Un petit roman, plus par son contenu que par sa taille puisqu'il s'étire, tout de même, sur 325 pages.
L'argument est facile. Agnès est une ex-flic. Elle possède donc toutes les techniques, les réflexes et les intuitions de la bonne flic qu'elle était. Oui, mais, elle ne l'est plus. Et donc si son poste de responsable de la sécurité d'un hôtel, en plein festival de Cannes, la pousse à agir selon son intime conviction, elle n'a plus aucun pouvoir, aucun mandat pour agir. Elle sera donc border line, tantôt d'un côté, tantôt de l'autre qui sépare le droit du non droit sans se préoccuper de la vérité.
Les péripéties vont s'enchaîner, la tension monter, avec à peu près tous les poncifs du genre dans un climat hautement émotif puisque la vie d'enfants est en danger.
Un trajet en train à faire seul, une attente prolongée dans une voiture? La Mort pour vengeance peut faire passer le temps! A vous de voir.
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