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3,76

sur 1404 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Immense déception pour moi !
D'habitude, je suis fan de ce genre de livre. Mais là, rien ne m'a accrochée.
L'histoire est plate et redondante, pas de personnages féminins et d'ailleurs les personnages en général sont hyper stéréotypés. Les valeurs sont discutables car souvent "réac" et à la limite de l'intolérance.
Bref, rien ne m'a aidée dans ma lecture qui fut particulièrement laborieuse.
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Profondément ennuyeux ! Dès le début de l'ouvrage, je n'arrivais pas à y rentrer... je me suis forcé mais ai abandonné après 120 pages, ne me sentant pas le courage d'en lire 730 de plus.
Cela ne me permet pas de délivrer une critique valable...
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Le roman appartient à la litérature fantastique. Il n'y a pas à proprement parlé d'impact de la science ou de la technologie dans le déroulement de l'aventure, si ce n'est que comme cause de la situation présente.

J'ai finalement jeté l'éponge après 257 pages.

Je n'ai pas adhéré à son univers.
L'auteur prend un soin minutieux à décrire l'environnement du métro, de ses sous-cultures, des conflits entre-elles, des légendes et croyances. C'est agréable à lire, c'est même très bien écrit, mais au fur et à mesure de l'avancement du livre, j'ai trouvé que la cohérence interne et la crédibilité de l'ensemble se délitaient.

Quelques exemples :
D'après WIkipedia, "La distance moyenne entre les stations est de 1 800 mètres : la plus petite est de 502 mètres entre Delovoï tsentr et Mejdounarodnaïa et la plus longue de 3 413 mètres entre Volgogradski prospekt et Tekstilchtchiki."
Ce qui est une distance très courte à parcourir, même à pied : entre 20 et 30 minutes. Si on considère qu'il y a des postes avancés à 500m des stations, celà laisse en moyenne 800 m entre 2 postes : l'affaire de 5- 10 minutes.
Le roman donne l'impression que cette distance est longue et prend un temps appréciable à parcourir. Il donne l'impression d'un monde vaste et mystérieux.
Autre chose, les communautés vivant dans le métro occupent un centaine de stations sur les 182 du métro d'aujourd'hui. Il est dit quelque part qu'une station est une communauté de 200-300 personnes.Il y a donc une 20000 de personnes vivant dans le métro (ce qui est aussi dit quelque part au début du bouquin).
Il n'y a donc pas la masse critique pour soutenir les conflits armés entre stations qui font l'arrière plan "historique" du début.

Enfin, sur les 257 pages lues, il n'y a pas un personnage féminin individualisé, ayant un rôle, même secondaire.

A partir du moment lelecteur commence à décortiquer rationellement la trame d'une histoire fantastique, il vaut mieux qu'il s'arrête et choisisse un autre bouquin dans sa Pile-A-Lire ;-)

Petit conseil pour ceux et celles tentés par l'aventure : prenez le temps d'étudier la carte du métro, reproduite en 3ème de couverture. Cela facilite beaucoup la lecture et l'appropriation de l'environnement.
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Une lecture profondément déprimante et sans saveur. Pourtant adepte des scénarios catastrophes, dystopies et romans post-apocalyptiques en tous genres, j'avais été plutôt emballée par le « pitch ».
Mais quelle galère, quelle lecture laborieuse, quelle déception ! Les personnages sont froids, sans aucune consistance, le héros est un imbécile qui se laisse porter par les évènements, sans aucune personnalité. Les personnages secondaires, à peine apparus, disparaissent d'une façon ou d'une autre.
L'univers et l'enchainement du récit n'ont pas vraiment de crédibilité.
J'ai été également choquée par l'absence quasi-totale des femmes. Il y a une petite soeur et des prostituées (vues de loin), quelle tristesse. Et pourtant chacun des personnages auraient pu être une femme sans problème, commerçant, voleur, mystique, guerrier, gardien ou veilleur, néo-nazi, moine, joueur invétéré… ils auraient tous pu être conjugués au féminin (y compris le héros hein, mais je suppose que c'est trop demander).
L'écriture ne rattrape rien. J'ai abandonné aux 2 tiers et je trouve que c'est un bel effort.
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Je n'ai pas su terminer ce livre, j'ai lâché l'affaire très vite, univers peu crédible, scène qui se répètent plus ou moins, personnages sans charismes, enfin bref je n'ai même pas envie de m'étendre sur le sujet. Ce livre est d un ennui... A mourir...
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Très déçu par cette lecture…
Je vais peut-être essayer ultérieurement d'attaquer à nouveau la montagne mais cette fois…j'ai abandonné.
C'est long, long..comme un tunnel de métro…et l'action ? Quelle action ? Elle est lente, lente, elle prend son temps pour arriver.
Heureusement que les personnages sauvent le texte ? Et bien non…c'est banal, sans relief… bref, je capitule avec regret mais je hisse le drapeau blanc…
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Métro 2033 a été un total flop pour moi. Et pourtant il a été traduit dans plus de 20 langues, le jeu vidéo s'est vendu à plus de 1.5 millions d'exemplaires. Ca semblait un classique sûr.

Pourquoi ça ne l'a pas fait avec moi? L'univers est top mais le scénario est atrocement répétitif. le héros rencontre une personne qui l'aide et qui va mourir à la station suivante. Répéter ça en boucle et vous avez Metro 2033. Donc en gros, il n'y a qu'un personnage dans tout le livre.

Ensuite le livre n'est pas si vieux mais autant vous dire que les valeurs sont hyper rétros. Ça fait peur! Déjà pas de perso féminins. Les femmes sont reléguées à des jobs insignifiants ou mères de famille. Tous les hommes doivent faire des tours de garde pour protéger le métro mais pas les femmes. Il y a aussi des remarques sexistes récurrentes du type: les femmes lisent des romans d'amour et les hommes des thrillers...

Ce qui a dépassé mes limites c'est quand le héros frappe un handicapé parce qu'il n'aime pas sa tête (le gars bavait et grognait). Ensuite on lui dit d'appeller un asiatique "Bonsaï." Genre le mec n'a pas de prénom.

Là, j'ai décidé d'arrêter. 300 pages de ça sur 650, j'ai vraiment essayé mais ça ne le fait pas pour moi
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On se traîne aux côtés d'Artyom comme une larve dans les tunnels du metro: sans savoir le pourquoi du comment, ni même où l'on va. Une recette du mauvais livre de science-fiction, le style de succès (2millions de ventes !) qui donne au genre cette étiquette de littérature adolescente, à en oublier les milliers de chefs-d'oeuvre qu'il recèle. Commencez par un personnage principal sans saveur: une background story simpliste, revue en large et en travers (dans la famille de l'orphelin sauvé par sa mère d'une mort tragique donnez-moi le fils). Ajoutez-y maintenant des réflexions philosophiques d'une copie de terminale notée 5/20 et un soupçon d'héroisme pour justifier le fait qu'il se lance au péril de sa vie dans une entreprise que seuls quelques hommes ont réussi, juste parce qu'un inconnu (très mystérieux évidemment) le choisit (lui et rien que lui alors qu'il n'a pas dit un seul mot, que personne ne le connaît, qu'il n'a aucune expérience ni trait distinctif) pour une mission qui décidera du sort de tous les survivants !!! Après ça il ne manque plus qu'à ajouter une douzaine de personnages secondaires, un par chapitre, un par obstacle, qui apparaissent de nulle part, l'aident sans aucune raison et disparaissent aussi vite. le roman fait avec cela 850 pages qui ne font que répéter le même schéma: station de métro - personnage secondaire apparaît - tunnel - obstacle - personnage secondaire résout l'obstacle - personnage secondaire disparaît - station...
Je ne parlerai pas de l'écriture simpliste, des répétitions et des lourdeurs car elles sont peut-être dues à la traduction difficile du russe. Cela ne soulage pas pour autant la corvée qui vous attend...
Ah, et un dernier détail. Il n'y a aucune femme. Aucune. La seule allusion faite sera à l'égard de ... prostituées ! Vu le vide abyssal du scenario et de la réflexion, je ne pense pas qu'on puisse y voir une critique de la société russe ou autre... mais bien du bon vieux machisme. Une oeuvre d'un auteur inexpérimenté et sans talent, probablement bourré d'imagination et de bonnes intention mais résolument plus adepte des jeux vidéo que de lecture (ce roman est conçu comme tel et il s'y prête si bien que deux très bons jeux en ont découlé). A éviter si vous n'avez plus de bouton d'acné.
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Ce livre possède un bandeau très racoleur avec ce titre " le phénomène aux 2 millions de lecteur" et une quatrième de couverture très alléchante.
Ces deux raisons m'ont poussée à le demander en partenariat et du coup je suis un peu embêtée de dire que je n'ai pas vraiment aimé ce roman.

Si l'histoire reste intéressante car ce voyage que doit effectuer Artyom pour mener à bien sa mission est bien mené et décrit et qu'on en mesure toutes les difficultés, il est malheureusement assorti de descriptions des stations de métro et de détails d'une longueur épouvantable.
En effet c'est long, c'est lent et c'est ennuyeux au possible.
L'idée de base est excellente, ce monde post apocalyptique, les survivants réfugiés dans le métro de Moscou, des mutants monstrueux en surface ont pris possession de la ville et la survie difficile des derniers hommes enfermés dans ce métro.

En fait le problème majeur pour moi est lié à la lenteur du récit, si certains passages restent passionnants, d'autres sont tellement longs, lents et foisonnants de détails dont on se contrefout qu'on en arrive à lire en diagonale pour espérer échapper à l'ennui.

J'ai tenu jusqu'au bout du roman qui fait tout de même plus de 800 pages juste parce que je me disais que ça allait décoller, que 2 millions de lecteurs ce n'est pas rien et qu'il y avait surement une raison à cet engouement mais sincèrement j'ai failli abandonner bien souvent et je n'ai pas trouvé pourquoi ce roman est autant plébiscité.

Contente d'avoir fini ce roman malgré tout, même si je ne lirai pas la suite mais pas fière de cet avis négatif et de cette déception qui me fait classer cette histoire dans mes flops 2017.

Lien : http://delcyfaro.blogspot.fr..
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C'est l'Ingénu dans le Métro, rangez Zazie et Voltaire, on tient notre nouvelle lecture obligatoire scolaire du roman initiatique. Non, vraiment, y a tout pour correspondre ; un jeune paumé, qui rencontre un adjuvant, qui lui donne une nouvelle quête, monologue philosophique, obstacle, hop Artyom réussit à passer d'une façon rocambolesque l'obstacle, GASP C'ETAIT DONC CA monologue et on recommence ; nouvel adjuvant, nouveau monologue philo, obstacle, deus ex machina, monologue et ad nauseam. En plus, c'est tout aussi long et douloureux à lire, ça se traine, se languit, les personnages autour ne sont là que pour créer un nouveau dilemme moral avant de disparaître mystérieusement à jamais et il n'existe que trois femmes dans ce livre, la mère (morte) d'Artyom, la femme (morte) dont il trouve un journal et des prostituées interchangeables.
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