Imaginons une sorte de feuille de température ou la vitesse de déplacement humain soit représentée par une courbe. Pendant des millénaires cette courbe se traîne aux environs de 20 ou de 25 km à l’heure. Napoléon ne se déplace pas beaucoup plus vite qu’Alexandre le grand ; Nelson est victime des calmes et des tempêtes comme n’importe quel navigateur de l’Antiquité. Les muscles de l’homme, ceux du cheval et le vent sont nos seuls moteurs.
Vers 1830, lorsque... >Voir plus