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Citations sur Glen Affric (187)

Vaut mieux avoir de faux parents qui t'aiment plutôt que de vrais qui t'aiment pas.
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Les yeux clos, Jorge se laisse bercer par le bruit de l'eau. Il aimerait tant se détendre. Se détendre vraiment. Ne pas se réveiller toutes les nuits avec l'impression qu'il est cerné par la meute des chasseurs. Ne pas entendre hurler son frère pendant son sommeil. Ne pas avoir à craindre les lendemains. Ne pas se demander si l'instant qu'il vit est son dernier moment de liberté.

p.678
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Comment lui dire qu'il ne supportait plus les questions sans réponse ? Que son cerveau était sur le point d'exploser, qu'il fallait que ça sorte, d'une manière ou d'une autre. Expulser la douleur qui cognait dans sa poitrine et dans sa tête. Lui donner une couleur, une forme, une odeur.
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[...] ici, en taule, tu dors comme un bébé... Tu te réveilles toutes les deux heures pour pleurer !
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La solitude dans sa caverne, il l'apprécie.
La solitude au milieu d'une centaine d'enfants, il la déteste.
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Leonard se demande. Pourquoi les hommes sont si cruels. Pourquoi il est depuis toujours un exutoire à leurs souffrances.
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Lennie, c'était un sourire d'enfant, un regard d'innocent et un coeur de géant.
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C’était le 6 novembre, répète-t-il doucement. C’était un jeudi…
C’était un jeudi matin, c’était le 6 novembre. Il pleuvait un peu, mais…
— Il ne faisait pas froid, dit Léonard avec un sourire de gratitude.
Non, il ne faisait pas froid. Je partais au travail, mais ma voiture n’avait pas voulu démarrer alors…
— Alors tu étais à pied, murmure l’adolescent.
Oui, je descendais à pied au village pour attraper un bus. Je marchais sur la route quand soudain, j’ai vu un petit garçon…
— Il avait environ cinq ans, il portait des vêtements sales et déchirés…
Il avait les cheveux longs, le visage plein de boue et de terre. On aurait dit…
— Un petit animal blessé.
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Afin que tu ne puisses plus approcher tes victimes, je vais demander ton incarcération, Léonard. Tu comprends ce que ça veut dire ?
Je les approcherai plus, monsieur. C’est promis. Sauf dans le bus et dans la cour de récréation. Parce que là, c’est difficile de faire autrement.
Tu aimes l’école, Léonard ?
Non, monsieur. Je sais pas à quoi ça sert, l’école. Pour moi, en tout cas.
Hum… Tu vas passer devant le tribunal pour enfants qui décidera de ta peine.
D’accord, monsieur. Mais j’ai déjà de la peine, vous savez…
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En prison on dort comme un bébé, on se réveille toutes les deux heures pour pleurer!
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