Astérix, tome 39 : Astérix et le Griffon

L'été est pour moi la saison de la lecture et/ou relecture des BD. J'ai trouvé celle-ci - le tome 39 de la série - comme legs du dernier passage dans la maison de mes petits-enfants.

Toujours dans la tradition des pères fondateurs Goscinny et Uderzo, mais la recette patine un peu. On se régale toujours néanmoins des noms donnés aux personnages, le plus notoire étant le géographe Michel Houellebecq (alias Terrinconus), ce qui est logique puisqu'il fut diplômé de l'Institut d'agronomie.

La trame du scénario mène une troupe de soldats Romains à la recherche de l'animal fabuleux mi-aigle, mi-lion, que César désire.

On ne sait pas bien pourquoi Astérix et ses copains s'embarquent eux aussi à travers les steppes enneigées de la barbarie et s'enfoncent dans cette Russie où l'on écrit les lettres à l'envers. Sans doute parce que le druide Panoramix veut rendre visite à son collègue le chaman Cekankondine. Naturellement, ils vont croiser la route des Romains. A leur grande surprise, ce sont les femmes qui guerroient dans cette contrée inhospitalière, de puissantes amazones dotées d'un sens stratégique très poussé.

En vrac, on appréciera les jeux de mots variés sur le concept de site, les allusions aux fake news, la supériorité (?) de la diplomatie gauloise sur la force brute (la potion magique a gelé dans ces rudes contrées), l'attirance d'Idéfix pour ses congénères loups, au grand dam d'Obélix qui a son tour va être charmé par une belle amazone.

Le seul inconvénient de ce nouvel opus est d'avoir été conçu avant l'agression de la Russie sur l'Ukraine. On n'a pas tellement envie de s'amuser au sujet de Russes sympathiques et de leurs femmes plantureuses.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..

J'ai longtemps hésité à acheter cet énième épisode d'Astérix. J'ai tout de même sauté le pas.
Je sors perplexe de cette lecture. Les héros habituels y figurent à savoir Astérix, Obélix et Idéfix. Et c'est bien tout. L'idée de faire figurer des amazones d'inverser les rôles avec les hommes est ingénieuse. Cependant, je trouve cela trop facile de nos jours. Leur influence sur l'intrigue est limitée. J'ai trouvé le scénario un peu faible. Et la découverte du griffon m'a laissé de glace. Ma lecture s'est rapidement trouvée ennuyeuse.
Il n'y a guerre que le petit idéfix qui ait réussi à me faire sourire.
Une aventure qui manque de potion magique pour que je sois conquis. Dommage.

A peine rentré à la maison, on se glisse sous la couette, l'envie de sortir la lampe de poche pour lire les dernières aventures de nos amis gaulois comme quand on était gamin.
Le plaisir est toujours là : lire un Asterix c'est toujours un jeu plaisant. Ce 39e opus nous propose quelques jolies trouvailles mais il nous donne surtout envie de ressortir l'un des premiers albums.

Il y a des bonnes idées mais les auteurs ne semblent pas savoir quoi en faire. Et quand il s'agit d' inscrire la BD dans l'ère du temps en parlant de femmes guerrières, de fake news, sujets où ils y aurait pourtant plein de choses chouettes à faire, les auteurs semblent être confrontés à une mission impossible, incapable de donner corps à leurs idées, comme si, finalement, ils n'avaient rien à dire sur leur époque, si tout ça n'était que du placement produit, pour faire moderne parce qu'on parle des amazones.

Au final, un tome d'Asterix peu inspiré et surtout peu inspirant. Et c'est vraiment dommage parce qu'il y avait beaucoup de choses pour se démarquer, sans doute trop.

Si j'ai apprécié les dessins, le scénario , en revanche ne m'a pas emballée.
J'ai eu la sensation d'une accumulation de jeux de mots un peu lourds et de scènes inspirées de l'actualité. Mais quand je lis, ce genre de d'albums, c'est justement pour pouvoir penser à autre chose.
Uderzo et Goscinny abordaient déjà les sujets d'actualités bien sûr, mais c'était plus subtil.

En revanche les dessins m'ont plu, ils s'éloignent un peu du dessin original, mais ce n'est pas dérangeant.

Pas convaincu par ce tome. Côté dessin, rien à redire (à part des cases parfois trop petites pour un graphisme aussi fouillé). Mais niveau scénario, ben il ne se passe pas grand chose: César cherche le griffon, Panoramix fait des rêves, Idefix fait copain avec les loups, Asterix à des plans... Quelques jeux de mots et puis c'est tout.
Lecture sans plus.

Une lecture franchement décevante. le griffon, principale raison de ma lecture, n'apparaît pour ainsi dire pas et se révèle très différent de ce qu'on attend. Excepté pour les personnages principaux le dessin est assez moche et à cause d'un parti pris sur les e la moitié du texte est difficile à lire. Et l'histoire n'est pas très intéressante.

Proclamer que l'album n'est pas au niveau d'un Goscinny/Uderzo, c'est un peu injuste vis-à-vis des auteurs ce ce numéro 39 des aventures d'Astérix. C'est un peu comme si à chaque fois que quelqu'un inventait une chanson, on la comparait aux chefs-d'oeuvre de Lennon, McCartney et consorts. Non, cet album, j'avais envie de l'aimer, j'avais envie de m'y plonger sans cynisme, sans attentes démesurées.
Mais non, ça le fait pas. Il n'y a pas, je trouve, grand chose à sauver d'une aventure où ne se passe pas grand chose, où aucun personnage nouveau n'a d'intérêt ou de relief. Tout ou presque est expliqué par le dialogue, par les commentaires, très peu par l'action. Cet erreur de débutant n'est pas acceptable quand on ambitionne de reprendre l'univers d'Astérix. Oserai-je ajouter qu'à plusieurs reprises j'étais complètement paumé, et donc indifférent, face au récit ? J'imagine mal un enfant s'y plonger et y comprendre grand chose. Les albums scénarisés par Goscinny étaient à plusieurs niveaux de lecture : ici c'est ni fait ni à faire, compliqué pour les enfants, superficiel et confus pour les adultes. Bref, je déconseille...avec regret, car j'aurais adoré une histoire sympa de nos gaulois préférés !

J'ai été très déçue par ce dernier tome des aventures de nos chers Gaulois. le dessin est parfait, il n'y a rien à redire à ce niveau, mais l'histoire ne m'a pas captivée du tout. Je l'ai trouvée plate et sans saveur. de plus, cette façon de faire parler les personnages avec le "E" à l'envers m'a vraiment agacée car ça m'a gênée dans ma lecture. Il m'a aussi manqué cet humour si caractéristique de la série. Là, mis à part les noms des Romains, on n'a pas trop d'occasions de sourire. C'est dommage mais je suis vraiment passée à côté de ce tome! J'espère que le prochain sera meilleur...

Beaucoup aimé cette aventure que je trouve très actuelle avec les modes actuelles d'enseignements dites "positives".

L'antagoniste a un réel background et le danger qu'il représente est bien réel.

Toujours les jeux de mots et autres autres "blagues" dans l'A.D.N des albums précédents (même si je n'ai pas trop accroché sur le précédent).

Bref la relève est assurée pour asterix