- Aleyna : Aleyna 17 ans tente d'échapper au mariage forcé.
- Aurore : bientôt 18 ans, Aurore est amoureuse d'un gars de son lycée. Alban, son frère, est affligé d'un handicap qui lui vaut d'être mis à l'écart.
- Ce que les blessures laissent au fond des yeux : Delphine a un fils Théo et une amie Kilia (une sans-papier) pour qui elle ferait tout et même plus. Elle survit et réussit même à payer son loyer d'une manière peu orthodoxe.
- J'ai appris le silence : il a connu le pire, il a appris à survivre et avant de revivre il va se venger... Mais la vengeance n'est pas un plat qui se mange si froid que ça !
- L'été se meurt : un homme veut commettre l'irrémédiable parce que la femme qu'il aime, qu'il admire le trompe.
- L'homme en noir : petit, David a vu mourir son père sous ses yeux. L'assassin n'a jamais été retrouvé. Un jour, David le croise à la sortie d'un train...
- L'Intérieur : huile sur toile peinte par Degas. Virginie est prête à tout pour garder son travail qui lui assure un toit sur la tête et la nourriture pour elle et ses deux enfants... Tout ? Vraiment ?
- le printemps de Juliette : un mari veille sur la femme avec qui il est marié depuis quarante ans. J'ai adoré ce recueil de nouvelles. Bon, en général j'aime beaucoup les
Karine Giebel et je n'ai pas été déçue. Là encore, ces personnages en prennent plein la g.... mais elle sait lier le suspense, l'horreur, la sensibilité.... Sur ces huit nouvelles, j'ai préféré : ce que les blessures laissent au fond des yeux. Celle que j'ai le moins apprécié : l'homme en noir.