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3,68

sur 398 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Chose très rare de ma part, j'ai abandonné au bout de 150 pages ce thriller particulièrement déconcertant tant le personnage d'Emma Stein, une psychiatre autant perturbée que ses patients m'a déplu et laissé plutôt perplexe. C'est aussi sans compter le rythme et l'intrigue imposés par l'auteur qui se plait allégrement à nous dérouter, si bien qu'on ne sait plus (comme Emma Stein d'ailleurs), ce qui est réel, ce qu'elle a cru voir ou entendre et l'imagination pure et simple sinon fantaisiste de cette dernière.
Tant pis !

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Emma Stein, psychiatre a été victime d'une agression, depuis elle vit cloîtrée chez elle tant elle a peur de recroiser son agresseur qui a fait d'autres victimes.
Mais un événement extérieur va obliger Emma à sortir, et les choses vont s'accélérer et se gâter.
Le roman débute bien mais à mesure que l'on s'enfonce dans l'histoire, l'intrigue devient tellement énorme, confuse, truffée d'invraisemblances que j'ai été désappointée et j'ai eu du mal à rester accrochée à ce roman qui ressemble à un pastiche de roman noir plus risible qu'inquietant. À trop vouloir en faire on récolte souvent l'effet inverse.
C'était mon premier roman de cet auteur, je ne pense pas renouveler l'expérience.
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Moi qui aime habituellement varier mes genres de lecture, j'enchaîne les thrillers depuis quelques semaines. Et peu après avoir découvert le thriller espagnol avec le très bon Je ne suis pas un monstre de Carme Chaparro, me voici désormais partie du côté de Berlin pour lire la plume de Sebastian Fitzek, le maître du thriller outre-Rhin. Et bien je peux dire que l'auteur allemand m'a nettement moins convaincu que son homologue ibérique.

Emma est psychiatre, tout va bien pour elle jusqu'au moment où elle se fait violemment agressée et finit par se retrouver « embunker » dans sa maison, incapable de sortir de chez elle. Elle ne communique plus avec l'extérieur, n'interagit plus avec ses voisins . Jusqu'au jour où le facteur lui demande s'il est possible qu'elle garde le colis de son voisin qui est absent...

La première chose que j'ai envie de dire est que c'est un roman qui se lit vite et bien. Mais j'ai trouvé le tout très brouillon, invraisemblable voire grotesque. La chute finale est intéressante – pour le coup je ne l'ai pas vu venir - mais n'est pas crédible pour deux sous de mon point de vue. Selon moi, Sebastian Fitzek a voulu faire trop compliqué, certainement dans sa volonté de perdre son lecteur et le conduire sur de mauvaises pistes pour mieux le surprendre à la fin. Mais à vouloir trop en faire, cela eut sur moi l'effet inverse : je ne croyais plus une seule seconde à l'histoire que j'étais en train de lire. Je pourrais donner des exemples mais ne souhaite en aucun cas « divulgâcher » le plaisir de futurs lecteurs.
Alors oui, je sais, je lis un thriller, pas un manuel d'histoire, mais quand je lis ce genre de roman, je veux avant tout être emportée par une histoire, et par une histoire crédible de préférence (sinon j'ai le fantastique, l'horreur ou la fantasy pour l'imaginaire).

Concernant l'écriture, je n'ai pas grand chose à en dire, c'est simple, efficace, avec les accroches là où il faut. Monsieur Fitzek maîtrise son sujet. La narration est elle aussi très classique, avec des allers-retours présent/passé qui rythment correctement le récit.

En résumé, un thriller qui se lit facilement, qui divertit, sans plus. Il ne révolutionne pas le genre et sera, je pense, aussi vite oublié qu'il a été vite lu. Il paraît que ce n'est pas le meilleur de l'auteur, tant mieux j'en ai un autre dans ma PAL. Je lui laisserai donc certainement une deuxième chance...


Challenge ABC 2020/2021
Challenge Mauvais genres 2020
Challenge Trivial Reading 8
Challenge Jeux en Foli...ttérature

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Grosse déception. Après avoir lu beaucoup de bien de cet auteur, je me suis lancée dans le Colis. Un début très prometteur. Emma Stein, psychiatre, se retrouve dans une chambre d'hôtel au style made in China apres sa conférence. A la sortie de la douche, elle découvre, révélé par la buée de l'eau chaude, un mot flippant sur le miroir de la salle de bain. C'est ensuite en pleine nuit, qu'elle s'aperçoit ne plus être seule dans la chambre. Un inconnu avec une seringue, des gants en latex et une tondeuse se trouve à quelques centimètres d'elle, puis trou noir. Elle a été rasé entièrement, n'a plus aucun cheveu, elle sait qu'elle a été violé, elle sait qu'elle n'a rien inventé de tout ceci mais des faits troublants la décrédibilise. Comme le Numero de chambre 1904, qui en fait n'existe pas dans cet hotel. Comme le fait que le Coiffeur, homme qu'elle pense en être la victime, mais qui d'habitude s'en prend à des prostituées qu'il ne laisse pas vivante. C'est ainsi qu'Emma devient le fruit qu'elle soignait autre fois, entre paranoïa et crise d'angoisse, la folie la guette. Un super début, avec un colis déposé chez elle, appartenant à un voisin dont elle n'a jamais entendu parlé. A partir de là, tout n'est que brouillon, folie et assemblage non credible. L'histoire même du colis je trouve n'a même pas sa place dans ce livre, . Les scènes de folie décrite par l'auteur sont réussis mais un peu trop, ce qui m'a perdu à plusieurs reprises, on ne distingue nous même pas ce qui est réel ou non. L'imagination d'Emma est décrite comme débordante, ils insistent tellement sur la folie que nous ne sommes même pas capable de distinguer le vrai du faux et c'est ce qui m'a beaucoup perturbé dans les 3/4 du livre. Mais je me disais que c'était peut-être un mal pour un bien, que la chute serait ce qui expliquerait tout ceci. Alors je continue ma lecture pour m'apercevoir que l'auteur a choisi une chute à une longue distance de la crédibilité. Des masses d'explications, de suppositions pour expliquer les éléments qui n'ont pas de sens ou le fameux colis.
Dommage que ce soit le premier livre que je lis de cet auteur, j'avais pourtant entendu beaucoup de bien..
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Lecture facile pour ce thriller qui ne brille pourtant pas par son inventivité. Une psychiatre sombre dans la dépression et la paranoïa. Elle dit avoir été violée par un psychopathe surnommé "le coiffeur". Mais étrangement, il ne l'a pas tuée. Tout se joue sur le postulat : A-t-elle tout inventé et sinon qui est coupable ?
Juste 2h de lecture pour l'oublier aussitôt !
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Emma Stein est psychiatre, alors qu'elle aide ses patients à faire face à des traumatismes divers, c'est elle qui en subit un. Elle est violée par celui que l'on surnomme « le Coiffeur », qui viole et assassine ses victimes après leur avoir rasé le crâne. Mais quelque chose cloche dans cette histoire, des incohérences, et plus surprenant encore, certains ne la croient pas.
Le roman démarre fort, j'ai tout de suite aimé ma lecture, mais la déception a été à la hauteur de la forte impression que j'avais eu durant les premiers chapitres.
J'ai eu l'impression de lire une autre version de « La femme à la fenêtre » de A. J. Finn. Roman que j'avais écouté et qui ne m'avait procuré aucune émotion... Comme dans ce roman, le personnage principal n'est pas attachant, je l'ai même parfois trouvé bête, elle se pose des questions assez inutile puisque les réponses sont évidentes! J'ai cru à un moment donné que le roman allait enfin se renouveler avec une révélation extraordinaire, mais non. La fin est surprenante, certes, mais elle n'est malheureusement pas crédible à mon sens. J'ai trouvé que c'était vraiment trop « gros », trop invraisemblable, trop tout. Mise à part cette révélation inattendue, le roman a quand même pour atout d'être addictif, on a envie de connaître la suite, d'être surpris, mais ça retombe comme un soufflé.
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"Psychiatre, Emma Stein a été victime d'une agression nocturne dont elle s'est miraculeusement sortie. Depuis, elle vit recluse dans sa maison, de peur de croiser à nouveau la route de ce psychopathe que la presse a surnommé le Coiffeur. Un jour, son facteur lui demande d'accepter un colis pour l'un de ses voisins. Emma connaît tous ceux qui habitent dans sa rue. Or, elle n'a jamais entendu parler de cet homme...". 😲

La quatrième de couverture de ce thriller avait tout pour m'attirer. Sans parler de la couverture elle-même, que je trouve géniale! Malheureusement je ressors déçue de ma lecture. 😑

En effet, je n'ai jamais réussi à me laisser prendre par l'intrigue. J'ai trouvé les éléments apportés par l'auteur presque caricaturaux. L'idée de surfer sur une forme de paranoïa aiguë était pourtant bien trouvée pour faire douter le lecteur à chaque indice déposé ici ou là, mais la somme des événements a fini par me lasser et me faire dire que le scénario était vraiment "too much". Je ne parlerai même pas de la fin qui m'a vraiment laissée... sur ma faim justement! 🤔

Une rencontre ratée donc pour ma part... 🤷

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L'histoire :
Emma avait tout : un couple équilibré, un métier passionnant, des amis fidèles et même un bébé à naître. Mais sa vie a basculé à cause d'une agression dans un hôtel : un homme lui a rasé le crâne avant de la violer. Perdus le bébé, le travail, la confiance en elle et la raison. Depuis elle vit cloîtrée dans sa maison, sous tranquillisants et apeurée. Jusqu'au jour où le facteur lui laisse un colis à remettre à un mystérieux voisin, acte anodin qui va pourtant faire éclater ce qui lui reste de vie.

Mon avis :
Tiens donc, un écrivain allemand et qui plus est, semble cartonner dans son pays. Un maître du thriller outre-Rhin, ma curiosité est attisée.
Gros coup de coeur pour la couverture pile dans le thème. On dirait qu'on tient un colis entre ses mains, il y a même l'effet carton abîmé et l'étiquette avec le poids, l'expéditeur (la maison d'édition), l'ISBN pour numéro de colis. Non vraiment j'ai adoré l'idée. On devine l'imagination nécessaire derrière tout ça, mais attention car quand on en a trop ça peut parfois nous jouer des tours.
C'est un thriller que nous propose Sebastian Fitzek. Un tueur en série qui viole et tond ses victimes, il n'en fallait pas plus à la presse pour lui affubler le surnom du "Coiffeur". Emma, notre héroïne, a survécu à cet individu. Bien qu'ébranlée elle est encore vivante. Mais l'arrivée d'un colis dans sa maison va la plonger encore un peu plus en Enfer.
Sans mauvais jeu de mots l'intrigue de ce roman est tirée per les cheveux... J'adore pourtant les multiples rebondissements apportant de l'action aux intrigues. Mais là c'est l'overdose ! Ça part dans tous les sens, il y a trop d'informations. Ça avait bien commencé pourtant avec ce prologue qui nous présentait Emma enfant, malheureusement ça a vite dérapé. Mesdames et Messieurs, si vous ressentez l'envie de lire "Le colis" malgré tout, accrochez-vous et surtout restez concentrés ! Au diable sudokus, rubik's cubes et autres casse-têtes ici on a affaire à du lourd ! Evidemment la préservation de l'intrigue m'empêche de m'étendre sur le sujet mais pour vous situer plus facilement, c'est le type d'histoire impossible à raconter. Sinon ça donnerait ça : X a vécu ça enfant mais après elle a rencontré Y et trois semaines plus tard Z est mort parce que X avait menti puisqu'Y a eu une hallucination mais Z a eu une relation avec X. Vous voyez le truc ? Et en plus c'est gros ! Franchement plus on avance dans le livre et plus on se dit "Mais c'est quoi ce bordel ?".
Les personnages ne nous facilitent pas la tâche, Emma est mythomane. C'est bien d'essayer d'embrouiller le lecteur mais il faut qu'il y ait quand même de la cohérence, un fil conducteur sinon le premier venu pourrait écrire un thriller sans queue ni tête, comme celui-ci. le dénouement c'est le bouquet final. Ah c'est sûr je ne l'avais pas vu venir tellement j'étais occupée à essayer de comprendre le passage précédent. Vous l'aurez deviné c'est une fin grotesque.
Voilà. On se demande si l'héroïne n'est pas complètement folle mais je soupçonne l'auteur de l'être un peu aussi. Quelle imagination ! J'ai été étonnée mais pas dans le bon sens du terme. Je vous souhaite bon courage !
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J'ai l'impression d'être passée à côté de cette lecture, notamment pendant la première partie du livre, qui ne m'a pas captivée plus que ça (le résumé m'avait pourtant beaucoup attiré).⁣
Certains passages m'ont paru « tirés par les cheveux », assez longs et ne m'ont pas tenu en haleine. Heureusement, les chapitres sont très courts, ce qui donne du rythme et aide à la poursuite des chapitres qui s'enchaînent vite.⁣
Puis au fur et à mesure de l'histoire, je me suis sentie plus à l'aise, des événements intéressants qui maintiennent l'intrigue. ⁣
Seulement, j'ai trouvé l'élaboration de théories pour le lecteur assez difficile, je n'ai pas su trop quoi penser, je me suis donc laissée porter par le récit...⁣
En ce qui concerne les personnages et plus particulièrement Emma, je n'ai pas vraiment ressenti d'empathie envers elle, je l'ai trouvée spéciale, j'ai gardé mes distances vis-à-vis d'elle malgré tout ce qu'elle a subi et vécu (certains passages font froid dans le dos...)⁣
Malgré cet avis « mitigé », à aucun moment je n'ai eu envie d'abandonner ce roman, je ne me suis pas ennuyée, ce qui est pourtant contradictoire au vu de mes ressentis...⁣
Je ne compte pas m'arrêter à ce livre, j'ai bien envie de découvrir un autre roman de l'auteur !⁣
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J'ai un avis plus que mitigé sur ce polar.
Je rejoindrais donc les quelques lecteurs qui n'ont mis aucune étoile ou deux maximum.
D'un premier abord, j'ai été attirée par la couverture originale et bien sûr le 4e de couverture qui est attrayant.
Cependant plus j'enchaînai les chapitres plus ma déception s'affirmait.
J'y ai trouvé un certain nombre d'incohérences et le déroulement de l'intrigue décousu.
Si j'ai poursuivi ma lecture c'est uniquement en espérant que le dénouement me surprendrait malheureusement celui-ci n'a fait qu'accentuer mon désappointement.
Malgré tout je n'ai pas envie de rester sur mon manque d'engouement. "Passager 23" est dans ma pal je vais donc le lire en espérant que SEBASTIAN FITZEK apportera ce coup de coeur que je n'ai pas ressenti dans "le colis".
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