Broadway Limited, tome 1 : Un dîner avec Cary Grant

Quand Jocelyn débarque à la pension Giboulée, pour s'y installer, il tombe de haut. La pension est en effet 100% féminine et c'est par une erreur linguistique qu'il se retrouve dans cette situation. Suite à un concours de circonstances, il parvient à rester à la pension ! Les autres pensionnaires sont 6 jeunes filles qui ont toutes un rêve : briller sur les planches de Broadway.
Dans ce roman pour le moins étonnant, nous suivons à tour de rôle les aventures des pensionnaires de la Giboulée.
Mon avis sur ce roman est assez partagé d'un côté j'ai adoré rencontrer et apprendre l'histoire sur certaines d'entre elles mais de l'autre je l'ai trouvé d'une longueur…. J'ai souvent dû m'obliger à le lire, à continuer ma lecture quand tant d'autres livres m'appelaient.
De manière générale je l'ai trouvé très bien écrit, mais n'étant pas une fan de description, peut être que leur présence importante m'a découragée à certains moments ! Dorénavant je me tâte, dois-je continuer l'aventure pour en savoir plus sur certains personnages et leur histoire ou dois-je tout simplement passer au prochain ?
Parce que oui, malgré tout, je me suis attachée à certains personnages comme Hadley et Ogden, Chic, Jo et Dido ! Mais de l'autre côté, certains comme Page que j'ai pu adorer dès sa rencontre m'ont plutôt déçue, voire désintéressée rapidement. D'autres encore mon surprise ! Comme Artemissia, plus connue sous les surnoms du Dragon et du capitaine Bling !!
Si je continue l'aventure ce sera en lisant les deux (ou le dernier livre) en sautant les passages des personnages qui m'intéressent le moins !

Broadway limited
Malika FERDJOUKH

A la pension Giboulée située à New York on y accueille que des filles !
Chic la culottée qui est danseuse.
Page l'ingénue qui veut devenir comédienne.
Hadley qui vend des donuts, boissons et pancakes le jour et est cigarette girl la nuit tout en gardant son petit neveu pendant la convalescence de sa soeur.
Manhattan l'énigmatique qui est danseuse et va retrouver son père qui l'a abandonnée.
Etchika la vivace
Ursula l'étrange danseuse.
Et au milieu il y a Jocelyn, le jeune français atterri là par erreur.
Il est venu étudier et la respectable Mrs Merle lui accorde le logement du sous-sol en échange de soirées piano dont il joue très bien.
La vie des uns et des autres va s'entremêler avec des flashbacks tantôt tristes tantôt drôles !
Je ne suis pas sure de lire la suite mais c'était divertissant malgré une écriture qui m'a paru parfois étrange.

Broadway Limited, c'est l'histoire de tout un tas de personnages qui vivent dans la même pension de famille. En principe, Jocelyn n'aurait jamais du se retrouver là parce que Mrs Merle a une règle claire : pas d'homme dans la maison ! Mais il y a eu un petit quiproquo ; Jocelyn, c'est un prénom français qui se prononce en anglais comme Jocelyne … mais Jocelyn n'est pas une fille !

Mais il a une bonne bouille, le jeune français. Et, surtout, il sait jouer du piano ! Alors ok, il a la permission de rester dans la maison mais au sous-sol, pas à l'étage avec les autres filles, il ne faudrait pas exagérer !

Nous sommes à New York en 1948. Tout le monde porte encore la guerre en lui et l'heure est à la légèreté. Les filles sont danseuses, comédiennes, rêvent de grands destins. Jocelyn aussi, rêve d'une belle carrière de pianiste, c'est d'ailleurs pour cela qu'il est à New York, pour étudier dans une prestigieuse école.

L'ambiance de ce roman est sympathique, joyeuse, légère tout en laissant parfois voir des moments plus sombres. Ceux-là, on ne fait que les toucher du doigt ; après tout on n'est ici dans un premier tome, le reste sera développé plus tard. Les pensionnaires sont solaires, joyeuses, énergiques, elles deviennent très vite les amies de Jocelyn et les nôtres aussi.

Un roman qui devrait plaire aux fans de Malika Ferdjoukh et à ceux qui aiment les ambiances de grandes maisons pleines de vie et d'histoires !
Lien : http://milleviesenune.com/br..

C'était d'un ennuie .... beaucoup trop surcote cet ouvrage. Quand je pense qu'on nous a fait 600 pages ... il y a peu d'action pour beaucoup trop de personnages. L'ambiance américaine et artistique est vraiment sympas. Mais je n'ai vraiment pas adhéré au style d'écriture de l'Autrice. Je voulais aller au bout en me disant : je dois louper quelque chose. Eh bien non rien ... rien m'a vraiment retenu. C'est trop dommage je voulais vraiment commencer une saga sympas. Trop de longueur. Je pense que cela se veut comme un sitcom version année 50. Malheureusement le train brodway limited m'a laisser a quais.

J'étais bien emballée par le résumé : le quiproquo annoncé, le lieu et l'époque... Mais j'ai très vite senti que ça n'allait pas le faire : beaucoup trop de personnages! J'aurais pu m'en douter avec la page de distribution qui m'a fait penser à un flyer de comédie musicale... Dès le départ, je me suis sentie noyée sous les personnages, passant si vite de l'un à l'autre que je n'avais pas le temps de mémoriser qui était qui. Si bien que presque tout le long du roman j'ai eu beaucoup de mal à me rappeler de qui il s'agissait chaque fois que nous repassions à un autre... Les seuls passages que j'ai réellement appréciés sont les deux ou trois qui s'arrêtent plus longtemps sur un personnage. En revanche, j'ai apprécié l'écriture, le style et il faut reconnaître à l'auteur qu'elle sait ménager ses effets!

Une formidable plongée dans le monde du spectacle et de la nuit pendant l'après guerre aux États-Unis.
C'est virevoltant, très réaliste, positif, très visuel et totalement cinématographique.
Les personnages des jeunes filles sont typiques, sympathiques.
Le personnage masculin français est bien trouvé et amène une touche d'émerveillement et de candeur.
Et pourtant, malgré tous ces bons ingrédients, je n'ai pas adhéré totalement.
Il y avait trop de personnages traités à égalité et en même temps, si bien que je n'arrivais vraiment pas à savoir qui était qui. Je me perdrais dans leurs histoires et ne parvenais pas à m'attacher. À un moment donné, l'auteur s'arrête sur une des filles, nous donne un bout de son histoire, nous la présente plus, on s'y attache alors et on espère que le récit va prendre une autre tournure, plus accès sur elle....et non....dommage.

Il faut saluer à tout le moins le travail. Par contre je n'ai rien trouvé d'accrochant dans ce roman, je me suis ennuyée et j'avoue l'avoir lu en biais. Trop fouillis, pas très original, pas de ligne vraiment qui mène à quelque chose au moins un peu surprenant. On perd le fil des personnages, le seul qui a un petit intérêt est celui de Jo, mais qui finalement n'a pas vraiment d'impact. Je m'attendais à plus de matière, que le thème soit plus prenant dans cette belle ville et dans les années 40. Je ne lirai pas la suite de cette trilogie.

Je me suis laissée entraîner dans cette lecture par tous les retours que j'avais eu. Malheureusement, ça ne l'a pas fait.
Je n'ai pas passé un mauvais moment en soit, je trouve l'écriture belle et les personnages nous donnent envie de s'attacher à eux. Je crois que c'est juste le type de récit qui ne me corresponds pas.
Il n'y a pas d'intrigue particulière (ou alors je ne l'ai pas compris). On suit les pensionnaires de la pension Giboulée (ainsi que Jocelyn qui se retrouve là un peu par erreur) à travers leur quotidien dans un New York d'après guerre. C'est un récit lent contemplatif sans énormément de rebondissement. Je crois que ce type de roman ne me convient tout simplement pas. D'où mon abandon à la moitié du livre..

Dans cette histoire nous allons suivre Jocelyn Brouillars, jeune français, venu passé un an au lycée en Amérique, ce continent si intriguant. Mais à cause d'un quiproquo, ce dernier va atterrir dans la pension Giboulée, un pension réservée....aux filles. Ce dernier va donc essayer de s'intégrer à la fois dans cette pension chaleureuse et remplie d'histoires mais surtout dans ce pays, très loin de ses proches restés en France. En plus du parcours de Jocelyn, nous allons également suivre les destins de plusieurs des jeunes filles de Giboulée.

J'étais très intiguée par ce livre, mais même si je n'ai pas été déçu cela n'a pas non plus été un coup de coeur. Alors je préviens c'est 100% personnel parce qu'au niveau du livre en lui-même il n'y a rien à redire. L'écritures est très belle, on se représente très bien l'ambiance et on se sent même inclus dans cette pension. de plus, j'ai trouvé cela intéressant de suivre plusieurs histoires, totalement différentes en même temps. Il y avait aussi plusieurs références à la Seconde Guerre mondiale et ses dégâts et notamment comment le pays essaie de se reconstruire tant bien que mal. Donc d'une part, le livre est très bien écrit et attachant. MAIS le problème qui déjà m'a empêché de totalement accroché c'est que certes il y a plusieurs personnages. Cependant, d'entrée de jeux, on a à peine le temps de connaître le cadre spatio-temporel, qu'on nous parle déjà de Page, Manhattan et Hadley. En outre, elles ne sont pas assez présentées en profondeur ou du moins pas assez, car jusqu'à la moitié du livre ( qui fait quand même 597 pages!), je devais toujours revenir au début du livre où il y avait la présentation des personnages. Je trouve cela fort dommage car on n'arrivait pas tellement à suivre et donc à s'attacher à chacune d'elles. Sans parler des personnages secondaires toujours plus nombreux aussi.

En conclusion, même si le livre est très bien écrit et a un certain attrait je ne continuerais malheureusement pas, car trop de choses à suivre, on se perd facilement et donc on ne se retrouve dans aucun des personnages.

Broadway Limited
Tome 1 : Un dîner avec Cary Grant

Une petite erreur...

Malika Ferdjoukh, l'auteure de Broadway Limited, écrit des romans, ainsi que des scénarios pour la télévision, le cinéma, et la BD. Son premier roman, Les joues roses, paru en 1993, a reçu le Grand prix du Ministère de la Jeunesse et des Sports, le Prix du Roman Jeunesse Européen et le Prix du roman d'humour 1993. Ses romans jeunesses sont traduits dans de nombreuses langues dont le japonais, l'allemand, l'espagnol, le coréen ou encore l'italien.

Une pension pour dame, un jeune homme français, une erreur de langue…
Jocelyn Brouillard, jeune français débarquant à New York, se retrouve à la porte de la pension Giboulée où il devait normalement loger. Cependant, cette pension et strictement interdite au garçons… Par chance, il obtient le sous-sol du bâtiment comme logement pour avoir en sa possession et sans le savoir un ingrédient que ne laisse pas la propriétaire de la pension indifférente.

Un livre qui nous plonge au coeur de la ville de New York en 1948.
J'ai vraiment apprécier ce livre même s'il est un peu lent à démarrer. Nous découvrons petit à petit la vie et le passé des jeunes filles aussi belles que mystérieuses qui habitent la pension Giboulée.
Je l'ai trouvé intéressant car il nous fait revenir en arrière dans le temps et nous oblige à rentrer dans un univers qui nous et inconnu et où la modernité à laquelle on nous a habitué n'existe pas.

Je conseille ce livre à ceux qui aiment les histoires qui sortent de l'ordinaire et surtout à ceux qui sont patients envers les livres ; )
J'ai vraiment envie de lire le tome 2 !

Petite citation :
‘‘ - Co… comment une telle erreur ?… bredouilla-t-il enfin. Je vous ai expliqué qui j'étais…
- My ! Vous m'avez écrit en effet que vous étiez la cousine de Mr Steve O'Day.
The cousin. Ah, la indélicate et désinvolte qui vous fourrait masculin et féminin dans le même sac !
- Désolé. Je suis le cousin Jocelyn. Pas la cousine Jocelyne.
- Oh...Dear, dear, dear. ''

Sarah