Les Dieux du hockey, tome 1 : L'égocentrique

Aussi sexy et talentueux l'un que l'autre, Ezra et Anton, joueurs de hockey évoluant en NHL dans des équipes adverses, se détestent. le premier est ouvertement gay, charmeur, enchainant les coups d'un soir sans se cacher, grande gueule, drôle, sûr de lui, ... tout le contraire du second, qui refusant que sa vie et sa carrière soit définies par son orientation sexuelle, n'a pas fait son coming-out.

Mais un soir de match, alors qu'Ezra, bourré, traine dans les bars pour se trouver un coup vite fait histoire d'oublier la branlée que son équipe et lui viennent de se prendre (de la part de l'équipe d'Anton, ce qui n'arrange rien), c'est justement Anton qui le tire des griffes de supporters qui voulaient en venir en mains... et une chose en amenant une autre, Ezra se retrouve dans l'appartement d'Anton a se faire joyeusement culbuter contre le mur par son "ennemi".

Mais ce qui devait n'être qu'un coup de plus, une façon de relâcher la tension, un erreur de parcours, finit par se reproduire... et peu à peu, les deux sportifs apprennent à se connaître, à voir au-delà de la façade présentée au monde, au-delà des murs, et à s'apprécier, outre une alchimie physique plutôt indéniable. Et quand Anton est transféré dans l'équipe d'Ezra, les deux hommes vont devoir ouvrir les yeux et tenter de comprendre ce qui se passe entre eux.

J'ai été un peu déroutée par le début, que j'ai trouvé très (trop) rapide : l'auteur nous dit que les deux hommes se détestent, mais j'aurais aimé que la tension monte un peu plus entre eux, que je puisse percevoir cette animosité qui finalement, prend ses racines sur pas grand chose, Anton pensant qu'Ezra est seulement un serial fucker qui aime faire la une des tabloïds et Ezra pensant qu'Anton est un hétéro coincé homophobe, les deux hommes se trouvant ceci dit sexy en diable et très bons joueurs.

Mais une fois passé cette petite gêne, après leur premier rapprochement, j'ai plongé dans cette romance sportive plutôt sympathique, ou l'auteur a créé tout un monde de sportifs gays, cette série reprenant des personnages de sa série Faux petit-ami que j'avais bien aimée, et CU Hockey, qui n'est pas traduite à ce jour. Et cette idée du "collectif queer" qui se serre les coudes, avec ces rencontres post-match et cette solidarité est plutôt cool, tout comme ce monde (malheureusement pas réel) de la tolérance et de l'acceptation aux vestiaires. Les échanges verbaux des deux hommes sont savoureux, leurs échanges physiques chaud-patate et on partage des moments de match plutôt sympa.

Bref, une lecture bien agréable, avec des hockeyeurs sexy et sympa, j'ai hâte de lire la suite et pourquoi pas, si la ME m'entend, l'autre série du même univers, CU Hockey.

Un grand merci à NetGalley et à MxM Bookmark pour ce service presse.

Comment vous parler de ce coup de coeur ?

Ezra et Anton, tous deux joueurs de hockey, ne peuvent pas se voir en peinture, et ce n'est un secret pour personne. Je ne vais pas dévoiler davantage que ce que le résumé ne raconte (qui est déjà bien explicite).

Avant même sa sortie, j'étais déjà très emballée par le résumé. Un enemies-to-lovers entre deux hockeyeurs ? Pas besoin d'en dire plus, j'achète !

Je connaissais déjà Eden Finley pour sa saga Faux petit-ami (que j'adore) et je découvre Saxon James avec ce premier tome des Dieux du hockey. le duo fonctionne à merveille : fluide, drôle, frais, vraiment, rien à redire.

Les personnages sont différents et c'est la raison de leur animosité l'un envers l'autre. Ezra est ouvertement gay et n'hésite pas à s'afficher sans se soucier des qu'en dira-t-on alors que Anton, qui n'a fait son coming out qu'à quelques personnes de son cercle privé, n'est pas un habitué des relations éphémères et préfère ne pas voir sa vie privée étalée dans les médias.

Je me suis tellement attachée aux personnages ! Ezra, grande gueule et sûr de lui, est bien plus sensible que ce que son côté provocateur laisse paraître. Anton lui, est un homme confiant et gentil, un vrai protecteur, et très possessif...

Leurs joutes verbales et la tension qui réside entre eux est un régal ! C'est bien simple, j'ai passé mon temps le sourire scotché aux lèvres. Les superstitions de Ezra m'ont fait mourir de rire ! Les chats noirs, très peu pour lui ! Les chats tout court en fait...

Ce roman réuni à lui seul tous les ingrédients pour en faire le roman parfait à mes yeux : deux hommes sexys, une tension palpable, des scènes torrides à souhait, une bonne dose d'humour et des émotions sincères. Ezra et Anton remportent haut la main le coup de coeur de ce début d'année 2024 en terme de personnages ! Il sera difficile de les détrôner...

J'attends avec impatience l'histoire de Tripp et de son irresponsable.

Mention spéciale pour le collectif queer : un roman où l'homophobie n'est pas présente dans le milieu sportif, ça change et ça fait plaisir !

En résumé, si vous cherchez une romance qui ne manque pas de piquant et d'émotions, alors foncez, ce roman est fait pour vous !

J'ai passé un excellent moment avec "L'égocentrique". J'avais vu passer quelques retours mitigés donc je partais sans attente particulière et ma lecture s'est révélée être une très bonne surprise.

Anton et Ezra sont deux hockeyeurs au sommet de leur carrière. Tous deux joueurs en NHL dans des équipes concurrentes, leur animosité est aussi vivante sur la glace qu'en dehors. Il faut dire qu'ils ont tous les deux un égo démesuré qui cache néanmoins quelques fêlures. Anton ne supporte pas le côté léger et ouvert d'Ezra sur son homosexualité ; quant à Ezra, il déteste le côté lisse et parfait d'Anton.

Léger, fun, sexy, c'est tout ce que j'attends d'une romance sportive en mode enemies-to-lovers. Celui-ci est très bien géré, on sent vraiment l'animosité entre Anton et Ezra ; leurs dialogues sont d'ailleurs savoureux : entre piques et insultes voilées, ils ne se loupent pas ! La tension qui vibre entre ces deux-là fait des étincelles et rien d'étonnant à ce que ça finisse par un coup d'un soir explosif. Les choses se compliquent quand des mois plus tard, Anton atterrit dans l'équipe d'Ezra.

Leur rapprochement par la suite est bien amené, ils apprennent à se connaître doucement, une amitié se construit et l'affection gagne la partie peu à peu. Alors oui, le roman est truffé de blagues et de sous entendus sur le sexe, c'est d'ailleurs une grande partie de leurs conversations. Mais cela rend les moments où ils se dévoilent encore plus fort. Si vous n'aimez pas les récits basés essentiellement sur ce genre d'humour, passez votre chemin. Si cela ne vous dérange pas, n'hésitez pas à découvrir cette sympathique romance sportive. Parce qu'en parlant de ça, le duo Eden Finley et Saxon James nous offre un joli nombre de scènes se déroulant sur la glace, décrivant l'ambiance des vestiaires, la ferveur et la rudesse des matches, des actions défensives et offensives. Bref, la vie de deux hockeyeurs quoi. Top !

Ezra et Anton avec un Culomètre à 🥵
📣 Livre reçu en service presse. Sortie le 21 février.

Je l'attendais beaucoup, j'adore Eden Finley et sa plume m'avait manqué. J'en voyais que du bien sur les réseaux. Et pourtant...

Ezra et Anton se détestent. Si vous ne le saviez pas, ils seront très facilement vous le rappeler. le premier est un joueur ouvertement gay, qui le montre à la presse et qui aime les coups d'un soir. le deuxième est aussi gay mais ne le crie pas en public. Et il se détestent, se lancent des piques et se reprochent des tas de choses. Jusqu'à qu'ils couchent ensemble.

Je pense que les "enemies-to-lovers", ce n'est plus mon truc. le problème est que cette source de haine est souvent injustifiée ou carrément sortie de nulle part. Mais alors ici, ils se lancent des piques qui sont parfois carrément horribles. Et, pour moi, ça a mis à mal leur alchimie dès le début et pour les trois quart du roman. Ils sont des hommes de 27 ans et se comportent comme des ados de 16, ce n'est ni drôle, ni n'alimente leur haine.

Anton passe son temps à reprocher à Ezra de tremper sa nouille partout, alors que... C'est un homme de trente ans qui profite de sa vie ?! On a l'impression qu'il jette tout son homophobie internalisée sur Ezra sans se remettre en question et c'est carrément lunaire. Ça aurait été intéressant si seulement, ça donnait une leçon à l'un des personnages, que ça voulait faire passer un message mais, même si à un moment, Anton apprend quelque chose, que Ezra inspire des jeunes en étant un joueur de hockey gay, mais pas plus quoi...

Bref, sans vouloir gâcher votre lecture ou ne pas vous donner de le lire, je suis assez déçue de ce premier tome, où je me suis vraiment ennuyée ! On verra donc pour le deuxième !

Ezra et Anton se détestent. Ils jouent au hockey dans deux équipes différentes et s'affrontent dans la course à la coupe. Pour Ezra, sa vie est parfaite : il aime son boulot, s'affiche ouvertement avec ses conquêtes et ses frasques. Il se fiche des retombées et est libre sauf qu'Anton lui bloque la voie vers la finale. Ce dernier est un bosseur, calme qui souhaite garder son orientation sexuelle dans sa sphère privée... soit tout le contraire d'Ezra qui lui tape sur le système.
Je ne sais pas si c'est à cause du fait que j'ai lu le même type de livre il y a quelques jours (livre que j'avais adoré) ou si c'est la plume mais j'ai nettement moins accroché à cette histoire. Déjà les personnages principaux sont usants : ce sont de grands enfants avec des egos démesurés. Alors oui il y a de l'humour mais à la longue j'ai trouvé ça lourd et lassant. Je n'ai pas non plus ressenti de conclusion sur une partie de l'histoire et ça m'a un peu frustrée. Vu le caractère du personnage impliqué, je m'attendais à autre chose. Bref, j'ai trouvé le roman long et très moyen. J'ai cependant envie de lire d'autres tomes de cette série car les personnages concernés m'intriguent et certains m'ont touchée. Si vous aimez le hockey avec des égocentriques qui sont coincés au stade d'adolescent et se détestent ... c'est pour vous 😊 !
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