J'ai arrêté les frais à la page 419. Je n'ai pas vraiment lu, mais survolé en diagonale. Evidemment, c'est de la grande littérature et celui qui peut s'y attarder goûtera certainement la prose et apprendra énormément de choses sur la création d'une biographie fictive, sur l'histoire, vraie ou inventée, et sur la peinture, mais moi je n'ai rien trouvé qui puisse servir mon objectif. Et je dois dire que mon trouble grandit. Dans Alessandro (…) d'
Alain Absire, j'avais été étonné de la pauvreté des descriptions, de l'absence de mise en situation. C'est encore pire ici. Si je compare avec le cinéma, je dirai que le metteur en scène qui ne veut pas tourner en extérieur, va tout de même reconstituer des décors en studio. Ici, rien du tout, aucun décor. Ce roman a pourtant un sous-titre : « roman florentin ». Où est Florence dans ce texte ? Je n'ai rien trouvé. Je publie un extrait à titre d'exemple du genre de description que l'on peut lire : vague, banal, des clichés. Déçu.