autrice car l'idée est bonne, les personnages sont là mais je dirais que l'écriture et le déroulé manque un peu de vie, de peps.
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Oui, c'est sûr qu'il y a du bon dans cette trilogie. L'auteure rend bien l'ambiance électrisante de New York et le fourmillement d'après-guerre. Elle y aborde efficacement des thématiques trop méconnues ou tristement oubliées, comme cette fameuse chasse aux sorcières du contexte anti-communiste, le raciste latent – ou clairement avoué – de certaines scènes, l'homophobie, etc.
Mais d'un point de vue strictement narratif, les 1800 pages des trois volumes cette histoire-fleuve sont décevantes.
D'abord, et je m'étonne que si peu d'internautes le signalent, il y a infiniment trop de personnages, d'autant que leurs destinées sont assez similaires (toutes ces filles essaient de percer dans le domaine culturel, tout en essayant de trouver l'amour). On oublie qui est qui, quel est leur enjeu principal. A chaque changement de scène, il faut quatre, cinq, six pages pour se remémorer où on avait laissé tel ou tel protagoniste la dernière fois qu'il en était question, ce qui nuit grandement à la fluidité de la lecture. Et fatalement, une telle profusion de personnages fait que chaque intrigue ne progressera que très peu et très lentement. En fin de compte, au terme de la trilogie, ce qui arrive à chacun d'eux tiendra en un résumé d'un paragraphe. Ce qui laisse une impression assez vaine. Certaines pistes n'ont pas été exploitées, faute de… temps ? d'idées ? Les talents de pianistes de Jo et son début de carrière, la lutte politique de Dido, les apparitions de Woody Allen, le rôle de Midget dont on finit par ne plus reparler, sont quelques-unes de ces trames narratives avortées qui me viennent à l'esprit. En repensant à l'ensemble de l'oeuvre, je trouve des dizaines de sujets qui auraient mérité d'être creusés et qui ont été abandonnés, des idées assez riches qui n'ont jamais été développées. A certains points de vue, c'est un gâchis. Un gâchis particulièrement frustrant pour le lecteur qui a joué le jeu et investi des heures dans ces bouquins.
Que dire du style ? Là aussi, je m'étonne de ne pas trouver plus de commentaires qui le décortiquent un peu. La narration est souvent incompréhensible, obscure, cryptique, et les dialogues sont improbables et horripilants. Au fil de chacune des conversations, je ne peux pas m'empêcher de me dire que personne ne parle comme ça. Et Ferdjoukh prend un certain plaisir à embrouiller les pistes, à rester mystérieuse, au point qu'on passe parfois plusieurs pages à se demander : 1) qui, exactement, est en train de parler ? et 2) de quoi parlent-ils, bon sang, c'est incompréhensible ! Avouez, vous tous qui avez attribué 5 étoiles à cette oeuvre, qu'il vous est arrivé souvent de devoir revenir plusieurs pages en arrière pour essayer de comprendre de quoi il peut bien être question dans la scène que vous découvrez ! Est-ce la marque d'un bon bouquin, d'un style efficace, d'une lecture agréable ?
Prenons cet échange :
¬« — Des amis de New York… Jo et Dido. Deux fous ! Comment sont-ils arrivés là ?
— Vous savez, ces chiens de Baskerville sur pneus, climatisés, qui galopent de ville en ville ? J'en ai emprunté un pour 1,15 dollars, c'est très bien (…). »
C'est de la littérature pour jeunes ! Quel jeune va bien pouvoir comprendre cette histoire de « chiens de Baskerville » ? A moins de connaître le mot « hound » en anglais, et l'obscur lien que l'auteure établit entre le monstre d'Arthur Conan Doyle et les autocars Greyhound, c'est parfaitement cryptique. Une phrase qui fait peut-être plaisir à Ferdjoukh elle-même (elle gardera sans doute l'idée d'avoir trouvé une idée lumineuse et astucieuse), mais qui laissera perplexe neuf jeunes lecteurs sur dix. Quand chaque page est truffée de détails crispants comme celui-ci, on finit par se poser des questions.
Et à quoi servent tous ces extraits de chansons en anglais ? Ces titres de chapitres qui citent un ou deux vers des classiques de la musique américaine, mais trop souvent sans rapport avec le contenu des pages qui suivent ? La narration constamment interrompue par la retranscription de l'une ou l'autre strophe de paroles des tubes de l'époque ? Honnêtement, qui se casse la tête à les lire, même lorsqu'on est anglophone et pas le dernier des crétins dans le domaine de la musique ? Alors si ça n'apporte rien, à quoi bon ? S'agit-il juste de l'ambition de l'auteure de faire l'étalage de sa cuture (ou d'une recherche ciblée sur Google) des standards radiophoniques des States ? Mais pourquoi, si c'est en vain ?
Enfin, (et là, ce que je suis sur le point de faire n'est vraiment pas cool – vous voilà prévenus, n'hésitez pas à arrêter de lire ma critique ICI), soyons honnêtes… Tous les lecteurs qui ont achevé le volume 1 et qui se lanceront dans les volumes 2 et 3 le feront dans un but bien précis : découvrir enfin LA scène-clé qu'on sent venir et que tout le monde passera les 1200 pages suivantes à attendre en frétillant du plaisir agréable de l'anticipation. Sachez que la scène en question ne sera pas décrite, la narration s'arrêtera juste avant. Vous trouvez ce « spoil » vraiment pas sympa ? Tournez-vous plutôt vers Mme Ferdjoukh : c'est ce qu'elle nous fait là qui n'est vraiment pas sympa. J'aurais préféré être au courant avant de commencer, j'aurais économisé une petite cinquantaine d'euros et plusieurs après-midis de lecture pour me concentrer sur des textes moins frustrants.
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Au bout de 300 pages je laisse tomber. de jolies critiques avaient fait que je l'ai emprunté à une amie. J'avais lu et adoré quatre sœurs de la même autrice, mais je n'ai pas retrouvé le même charme.

Cela partait bien pourtant et au final je n'ai pas réussi à accrocher aux personnages que je trouve relativement interchangeable au point que je mélange les noms... une jolie plume, mais l'histoire n'est pas pour moi. Elle est trop longue pour le peu d'avancée d'intrigues et ne donne pas assez de présence à chaque personnages.
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