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sur 1401 notes
Une lecture pénible pour ce premier tome d'un récit post apocalyptique russe (2034 pour la suite).

Artyom vit sous terre depuis que les radiations ont condamné la surface. Pour les hommes certes, mais les mutants ont pris le pouvoir et menacent l'intégrité de la dernière arche de l'humanité, le métro de Moscou. Informé d'un danger imminent, Artyom doit partir en quête. Rejoindre la célèbre Polis pour délivrer un message et peut-être les sauver tous. Il devra au mépris du danger traverser de nombreuses stations aux régimes politiques aussi divers qu'étranges sans compter leurs occupants.


La succession des différents régimes politique ont certes, une valeur pour ce que veut véhiculer l'auteur sur les travers humains mais ils ont du mal à passer en matière de crédibilité.
Le héros passe son temps à être sauvé par foule d'intervenants alors qu'il devrait être mort et même pas enterré cent fois déjà.
Le voyage lui-même manque de conviction et surtout de cette énergie qui fait un bon road movie, une bonne quête, un bon bouquin du genre quoi. Sans compter qu'on a l'impression qu'il passe des mois à voyager entre des stations qui ne devraient être espacées que de quelques centaines de mètres.
La valeur énergétique du champignon, élément de base depuis plusieurs décennies, à peine plus qu'une bonne salade verte (sans sauce bien sûr). Parfait pour le thé, mais pour nourrir les cochons, ils devraient tous être morts de faim là-dedans...
C'est répétitif, lourd, c'est parfait pour une adaptation en jeu vidéo (tiens, ça été fait) mais à lire, franchement pénible et toujours cette touche mystico-ésotérique qui nous pourrit tout bon récit post-apocalyptique.
Impossible de s'attacher au héros, impossible de s'attacher aux personnages secondaires qui disparaissent plus vite qu'une larme de femme en enfer. Mesdames, d'ailleurs, n'espérez pas trouver un modèle dans ce livre ou même simplement un personnage féminin consistant.

Au final, je me suis profondément ennuyé, comme le héros j'ai fait un voyage interminable et je vais spoiler, attention : Pour rien.
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Pourquoi me suis-je lancée dans cette brique de 800 pages, moi qui ne suis pas friande des récits post-apocalyptiques et qui ne peux plus voir en peinture les quêtes initiatiques? Je ne sais plus exactement. Peut-être parce que je cherchais à sortir un peu de la science-fiction occidentale, et que ce roman russe de 2002 est déjà quasi-considéré comme un classique de la SF.

2033 : voilà vingt ans qu'une guerre nucléaire a ravagé la terre et que les survivant.es de Moscou ont trouvé refuge dans le métro, qu'iels n'ont presque pas quitté depuis lors. Artyom, qui n'était qu'un enfant lors du cataclysme, ne connaît pour tout horizon que la station où il a grandi. Mais une nouvelle menace, qui met en péril tout le métro, va le conduire dans une mission éperdue.

On comprend assez rapidement que l'intrigue principale est surtout un prétexte pour nous faire visiter le métro et ses dangers, découvrir les différentes microsociétés qui perdurent du mieux qu'elles peuvent, et naviguer à travers les relations parfois tendues qu'elles entretiennent les unes avec les autres. À cela s'ajoute une ambiance très oppressante, notamment due au fait qu'on flirte de temps en temps avec l'horreur surnaturelle : une partie des dangers que rencontre Artyom ne trouve pas d'explication rationnelle.

L'auteur joue bien avec l'un des éléments clés des quêtes initiatiques : le fait que le héros doive continuellement se rendre du point A au point B. Ce format s'applique parfaitement au métro, avec ses correspondances d'une ligne à l'autre et ses passages condamnés à cause de divers dangers ou inimitiés politiques - bref, le protagoniste doit parfois emprunter des détours étonnants, que j'ai beaucoup aimé retracer sur la carte en début de livre (les noms russes à rallonge m'ont d'abord perdue, puis je m'y suis habituée). Aussi, il y a un véritable effort fait pour singulariser chaque station des autres au point qu'on n'en rencontre jamais deux pareilles.

Somme toute, si vous vous lancez dans ce roman, faites-le plutôt pour le fond de philosophie politique et l'ambiance angoissante que pour les personnages et l'action (sur ce dernier point, peut-être que le jeu vidéo dérivé répond plus à cette attente).

C'est une lecture que je n'ai pas trouvée sans défauts : le protagoniste est un Élu tout ce qu'il y a de plus classique et insignifiant, les 800 pages tendent à un peu trop étirer l'ambiance anxiogène, et l'absence presque totale de personnages féminins fait tiquer. Jusqu'aux dernières pages, mon ressenti s'approchait plutôt de trois étoiles que de quatre.

Et puis il y a eu cette fin.

Cette fin qui torpille tout ce qui m'énerve habituellement dans les quêtes initiatiques. Cette fin qui nous fait comprendre où l'auteur veut réellement en venir et nous fait considérer le reste d'un oeil nouveau. Cette fin qui a fait de cette lecture un souvenir impérissable, et non pas juste une expérience intéressante mais éphémère que j'aurais oublié après quelques semaines.

C'est à cause de cette fin que j'ai décidé de rester un peu plus longtemps dans le métro moscovite et que j'ai fini par me lancer dans les suites. Bon, celles-ci m'ont moins plu, mais c'est une autre histoire.
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D'abord, un cri : où sont les femmes ? Avec leurs gestes pleins de charme, dites-moi où sont les femmes, les femmes, où sont les feeemmmmes ????
2033, l'homme (visiblement, le mâle) est réfugié dans le métro de Moscou. Il y a eu une guerre nucléaire, et toute la surface est irradiée...Depuis 20 ans, l'homme n'a pas mis le nez dehors. Enfin, si peu. L'homme a beaucoup d'ennemis dans le métro et hors du métro. Dans le métro, l'homme doit combattre des mutants, des communistes, des néonazis, des sauvageons cannibales, des capitalistes. Hors du métro, l'homme doit combattre des mutants animaux et des mutants humains. Heureusement, l'homme a des kalachnikov, des grandes et des petites, mais toujours efficaces. L'homme, toujours puissant, se pose des questions essentielles : est-ce qu'il n'aurait pas déconné en faisant tout sauter et en étant à présent obligé de vivre sous terre ? L'homme veut des réponses à ces questions, car l'homme a un gros cerveau et des gros muscles.
Un vieil homme et un jeune homme vivent donc depuis vingt ans dans la station VDNKh, sur les quais. Il y a d'autres hommes, des enfants, et même une petite soeur, qui disparaît bien vite quand les hommes doivent parler. Les enfants naissent dans les choux, car je n'ai pas vu les femmes à VDNKh. Bref, le jeune homme, Artyom, est chargé de prévenir Polis, une station centrale importante, que des mutants arrivent. Et c'est parti pour l'odyssée, entre hommes, dans les tunnels. Dans chaque station, Artyom rencontre des hommes. On entend parler de prostituées. Et à Polis, il y a des femmes de ménage. Comment donc que ça va se finir ? Artyom va-t-il retrouver les femmes ? Ah, mais non, ce n'est pas ce qu'il cherche. Et qu'est-ce qu'il cherche ? Je ne sais pas trop.
Quand je pense que j'ai passé trois soirées à lire ça ! Bon, à sauver : les rares paysages de Moscou déserté, et les grands flips dans les tunnels. Mais sinon, oh là là !!
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Je savais à l'avance que j'aimerais (ayant fait les 2 jeux vidéo), mais je ne me doutais pas à quel point je serais absorbé par les pages.

J'ai entendu dire que c'était un peu long parfois, je ne l'ai pas ressenti comme ça, je trouve que cette lecture démarre doucement pour passer la vitesse supérieure à chaque chapitre, de plus comment développer un personnage aussi complet que Artyum sans descriptions, comment dépeindre l'ambiance des stations et la politique de chacune d'entre elles sans descriptions ? Impossible tout simplement à moins de survoler le tout et en faire un énième post-apo qui ressemblerait aux autres.

J'ai beaucoup aimé également les personnages que l'ont croise au long de cette aventure même si certains sont un peu caricaturaux, nous ressentons vraiment que c'est un livre écrit par un auteur russe, au moins ça me change un peu des américains que l'on connaît par coeur (sans vouloir faire de conflit, mes propos n'ont rien à voir avec la politique mondiale actuelle).

Pour les lieux, le métro, bon jusque là c'est assez classique, par contre chaque tunnel, chaque station, sont vraiment différentes et les tunnels sont limite flippants, je n'aimerai pas les empreinter en vrai.

Le bestiaire est génial et les passages en exterieur sont vraiment bien travaillés, de plus cette édition augmentée embarque un chapitre supplémentaire très intéressant sur le point de vue de Artyum sur l'aventure qu'il a vécu. Comme dans la version brochée on retrouve deux cartes du métro en 2ème et 3ème de couverture.

Bien sûr il y a quelques erreurs narratives comme le fait qu'il n'y ai quasiment pas de femmes mis à part les femmes de ménage et les prostituées...la c'est un peu la loose.

Pour conclure je vous dirai que c'est un gros coup de coeur (oui encore, mais j'y peux rien si je choisi mes livres en fonction de ce que je suis certain d'aimer). J'ai hâte au mois d'Avril pour la version poche de Metro 2034 et peut être sa suite 2035 en grand format qui sort en mars. Parallèlement il y a deux spin off écrits par un autre auteur dans le même univers (Vers la lumière et Vers les ténèbres), je les possède, cela me fera patienter jusque avril.
Lien : http://unbouquinsinonrien.bl..
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Les personnages:

C'est bien la première fois, que je me lie autant à un lieu, et pas forcément, aux personnages. Finalement, la force de ce roman, c'est que c'est le Métro lui même qui devient le personnage principal, et non pas les êtres qui crapahutent en ces tunnels…On a du mal à s'attacher à ses personnages sans élan héroïque, ils leur manquent un pointe de luminosité, même si je pense que c'est intentionnel, pour faire mieux briller ce lieu de ténèbres…C'est très original!

« L'important c'est de reste le même au fond de son coeur, ne pas renoncer, ne pas s'avilir… »

Ce que j'ai ressenti:…Une terrifiante traversée souterraine…

« Est-ce qu'un être humain qui n'a jamais vu d'étoiles peut imaginer l'infini? »

Bienvenue dans l'antichambre de l'Enfer, heu, dans le Métro russe, version post-apocalyptique!!! Comment vous dire?! Il ne fait pas bon vivre dans ses tunnels obscurs, avec l'ombre de la menace des Noirs, continuellement enfermés dans les ténèbres…Peu de place pour la rêverie, les bons sentiments et l'hospitalité…Il règne en ces lieux, une ambiance oppressante qui ne vous lâche plus! Saisissante, asphyxiante, viciée, chaque inspiration est une souffrance autant pour ses personnages que pour nous, lecteurs. Cette ballade dans ce Moscou revisité, est empreinte d'une menace sourde, presque surnaturelle, affreusement anxiogène…Tous nos sens sont aux aguets: le danger réel et irréel se glisse dans ses lignes, chaque détour est un abysse profond, chaque intersection, une angoisse supplémentaire…

« Maintenant qu'il mesurait l'ampleur de la déchéance humaine, sa foi dans les lendemains radieux s'était évanouie . »

De tous les romans dans ce genre, je crois que celui ci, se distingue vraiment par cette atmosphère plombée par cette peur ancestrale du noir, mais pas seulement le Noir, presque le Néant…Absence de lumière, de beauté, et a fortiori d'espoir… le Metro devient le héros ténébreux, et il nous dévoile ses pires recoins entre ses ombres monstrueuses, ses pièges nébuleux, ses inquiétantes voies, ses pires détracteurs…Ce qui m'a vraiment plu, c'est cette manière d'aborder le post-apocalyptique, il ne reste Rien: rien à sauver, rien à valoriser, (presque plus) rien à Croire. On sent vraiment que c'est la Fin de tout, du monde mais aussi des moindres valeurs…Ici l'auteur se penche sur l'aspect spirituel de l'humain face à l'inéluctable, il nous donne matière à réfléchir sur les questions existentielles, et en même temps dresse un portrait peu reluisant de la nature humaine, la balance entre le Bien et le Mal penche affreusement d'un côté, et du coup offre un incroyable thriller d'une noirceur poisseuse…Avec cette intrigue, la claustrophobie te saisit au détour d'un rail, et elle ne te lâche plus jusqu'à la fin du voyage…

« Celui qui trouvera en lui-même assez de patience et de courage pour scruter toute sa vie les ténèbres sera le premier à y apercevoir un éclat de lumière. »

En suivant Artyom, jeune homme qui se lance dans une mission quasi suicidaire, on fait le tour des stations et des pires travers humains. Chaque voie empruntée par ce personnage, nous offre un panorama des violences dans lequel l'Homme peut s'illustrer en tant de crise, autant psychologique que physique…En plus de l'absence de luminosité du lieu, cette excursion emprunte tous les cercles du vice et de la cruauté, se nourrit du sang et de l'incrédulité des plus faibles, et il parait, (selon une légende), qu'en creusant un peu, les Enfers seraient au centre de la Terre: on s'en approche dangereusement dans ses pages…

« Mais le diable a de ces blagues parfois! »

Un premier tome qui pose bien ses bases: On voyage dans les bas-fonds de la Russie, la philosophie prend le pas sur nos peurs les plus primales, l'horreur rencontre un lieu parfait de perdition, on se délecte de cette tension de tous les instants…Alors bien sûr, on se jette sur la suite de ses aventures souterraines, histoire de se faire encore plus peur que nécessaire…Vite Metro 2034!

« Ce n'est pas la mort qui effraie. C'est son attente. »

Le petit plus: le plan du Metro moscovite en couleurs! Déjà, il rend super à l'oeil, mais surtout, il est absolument nécessaire, pour cette lecture étant donné, la complexité des noms russes des stations. A chaque chapitre, on sait où l'on est, et c'est vraiment appréciable pour la visualisation de la progression…

Ma note Plaisir de Lecture 9/10

(Lu en LC avec Belette 2911, passez voir son ressenti aussi ).

Lien : https://fairystelphique.word..
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Quel bonheur de lecture !
Le résumé me tentait mais je ne pensais pas prendre autant de plaisir à cette lecture.
C'est un mélange de roman post-apocalyptique, de récits d'aventures et de réflexions philosophiques. En un sens, ça m'a rappelé la trilogie « Silo » de Hugh Howey qui mêlait aussi la science-fiction, l'action et la philosophie.
Nous sommes plongés dans les entrailles du métro de Moscou en 2033 après qu'une catastrophe ait rendu la surface inhabitable.
Les survivants ont donc pris d'assaut les anciennes stations de métro depuis une vingtaine d'années et survivent comme ils peuvent, car les dangers même en bas, sont nombreux.
J'ai beaucoup aimé les descriptions de la vie sous terre, que ce soit les différentes stations, certaines sont sombres, sales, puantes et malfamées, d'autres arborent encore des restes de leur aspect d'origine, avec de belles mosaïques, des éclairages de qualité, des couloirs propres…
L'auteur nous raconte aussi le quotidien des survivants, ce qu'ils mangent, comment ils s'habillent, à quoi ils passent leurs journées et surtout, il nous narre les dangers et péripéties auxquels sont confrontés les habitants de ces stations.
Nous allons plus particulièrement nous attacher aux pas d'un jeune homme, Artyom, engagé presque malgré lui dans une quête mystérieuse qui a de grandes chances de l'envoyer directement à la mort.
J'ai été totalement absorbée par cette histoire, par la qualité de l'écriture, par la richesse des descriptions, par la finesse des réflexions, par la variété des péripéties, bref, je vais de ce pas me procurer les volumes suivants, bien que l'on puisse tout à fait lire ce roman seul car il y a une fin. Mais j'ai trop envie de baigner encore dans cet univers et je veux savoir ce que l'avenir réserve aux habitants du métro de Moscou.
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Après la destruction du monde, les survivants s'organisent tant bien que mal dans le métro moscovite.
On se nourrit de champignons et de cochons, qui se nourrissent eux même de champignons...
Tout est rationné car on sait que tout finira par manquer. La monnaie d'échange est la balle de kalachnikov, mais au rythme auquel ça mitraille, la monnaie aussi pourrait vite venir à manquer.
On suit dans ce contexte un jeune homme qui doit traverser les dangereux tunnels du métro. il se rend de station en station pour tenter de sauver son groupe acculé par des être étranges, humanoïdes ressemblant à des zombis venus des confins inexplorés d'une rame.
On notera que chaque station a son organisation politique, ce qui rend parfois l'histoire peu crédible, même si on comprend au final ou veut en venir l'auteur.
L'environnement est glauque à souhait.
Je pense que c'est la fin qui sauve l'ouvrage. Il y a des fins comme ça qui parfois font plaisir, mais je ne préfère pas en dire plus...
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En Résumé : J'ai passé un bon moment de lecture avec ce roman qui nous plonge dans les profondeurs du métro Russe. L'histoire se révèle, certes classique dans sa construction mais efficace et bien mené, suivant le voyage du héros dans sa quête pour sauver sa station d'une grande menace. L'univers qui est développé au fil des pages est vraiment réussi, à la fois sombre, angoissant, troublant, cachant de nombreux secrets dans les ombres. Ce n'est d'ailleurs pas sans raison qu'il a été adapté en jeux-vidéos. Mais surtout l'auteur se sert de ses lignes de métro pour nous faire réfléchir sur l'Homme sa diversité, son impossibilité à s'entendre complètement, à toujours croire avoir raison ce qui a amené l'apocalypse. Les personnages se révèlent intéressant, soigné et efficace et on s'attache rapidement à Artyom. Je regrette par contre l'absence de personnages féminins, les seuls femmes qu'on croise tombant rapidement dans la caricature. La plume de l'auteur, malgré un côté un peu distant et froid, se révèle soignée et entrainante. Je regrette par contre certaines longueurs vers la fin ainsi qu'une conclusion que j'avais devinée dès le début et qui gâche un peu la surprise. Rien de non plus bloquant, tant l'ensemble a été efficace et je lirai la suite sans souci.


Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Il y a vingt ans, Moscou a été anéantie par une guerre nucléaire et les survivants se terrent dans le métro. Nous suivons le périple d'Artyom, orphelin sauvé de justesse d'une invasion de rats par un soldat devenu son père adoptif. Mais les humains doivent faire face à une menace plus grave, celle des mutants et lui seul serait en mesure de les protéger.
Les rencontres sur son chemin dans les sombres tunnels du métro le font évoluer. Il échappe souvent à la mort. Les idéologies de notre monde sont malheureusement bien présentes.
Action et réflexion vont de pair dans ce livre magnifiquement construit (quoique pas toujours bien traduit en français).
Les rêves inachevés et récurrents d'Artyom nous conduisent en douceur vers la conclusion, déstabilisante.
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Tout ça pour ça...
Une lecture interminable aussi longue que le métro russe.
J étais pourtant contente au début : chouette une dystopie russe. J ai pourtant déchanté assez rapidement pour plusieurs raisons.
C est très long. Il ne se passe pas grand chose au final.
Les humains se sont réfugiés dans le métro et chaque station a son idéologie. J ai trouvé les discours interminables.
Ensuite question personnages. Très difficile de s y attacher. Ils aident le personnage principal et disparaissent.
Ce que j ai préféré : le métro en lui même : noir, profond, anxiogène.
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