La Maison d'à côté

Encore une fois un roman policier dont l'histoire est invraisemblable, surtout la fin. En lisant ce genre de livre j'ai l'impression de dévaloriser le travail des auteurs qui se donnent la peine de penser avant d'écrire. Cela doit-être proche de ce qu'on appelle un "roman de gare".

Jason Jones est parti travailler le soir, il est journaliste, et sa femme Sandra s'occupe de Ree, leur fille .

Le lendemain, Jason prévient la police. Sa femme a disparu. D'après les premières constations, Sandra n'est pas la seule à ne plus se trouver à la maison. M. Smith le chat a aussi disparu. le commandant D.D. Warren, qui rêvait d'un buffet garni et tenaillée par un manque de relations sexuelles, est chargée de superviser l'enquête, en compagnie de son adjoint Miller. Leurs premières impressions ne sont pas favorables à Jason, qui semble détaché, ne se posant pas de questions quant à la disparition de sa femme, ne se préoccupant que de sa gamine. D'ailleurs il n'a prévenu la police que trois heures après être rentré de sa nuit de travail.

Le lecteur possède plus de chance que le commandant D.D. Warren et son adjoint Miller car nous avons le droit à des informations supplémentaires. Les révélations de Sandra qui s'intercalent dans le récit et qui révèlent peu à peu la personnalité de la jeune femme de vingt trois ans, de ses relations familiales, parentales ou maritales, des faits et gestes de Jason, ainsi que ceux de Aidan, le jeune homme fiché qui vient narguer Jason, puis peu à peu d'autres protagonistes font leur intrusion...

Premier point je n'ai pas aime le personnage principal (meme si son cote direct m'a plu dans certains cas...) qu'est DD pendant des pages on tourne autour de ce personnage vulgaire, etant en manque de sexe , puis DD mange , elle dort elle pense que si, que ça mais rien ne se passe ... de l'autre cote on a le discours de la disparue , on comprends vite que la disparition est volontaire, on comprend vite aussi ce qu'elle cache .. pas de surprise si ce n'est la fin est meme pas dans le bon sens ...

C'est le premier Lisa Gardner que je lis , est ce que tout ces livres sont ennuyeux comme celui ci ? Est ce que DD Warren dont elle fait un personnage recurrent dans ses livres est toujours comme ça ? Et si toutefois je devais en lire un autre lequel ?

𝘚𝘢𝘯𝘥𝘳𝘢 𝘑𝘰𝘯𝘦𝘴, 𝗃𝖾𝗎𝗇𝖾 𝖾𝗇𝗌𝖾𝗂𝗀𝗇𝖺𝗇𝗍𝖾, 𝖽𝗂𝗌𝗉𝖺𝗋𝖺î𝗍 𝖽𝖾 𝖼𝗁𝖾𝗓 𝖾𝗅𝗅𝖾 𝗅𝖺𝗂𝗌𝗌𝖺𝗇𝗍 𝗌𝖾𝗎𝗅𝖾 𝗌𝖺 𝗉𝖾𝗍𝗂𝗍𝖾 𝖿𝗂𝗅𝗅𝖾 𝖽𝖾 𝟦 𝖺𝗇𝗌. 𝖣𝖾́𝗍𝖺𝗂𝗅 𝗂𝗆𝗉𝗈𝗋𝗍𝖺𝗇𝗍, 𝗅𝖺 𝗆𝖺𝗂𝗌𝗈𝗇 𝗇𝖾 𝗉𝗋𝖾́𝗌𝖾𝗇𝗍𝖾 𝖺𝗎𝖼𝗎𝗇 𝗌𝗂𝗀𝗇𝖾 𝖽'𝖾𝖿𝖿𝗋𝖺𝖼𝗍𝗂𝗈𝗇.

𝖤𝗇𝗍𝗋𝖾́𝖾 𝗌𝗎𝗋 𝗌𝖼𝖾̀𝗇𝖾 𝖽𝖾 𝘋𝘋. 𝘞𝘢𝘳𝘳𝘦𝘯, 𝗂𝗇𝗌𝗉𝖾𝖼𝗍𝗋𝗂𝖼𝖾 𝖾𝗍 𝖿𝖾𝗆𝗆𝖾 𝗈𝖻𝗌𝖾́𝖽𝖾́𝖾 𝗉𝖺𝗋 𝗅𝖺 𝗇𝗈𝗎𝗋𝗋𝗂𝗍𝗎𝗋𝖾 𝖾𝗍 𝗅𝖾𝗌 𝗁𝗈𝗆𝗆𝖾𝗌. 𝖰𝗎𝖾𝗅 𝗋𝗈̂𝗅𝖾 𝗃𝗈𝗎𝖾 𝖽𝗈𝗇𝖼 𝖼𝖾 𝖽𝖾́𝗍𝖺𝗂𝗅? 𝖠𝗎𝖼𝗎𝗇. 𝖬𝖺𝗂𝗌 𝖼𝗈𝗆𝗆𝖾 𝗟𝗶𝘀𝗮 𝗚𝗮𝗿𝗱𝗻𝗲𝗿 (𝗅'𝖺𝗎𝗍𝖾𝗎𝗋) 𝗇𝗈𝗎𝗌 𝖻𝖺𝗌𝗌𝗂𝗇𝖾 𝖺𝗏𝖾𝖼, 𝗃'𝖺𝗂 𝖼𝗋𝗎 𝖻𝗈𝗇 𝖽𝖾 𝗏𝗈𝗎𝗌 𝗅𝖾 𝖽𝗂𝗋𝖾. 𝖠𝗁 𝗈𝗎𝗂, 𝘞𝘢𝘳𝘳𝘦𝘯 𝖾𝗌𝗍 𝖾́𝗉𝖺𝗎𝗅𝖾́𝖾 𝗉𝖺𝗋 𝗅'𝗂𝗇𝗌𝗉𝖾𝖼𝗍𝖾𝗎𝗋 𝘔𝘪𝘭𝘭𝘦𝘳. 𝖫𝖾 𝗍𝗋𝖺𝗏𝖺𝗂𝗅 𝖽𝖾 𝖼𝖾 𝖽𝗎𝗈 𝖽𝖾 𝖼𝗁𝗈𝖼 𝗌𝖾 𝗅𝗂𝗆𝗂𝗍𝖾 𝖺̀ 𝖽𝗋𝖾𝗌𝗌𝖾𝗋 𝗅𝖺 𝗅𝗂𝗌𝗍𝖾 𝖽𝖾𝗌 𝗌𝗎𝗌𝗉𝖾𝖼𝗍𝗌 𝗊𝗎𝖾 𝗏𝗈𝗂𝖼𝗂.

𝘑𝘢𝘴𝘰𝘯 𝘑𝘢𝘮𝘦𝘴, 𝗅𝖾 𝗆𝖺𝗋𝗂. 𝖧𝗈𝗆𝗆𝖾 𝗍𝖾́𝗇𝖾́𝖻𝗋𝖾𝗎𝗑 𝖾𝗍 𝗅𝗈𝗀𝗂𝗊𝗎𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍 𝗌𝗎𝗌𝗉𝖾𝖼𝗍 𝗇𝗎𝗆𝖾́𝗋𝗈 𝗎𝗇.
𝘈𝘪𝘥𝘦𝘯 𝘉𝘦𝘸𝘴𝘵𝘦𝘳, 𝗅𝖾 𝗏𝗈𝗂𝗌𝗂𝗇. 𝖩𝖾𝗎𝗇𝖾 𝖽𝖾́𝗅𝗂𝗇𝗊𝗎𝖺𝗇𝗍 𝗌𝖾𝗑𝗎𝖾𝗅 𝖿𝗂𝖼𝗁𝖾́ 𝗆𝖺𝗂𝗌 𝗋𝖾𝗉𝖾𝗇𝗍𝗂.
𝘌𝘵𝘩𝘢𝘯 𝘏𝘢𝘴𝘵𝘪𝘯𝘨𝘴, 𝗎𝗇 𝗀𝖾𝖾𝗄 𝖽𝖾 𝟣𝟥 𝖺𝗇𝗌, 𝖺𝗆𝗈𝗎𝗋𝖾𝗎𝗑 𝖽𝖾 𝘚𝘢𝘯𝘥𝘳𝘢 𝗊𝗎𝗂 𝗍𝗋𝖺𝗏𝖺𝗂𝗅𝗅𝖾 𝖽𝖺𝗇𝗌 𝗅𝖾 𝗆𝖾̂𝗆𝖾 𝖾́𝗍𝖺𝖻𝗅𝗂𝗌𝗌𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍 𝗈𝗎̀ 𝗂𝗅 𝖾𝗌𝗍 𝗌𝖼𝗈𝗅𝖺𝗋𝗂𝗌𝖾́.
𝘞𝘢𝘺𝘯𝘦 𝘙𝘦𝘺𝘯𝘰𝘭𝘥𝘴, 𝗅'𝗈𝗇𝖼𝗅𝖾 𝖽'𝘌𝘵𝘩𝘢𝘯, 𝖾́𝗀𝖺𝗅𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍 𝗎𝗇 𝖼𝗋𝖺𝖼𝗄 𝖽𝖾 𝗅'𝗂𝗇𝖿𝗈𝗋𝗆𝖺𝗍𝗂𝗊𝗎𝖾 (𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝖽𝖺𝗇𝗌 𝗅𝖺 𝖿𝖺𝗆𝗂𝗅𝗅𝖾).
𝘔𝘢𝘹𝘸𝘦𝘭𝘭, 𝗅𝖾 𝗉𝖾̀𝗋𝖾 𝖽𝖾 𝘚𝘢𝘯𝘥𝘳𝘢. 𝖩𝗎𝗀𝖾 𝗋𝖾𝗌𝗉𝖾𝖼𝗍𝖾́, 𝖺𝗒𝖺𝗇𝗍 𝗉𝖾𝗋𝖽𝗎 𝗍𝗈𝗎𝗍 𝖼𝗈𝗇𝗍𝖺𝖼𝗍 𝖺𝗏𝖾𝖼 𝗌𝖺 𝖿𝗂𝗅𝗅𝖾 𝗂𝗅 𝗋𝖾𝖿𝖺𝗂𝗍 𝗌𝗎𝗋𝖿𝖺𝖼𝖾 𝗉𝗈𝗎𝗋 𝗋𝖾́𝖼𝗅𝖺𝗆𝖾𝗋 𝗅𝖺 𝗀𝖺𝗋𝖽𝖾
𝖽𝖾 𝗌𝖺 𝗉𝖾𝗍𝗂𝗍𝖾-𝖿𝗂𝗅𝗅𝖾.

𝖲𝖺𝖼𝗁𝖾𝗓 𝗊𝗎𝖾 𝘚𝘢𝘯𝘥𝘳𝘢 (𝗅𝖺 𝖽𝗂𝗌𝗉𝖺𝗋𝗎𝖾) 𝗂𝗇𝗍𝖾𝗋𝗏𝗂𝖾𝗇𝗍 𝖽𝖺𝗇𝗌 𝗅'𝗁𝗂𝗌𝗍𝗈𝗂𝗋𝖾, 𝗆𝖺𝗂𝗌 𝗈𝗎𝗂! 𝖩𝖾 𝗇𝖾 𝗌𝖺𝗂𝗌 𝗉𝖺𝗌 𝖼𝗈𝗆𝗆𝖾𝗇𝗍 𝖾𝗅𝗅𝖾 𝖿𝖺𝗂𝗍 𝗆𝖺𝗂𝗌 𝖾𝗇 𝗉𝖺𝗋𝖺𝗅𝗅𝖾̀𝗅𝖾 𝖽𝗎 𝗋𝖾́𝖼𝗂𝗍 𝖽𝖾 𝖻𝖺𝗌𝖾 𝖾𝗅𝗅𝖾 𝗇𝗈𝗎𝗌 𝗋𝖺𝖼𝗈𝗇𝗍𝖾 𝖽𝖾𝗌 𝖼𝗁𝗈𝗌𝖾𝗌, 𝖾𝗍 𝗁𝖾𝗎𝗋𝖾𝗎𝗌𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍, 𝗉𝖺𝗋𝖼𝖾 𝗊𝗎𝖾 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝖺̀ 𝗍𝗋𝖺𝗏𝖾𝗋𝗌 𝗌𝗈𝗇 𝗋𝖾́𝖼𝗂𝗍 𝗊𝗎𝖾 𝗅𝖾𝗌 𝖾́𝗏𝖾̀𝗇𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍𝗌 𝖾́𝗏𝗈𝗅𝗎𝖾𝗇𝗍. 𝖢𝖾 𝗊𝗎𝗂 𝖿𝖺𝗂𝗍 𝗊𝗎𝖾 𝗅𝖾 𝗅𝖾𝖼𝗍𝖾𝗎𝗋 𝖾𝗇 𝗌𝖺𝗂𝗍 𝗉𝗅𝗎𝗌 𝗊𝗎𝖾 𝗅𝖾𝗌 𝖽𝖾𝗎𝗑 𝗂𝗇𝗌𝗉𝖾𝖼𝗍𝖾𝗎𝗋𝗌, 𝖽𝗈𝗇𝗍 𝗃𝖾 𝗆𝖾 𝗉𝗈𝗌𝖾 𝖾𝗇𝖼𝗈𝗋𝖾 𝗅𝖺 𝗊𝗎𝖾𝗌𝗍𝗂𝗈𝗇 𝖽𝖾 𝗅𝖾𝗎𝗋 𝗎𝗍𝗂𝗅𝗂𝗍𝖾́? 𝖲𝖾𝗎𝗅𝗌 𝗅𝖾𝗌 𝗉𝖾𝗋𝗌𝗈𝗇𝗇𝖺𝗀𝖾𝗌 𝖽𝗂𝗋𝖾𝖼𝗍𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍 𝖼𝗈𝗇𝖼𝖾𝗋𝗇𝖾́𝗌 𝗉𝖺𝗋 𝗅𝖺 𝖽𝗂𝗌𝗉𝖺𝗋𝗂𝗍𝗂𝗈𝗇 𝖽𝖾 𝗅𝖺 𝗃𝖾𝗎𝗇𝖾 𝗆𝖾̀𝗋𝖾 𝖽𝖾 𝖿𝖺𝗆𝗂𝗅𝗅𝖾 𝖽𝖾́𝗍𝗂𝖾𝗇𝗇𝖾𝗇𝗍 𝗅𝖾𝗌 𝖼𝗅𝖾́𝗌 𝖽𝖾 𝗅'𝖾́𝗇𝗂𝗀𝗆𝖾. 𝖨𝗅𝗌 𝖿𝗈𝗇𝗍 𝖺𝗏𝖺𝗇𝖼𝖾𝗋 𝗅'𝗂𝗇𝗍𝗋𝗂𝗀𝗎𝖾 𝖾𝗍 𝖿𝗂𝗇𝗂𝗌𝗌𝖾𝗇𝗍 𝗉𝖺𝗋 𝗅𝖺 𝗋𝖾́𝗌𝗈𝗎𝖽𝗋𝖾 𝗍𝗈𝗎𝗍 𝗌𝖾𝗎𝗅𝗌 𝖼𝗈𝗆𝗆𝖾 𝖽𝖾𝗌 𝗀𝗋𝖺𝗇𝖽𝗌 𝗅𝖺𝗂𝗌𝗌𝖺𝗇𝗍 𝖺̀ 𝘞𝘢𝘳𝘳𝘦𝘯 𝗅𝖾 𝗉𝗋𝗂𝗏𝗂𝗅𝖾̀𝗀𝖾 𝖽𝖾 𝗅𝖺 𝗌𝗒𝗇𝗍𝗁𝖾̀𝗌𝖾. 𝖮𝗎𝗂, 𝗂𝗅 𝗇𝗈𝗎𝗌 𝖿𝖺𝗎𝗍 𝗊𝗎𝖺𝗇𝖽-𝗆𝖾̂𝗆𝖾 𝗎𝗇 𝗋𝖾́𝖼𝖺𝗉𝗂𝗍𝗎𝗅𝖺𝗍𝗂𝖿 𝖺𝗎 𝖼𝖺𝗌 𝗈𝗎̀ 𝗈𝗇 𝗇'𝖺𝗎𝗋𝖺𝗂𝗍 𝗉𝖺𝗌 𝗍𝗈𝗎𝗍 𝖼𝗈𝗆𝗉𝗋𝗂𝗌 𝖺̀ 𝖼𝖾𝗍𝗍𝖾 𝗁𝗂𝗌𝗍𝗈𝗂𝗋𝖾 𝖼𝗈𝗆𝗉𝗅𝖾𝗑𝖾 𝖺𝗎𝗑 𝗆𝗎𝗅𝗍𝗂𝗉𝗅𝖾𝗌 𝗋𝖾𝖻𝗈𝗇𝖽𝗂𝗌𝗌𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍𝗌!!!

𝖠̀ 𝗅'𝗂𝗇𝖼𝗈𝗇𝗌𝗂𝗌𝗍𝖺𝗇𝖼𝖾 𝖽𝖾 𝗅'𝗂𝗇𝗍𝗋𝗂𝗀𝗎𝖾 𝗌'𝖺𝗃𝗈𝗎𝗍𝖾 𝗅𝖺 𝗉𝗅𝖺𝗍𝗂𝗍𝗎𝖽𝖾 𝖽𝖾𝗌 𝗉𝖾𝗋𝗌𝗈𝗇𝗇𝖺𝗀𝖾𝗌. 𝘎𝘢𝘳𝘥𝘯𝘦𝘳 𝖽𝗈𝗂𝗍 𝗃𝗎𝗀𝖾𝗋 𝗂𝗇𝗎𝗍𝗂𝗅𝖾 𝖽𝖾 𝗅𝖾𝗎𝗋 𝖽𝗈𝗇𝗇𝖾𝗋 𝗎𝗇 𝗆𝗂𝗇𝗂𝗆𝗎𝗆 𝖽'𝖾́𝗉𝖺𝗂𝗌𝗌𝖾𝗎𝗋 𝗉𝗌𝗒𝖼𝗁𝗈𝗅𝗈𝗀𝗂𝗊𝗎𝖾 (𝖺̀ 𝗉𝖺𝗋𝗍 𝗅𝖾𝗌 𝗈𝖻𝗌𝖾𝗌𝗌𝗂𝗈𝗇𝗌 𝖽𝖾 𝗆𝖺𝖽𝖺𝗆𝖾 𝘞𝘢𝘳𝘳𝘦𝘯). 𝖮𝗇 𝗂𝗀𝗇𝗈𝗋𝖾 𝗍𝗈𝗎𝗍 𝖽𝖾 𝗅𝖾𝗎𝗋𝗌 𝗆𝗈𝗍𝗂𝗏𝖺𝗍𝗂𝗈𝗇𝗌, 𝗂𝗅 𝗒 𝖺 𝖻𝖾𝖺𝗎𝖼𝗈𝗎𝗉 𝖽𝖾 𝗇𝗈𝗇-𝖽𝗂𝗍𝗌. 𝖨𝗅𝗌 𝗌𝗈𝗇𝗍 𝗍𝖾𝗅𝗅𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍 𝗂𝗇𝗂𝗇𝗍𝖾́𝗋𝖾𝗌𝗌𝖺𝗇𝗍𝗌 𝗊𝗎𝖾 𝗅'𝗈𝗇 𝗇'𝖺𝗋𝗋𝗂𝗏𝖾 𝗆𝖾̂𝗆𝖾 𝗉𝖺𝗌 𝖺̀ 𝖽𝖾́𝗍𝖾𝗌𝗍𝖾𝗋 𝗅𝖾𝗌 𝗆𝖾́𝖼𝗁𝖺𝗇𝗍𝗌, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝖽𝗂𝗋𝖾! 𝖠𝗏𝖾𝖼 ç𝖺 𝗅𝖾 𝗅𝗂𝗏𝗋𝖾 𝖿𝖺𝗂𝗍 𝗉𝗅𝗎𝗌 𝗊𝗎𝖾 𝟧𝟢𝟢 𝗉𝖺𝗀𝖾𝗌! 𝖯𝗈𝗎𝗋𝗊𝗎𝗈𝗂 𝖽𝗈𝗇𝖼? 𝖩𝗎𝗌𝗊𝗎'𝖺𝗎𝗑 𝖽𝗂𝗑 𝖽𝖾𝗋𝗇𝗂𝖾̀𝗋𝖾𝗌 𝗉𝖺𝗀𝖾𝗌 𝗈𝗇 𝗇𝖾 𝖿𝖺𝗂𝗍 𝗊𝗎𝖾 𝗍𝗈𝗎𝗋𝗇𝖾𝗋 𝖾𝗇 𝗋𝗈𝗇𝖽!

"𝘓𝘢 𝘮𝘢𝘪𝘴𝘰𝘯 𝘥'𝘢̀ 𝘤𝘰̂𝘵𝘦́" 𝖾𝗌𝗍 𝗎𝗇𝖾 𝗁𝗂𝗌𝗍𝗈𝗂𝗋𝖾 𝗌𝖺𝗇𝗌 𝗂𝗇𝗍𝖾́𝗋𝖾̂𝗍, 𝖺𝗎 𝗌𝗍𝗒𝗅𝖾 𝗉𝗅𝖺𝗍, 𝖺𝗎 𝗋𝗒𝗍𝗁𝗆𝖾 𝗅𝖾𝗇𝗍, 𝖺𝗎 𝗍𝗂𝗍𝗋𝖾 𝗆𝖺𝗅 𝖼𝗁𝗈𝗂𝗌𝗂 (𝖺𝗎𝗌𝗌𝗂 𝖻𝗂𝖾𝗇 𝖾𝗇 𝖿𝗋𝖺𝗇ç𝖺𝗂𝗌 𝗊𝗎'𝖾𝗇 𝖺𝗇𝗀𝗅𝖺𝗂𝗌), 𝖾𝗍 𝖽𝗈𝗇𝖼 𝗎𝗇 𝗉𝗈𝗅𝖺𝗋 𝖽𝗈𝗇𝗍 𝗏𝗈𝗎𝗌 𝗉𝗈𝗎𝗏𝖾𝗓 𝗏𝗈𝗎𝗌 𝗉𝖺𝗌𝗌𝖾𝗋.

Je trouve que ce livre n'a de "thriller psychologique" que le nom, je dirais plutôt énigme policière. Je me suis ennuyée au possible, j'ai mis une éternité à le finir et je me demande comment j'ai fais pour aller au bout. L'histoire est d'une lenteur, on tourne en rond et tout s'accélère seulement à la fin. Les policiers chargés de l'enquête se posent un nombre incalculable de fois les mêmes questions, ils sont bloqués par le système judiciaire, ils voient les faits se dérouler sous leurs yeux sans en être acteur. Beaucoup de questions sans réponses, beaucoup de personnages présents sans qu'on ne sache pourquoi et quel a été leur utilité dans l'histoire, beaucoup de détails insignifiants . Moi qui me fie d'habitude aux avis et critiques, pour le coup, et c'est bien une des rares fois que je suis si déçue.

Rarement lu un policier aussi insignifiant. L'intrigue est stupide et quand on découvre le dénouement, on est abasourdi : c'est inepte ! le style, comme souvent dans les best-sellers anglo-saxons est inexistant (sur la base: sujet-verbe-complément). Les personnages sont des caricatures. Et pour couronner le tout, l'auteur tire à ligne de façon grossière...

Encore un policier bas-de-gamme . Si vous aimez Guillaume Musso et Marc Lévy, vous adorerez ce "livre", à mi-chemin entre la collection Harlequin et Mary Higgins Clark. Au début je me suis ennuyée, beaucoup de répétitions, on tourne un peu en rond, j ai failli abandonner! j ai persisté, un certain suspens est venu aux 2/3 du livre....Mais le style est vraiment mauvais ! Si des phrases comme "Nous. Nus. Dans un lit. Frisson du plaisir, fièvre du désir" vous mettent en transe, que vous avez peu de sens de l'esthétique et aucune exigence intellectuelle : foncez! "L'intrigue" se limite à des récits imbriqués et un coup de théâtre maladroit et poussif. Mais côté ambiance et analyse psychologique, on repassera. Écrit pour des femmes mûres qui s'ennuient, par une femme mûre qui s'ennuie.
Je suis sévère mais dommage de perdre du temps et de l'argent pour traduite et publier de telles inepties alors que nous avons des quantités de bons auteurs français.
(Remarque franchouillarde mais sincère)
Lien : https://www.babelio.com/livr..