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Attention spoilers

Après "Métro 2034", j'avais envie de retrouver ce que j'aimais le plus dans Métro 2033 : des couloirs obscurs, une présence, des mutants bien plus que des monstres ...
C'est hélas pour moi pas la direction que prend le roman.

Exit les monstres du métro 2033. Dans ce tome, et c'est très éclairant, ce sont des hommes (les sous-hommes impurs aux yeux de nazis) qui sont appelés "Monstres".
Les monstres extraordinaires de "Métro 2033" ont complètement disparu !
Plus aucune trace dans les tunnels ni en surface ! Artyom s'en étonne même et se pose la question, mais ...la question n'est pas posée aux autres et aucune réponse n'est apportée.

Il y a clairement là un choix de l'auteur de basculer du côté "politique".

Résumé avec spoils : Artyom va tous les jours se prendre sa dose de radiation pour écouter les fréquences radios. Pour lui d'autres ont forcément survécu et émettent. Il va découvrir que oui, mais le métro veut-il entendre et sortir ?

Eh bien non ! Les vieux démons sont là : entre la masse qui veut que rien ne change et les dirigeants qui ont peur d'un ennemi qui aurait gagné et qui serait content de finir le travail...
Artyom ne va convaincre personne ou presque.
Pour maintenir tout le monde sous terre, ignorant, il faut commettre des choses atroces, manipuler, éliminer, mépriser, exploiter ... et il va rencontrer toutes les sortes de participants à cette mascarade : les ignorants, les complices, les acteurs, les victimes, les trompés, les indifférents, ...

En fait, les vrais monstres de ce Métro 2035 sont les hommes (à tel point,je le répète, que les autres monstres ont complètement disparu)

Une histoire pas inintéressante, mais j'avais envie d'autre chose. Sans doute ai-je été déformé par le jeu vidéo qui insiste sur le "contact" avec les "sombres", les autres ...
Je comprends les points de vue de l'auteur et je pose la question : Est-ce une métaphore à peine voilée de la Russie actuelle et passée ?
Lien : https://travels-notes.blogsp..
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Et voilà la trilogie Metro terminée pour moi avec ce tome Metro 2035.

Metro 2035 reprends le récit d'Artyom ( le vrai donc, pas le faux de Metro 2034 ) qui va rencontrer Homère et Sacha puis tenter de trouver des réponses à ses questions.

Alors que dire ? Franchement le début est mauvais. Déjà parce qu'Artyom était intéressant lors de sa quête initiatique mais qu'ici il tourne en rond comme un poulet sans tête.
Le début est mal écrit avec en pointe une scène de sexe entre Artyom et Anna absolument catastrophique. J'ai bien compris que l'idée était de montrer que ça ne se passait pas bien mais c'est donné sous la forme d'un dialogue décousu sans aucune description. Franchement c'est vraiment mauvais.

Il faut bien 300 pages pour que le récit prenne forme ( sur les 750 de mon édition ) et lorsque l'on rentre dans l'histoire ça devient mieux. Côté péripéties je pense que l'on a le même problème que Metro 2033, c'est long et même trop long. L'auteur se perds dans des considérations sur les véritables maitres du métro pour au final ne pas en faire grand chose.

Comme je l'écrivais au début Artyom est un idéaliste mais il a tendance à ne pas réfléchir et se laisser porter par des idéaux qu'il ne comprend pas. On notera qu'autour de lui beaucoup meurent pour rien d'ailleurs.

Par contre ce roman apporte une nouveauté en intégrant une critique intéressant de la société. le 4ème reich et Les rouges sont l'avatar d'un même organe servant à contrôler le métro. Au final peu importent les idées, peu importent les dirigeants tant que la situation perdure.

Je dois avouer avoir été déçu par Homère qui souhaite écrire son histoire et fini par se prostituer pour qu'une histoire sorte avec son nom. Après 2 tomes où on le suit ça fait un peu léger comme fin.

En définitive ce roman restera en demi teinte et si j'ai bien apprécié la réunion de Metro 2033 et Metro 2034 par la rencontre des personnages, j'ai trouvé que c'était vraiment moyen dans l'ensemble. Je passe sur le fait que la qualité est très inégale, ce qui était déjà le cas des tomes précédents. J'ai du mal avec le style de l'auteur même s'il s'est amélioré dans ce tome. Trop rêche, trop succinct et il passe souvent à côté de l'essentiel.
J'aurais du mal à recommander cette lecture. La trilogie commence de manière intéressante puis s'égare peu à peu et il y a probablement mieux en terme d'apocalypse / post apocalypse.
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Ce troisième volet de la saga Metro est aussi, pour moi, le plus sombre. J'ai eu aussi plus de mal à avancer dans ma lecture. Dans les premiers chapitres, j'avais même la sensation de suivre un dialogue de sourds entre fous...

Plus axé sur l'aspect politique, plus proche d'une dystopie que les deux premiers volets, Metro 2035 laisse peu de place à l'espoir (même si Metro 2033 et Metro 2034 ne brillent pas non plus par leur optimisme).

Il y a un peu de Cassandre en Artyom, condamné à ne pas être cru. Comment lutter seul contre tous ? Que peut un jeune idéaliste épris de liberté dans un monde qui se délite et où l'homme a renoncé ? Où tout n'est qu'illusion, faux-semblants, trahison, paranoïa ?

Artyom peut paraître naïf, voire fou, mais c'est son obstination qui nous le rend si attachant. A travers lui survit la dernière parcelle d'humanité.
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Avec ce troisième livre l'auteur revient à son personnage principal et l'aventure prend une nouvelle dimension. Je ne veux pas en dire plus de peur d'en dire trop à ceux qui ne l'ont pas encore lus.
L'aspect politique est encore plus présent dans ce dernier roman, on y voit un mélange d'allégorie de la caverne de Platon et une critique de nos sociétés et du peuple qui les compose. S'il ne fallait retenir qu'une chose de ce livre, c'est qu'il est notre miroir, celui d'un peuple qui préfère croire un mensonge confortable qu'une vérité dérangeante. Rien que pour ce message, ce livre vaut le coup.
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Une horrible fin...

J'étais plutôt heureux de retrouver Artyom dans ce troisième tome mais l'engouement s'est très vite estompé.

le roman est une fois de plus d'une lenteur significative. Dommage que cette fois-ci, ce ne soit pour rien du tout. Ce livre ne m'a pas du tout plus. Déjà parce que l'auteur passe la moitié de son roman à déconstruire les héros des deux précédant, mais aussi parce que les choix scénaristiques de cette conclusions m'ont dépité... Une fin molle et horriblement triste.

Je suis finalement heureux de retrouver la lumière et de sortir enfin du métro. Malheureusement, la hype est passé avec le temps.
Je pense qu'il est tout à fait possible de s'arrêter au premier tome sans rien rater d'autre.
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Dmitry Glukhovksy est un auteur russe né en 1979 à Moscou, qui avant de devenir écrivain a travaillé en tant que journaliste pour des chaines de télévision comme Russia Today, Euronews et Deutsche Welle. Il a effectué des études dans les relations internationales à Jérusalem, avant de commencer à écrire son premier roman Metro 2033 en 2002. Ce dernier parut en 2005 et rencontra un énorme succès. Il s'est vendu à plus de 400 000 exemplaires en Russie et a été traduit dans plus de vingt langues. En 2010, sort un jeu vidéo directement inspiré de son oeuvre sous le même nom. Ce premier roman est le début d'une saga dont le deuxième roman Metro 2034 est paru en 2009, et le troisième, Metro 2035, chez L'Atalante en mars dernier.

Comme l'indique son titre, l'histoire se passe en 2033 dans un monde post-apocalyptique ou la population a été tuée suite à un conflit nucléaire. Depuis, il est impossible de vivre en surface tant le taux de radiation est énorme, qui donna naissance à des créature mutantes. Pour survivre, les deniers hommes se terrent dans les rames de métro de Moscou où chaque ancien vestige de civilisation (électricité, eau) est un luxe. Parmi eux existe le jeune Arytom, orphelin depuis la guerre nucléaire, et doit son salut à un homme avec qui il vit dans une station qu'il n'a jamais quitté. Mais comme la vie n'est jamais un long fleuve tranquille, il arrive que les mutants réussissent à s'introduire dans les tunnels afin de décimer le reste des survivants. Naît alors une quête menée par un certains Hunter qui traînera le jeune, au désarroi de ce dernier, avec lui dans une mission dont la réussite sera déterminante aux habitants du métro.

Comme beaucoup de lecteurs, je n'ai pu échapper au bruit autour de la parution de ce livre en format poche il y dix mois. L'univers post-apocalyptique n'étant pas ce que je préfère, je me suis quand même risquée à découvrir ce récit. Pourquoi ? Simplement parce qu'à mes yeux les auteurs russes, qu'ils fassent dans le contemporain, le romantique ou dans le thriller, possèdent un côté sombre très particulier. C'est donc avec l'espoir de retrouver cette qualité que je me suis plongée dans Metro 2033.

Si je devais citer la première qualité qui me vient à l'esprit sur ce roman, ce serait son univers. Avec ces kilomètres de lignes de métro sans fin il serait facile de s'y perdre. D'ailleurs il est intelligent de découvrir une carte dudit métro dans le rabat de la couverture. de quoi nous guider, nous les lecteurs, dans notre exploration souterraine de la capital russe. Dans ces galeries plusieurs factions se sont créées afin d'instaurer une sorte de « loi de la jungle » ou le respect et la peur sont les maîtres mots. Bien entendu, l'être humain ne sachant pas se comporter comme il se doit, même après une guerre nucléaire, des conflits éclatent entre les groupes rivaux, tant au point de vue social, politique et philosophique. À plusieurs reprises je suis restée incrédules faces aux idées de certains, comme si la bêtise humaine n'avait pas de limite. Si certains périmètres (ou ici, stations) sont occupés d'autres sont vides de tous locataires en raison des histoires urbaines qui se chuchotent d'oreille en oreille, comme des morts inexpliqués, des disparitions, etc. du coup, tous ces éléments confèrent au récit de Glukhovsky une atmosphère sinistre et imprévisible.

Notre voyage commence avec la rencontre d'Arytom qui comme je l'ai dit plus haut, se retrouve dans une quête. Celle-ci se révèle assez proche de celle d'Ulysse dans l'Odysée d'Homère. En effet, à chaque nouvelle rencontre notre héros souterrain se heurte à une pensée différente de la sienne ou des précédentes rencontrés. À travers ses échanges, le jeune homme construit sa propre vision tout en devant veiller à ne pas se faire tuer. Je ne vous cache pas qu'au début il est difficile de s'attacher à lui tant sa personnalité est quasi inexistante. Toutefois, au fil des pages on ressent une certaine compassion pour lui, voir la peur de le voir échouer, sans pour autant entrer complètement en osmose avec lui. C'est justement l'un des défauts que j'ai pu relever durant ma lecture. Les autres seraient le manque de mise en avant des personnages féminins, qui sont simplement cantonnés à des tâches moindres sans que l'une d'elles ne se distingue des autres. Dommage. Au niveau des autres personnages, celui qui m'a le plus marqué est celui de Khan. Sorte de philanthrope charismatique, ce dernier se présente comme la dernière réincarnation de Genghis Kan. Rien que ça oui. À la fois manipulateur et subtile, Khan possède un caractère qui le rend difficile à cerner.

Le style de Dmitry Glukhovsky est fluide et intéressant à lire du point de vue philosophique et apporte une certaine réflexion sur notre mode de fonctionnement. Néanmoins, le récit souffre de quelques longueurs ici et là, ce qui rend l'évolution un peu répétitive par moments. Mais dans sa globalité, l'intrigue se tient très bien, et on constate assez vite que l'auteur a pris le temps de construire quelque chose de cohérent et qu'il s'est amusé.

Petit mot rapide sur l'édition du Livre de Poche que je trouve vraiment remarquable de par sa carte du vaste métro moscovite, mais aussi au niveau la traduction qui n'a pas forcément été de tout repos.

En conclusion, malgré les quelques défauts que j'ai pu trouver à Metro 2033, je ressors avec un bilan assez positif de ma lecture. Comme je m'y attendais la plume de Glukhovsky rend cet univers déjà lugubre de base encore plus sinistre. Entre inspiration contemporaine et quête initiatique Metro 2033 arrive à se distinguer de par la plume oppressante de l'auteur qui rend hommage au genre de la science-fiction. Une lecture qui après-coup fera que vous ne regarderez plus les rames de métro de la même manière.
Lien : https://t.co/M0ps85k0If
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La saga Metro.
Que d'aventure parcouru dans les souterrains Moscovite. J'appréhendais beaucoup de lire ce dernier tome étant amoureux de l'univers créé par l'auteur. Que se soit la saga principale. Les jeux vidéos. Ou encore l'univers étendu.
Finalement je ne suis vraiment pas déçu.
On retrouve donc Artyom (ainsi que certains des personnage de métro 2034) qui fait tout ce qu'il peut pour essayer de recevoir des signaux de survivants venant de l'extérieur. Et ainsi faire sortir les habitants du métro pour une vie meilleur.
Il mettra sa vie en danger, se fâchera avec Ana, pour essayer de donner de l'espoir aux habitants. Mais est ce que ceux ci seront prêt après tant d'années passé dans le noir? Tel est la question.
Dans ce tome point de rencontre avec les mutants comme dans 2033 et 2034. Seulement des humains. Mais ne dit on pas que l'homme est le pire ennemi de l'homme.

Une fin vraiment très bien travaillé pour une saga qui aura marqué son temps.
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À l'inverse de son petit frère Métro 2033, Métro 2035 abandonne cette facette ésotérique, parfois magique, pour conserver les pieds sur Terre (ou plutôt sous terre).
Nous suivons la suite des aventures d'Artyom, personnage principal du premier tome, en quête d'une découverte pouvant bouleverser la vie des habitants des stations du métro moscovite : d'autres habitants, la-haut, à la surface.

Cette quête unira principalement Artyom, prêt à tout pour offrir une vie normale aux 40.000 rescapés de la guerre nucléaire après 23 année de confinement sous terre, Homère, écrivain torturé voulant déposer son âme dans un livre qui lui subsistera et Lyokha, vendeur d'excréments, ajoutant de la légèreté et parfois des moments de rire aux sombres aventures qui attendent les protagonistes.

À l'instar d'un roman policier, le lecteur a de nombreuses fois l'occasion de réfléchir, de construire ses propres hypothèses quant aux déroulés des événements. Hypothèses qui voleront sûrement en éclat lorsque toutes les pièces du macabre puzzle se seront assemblées.

Entre jeux de pouvoirs, manipulation politique et trahison, ce dernier opus est une excellente dystopie politique et sociale retraçant le combat d'un homme pour la vérité.
Beaucoup de parallèles pouvant être fait avec la Russie actuelle (volontaire de la part de l'auteur, valant aujourd'hui à Dmitry Glukhovsky un exil pour ses prises de positions), ce livre invite à une réflexion sur la société dans laquelle nous vivons.

Seul bémol, étant la conclusion à la série Métro, certaines questions nées lors des anciens tomes demeureront à jamais sans réponses, laissant l'imagination du lecteur combler les trous.
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J'ai commencé ce livre il y a plusieurs mois, et je suis resté bloqué bien longtemps sur le milieu du livre. L'univers est très sombre, à l'instar des deux premiers, voire plus, mais ce qui m'a dérangé c'est surtout que cette fois, la bougeotte d'Artyom, on n'en peut plus. Plus personne ne croit en lui, au point que lui-même a des doutes et que le lecteur se demande s'il n'est pas complètement barjot, finalement...

Après avoir découvert LA vérité, Artyom se met en tête de la raconter à tout le monde et à les forcer à sortir du métro. En soit, et je ne fais le rapprochement que maintenant, c'est l'Allégorie de la Caverne de Platon, sauf que ça se déroule sur 700 pages.

Le roman possède de grandes qualités et certains défauts. Dans les défauts principaux, j'ai envie de citer la longueur et la lourdeur de certains passages, mais je réalise au final que ces passages permettent une telle immersion dans le Métro que j'ai l'impression d'avoir vécu une année complète aux côtés d'Artyom, tellement j'ai de souvenirs de situations et de stations différentes.

Cette dystopie possède un style bien à elle, et une fois qu'on l'accepte, on se laisse vraiment transporter dans le métro et on finit par y croire. Les ténèbres suintent par la porte de notre chambre et nous ensevelissent, pour finir par nous emprisonner nous-même dans la noirceur des tunnels. Qui ou que croire pour retrouver un jour sa liberté ? La liberté d' humer à nouveau l'air frais de la surface ?
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Quelle déception ! Je suis pourtant très fan de l'univers de Metro 2033 mais alors ce tome ne l'a pas fais du tout avec moi. le premier tome avait été un gros coup de coeur. le deuxième un peu moins mais une très belle lecture néanmoins. Mais alors là ! J'ai mis pratiquement 2 mois à le finir, avec plusieurs envies d'abandonner au fil de ma lecture.

C'est bien simple, je me suis royalement ennuyée à la lecture de ce troisième et dernier tome. Pas qu'il ne se passe rien, mais il ne se passe rien de nécessaire à l'intrigue principale à mon sens. On patauge, on tourne en rond… Rien n'intéressant ou de croustillant à se mettre sous la langue. Il n y a plus d'horreur vu qu'il n y a plus de monstre. L'histoire est beaucoup moins sombre, beaucoup moins mystérieuse. Pourtant du mystère il y en a, mais il est assez peu intéressant.

Comme il n y a plus de monstres, l'auteur se penche sur la politique et les conflits dans le métro. C'est ce qui m'a fait décrocher. Et pourtant il y en a des révélations ! Mais elles ne m'ont fais ni chaud ni froid. Soit parce que je les avais deviné depuis le premier tome, soit parce qu'elles n'étaient pas à la hauteur de ce que j'attendais.

Les personnages m'ont agacé. Artyom est devenu un gros pleurnicheur. Homère passif au possible. Hunter est aux abonnés absents. Et le seul personnage féminin de toute la saga a pris la pire direction possible pour une femme. Je crois que c'est ce qui m'a le plus agacé d'ailleurs.

J'avais l'impression que ce n'était plus du tout les mêmes personnages que dans les deux premiers tomes. Leur personnalité a été complètement changée et je n'ai pas du tout compris pourquoi !

La fin est relativement ouverte, l'auteur se donne peut être la possibilité d'écrire une suite? En tout cas ça sera sans moi, je vais lui préférer le jeu vidéo. Pour autant ce n'est pas un mauvais livre, c'est toujours aussi bien écrit et immersif, mais ce n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais.

En bref : Vous l'aurez compris, je ressors de cette lecture vraiment déçue et c'est avec beaucoup d'amertume que j'ai refermé la dernière page. Quel dommage, pourtant Metro 2033 et est une saga pour laquelle j'ai beaucoup d'affection. Je m'en retourne donc jouer au jeu vidéo pour tenter d'oublier cet échec.
Lien : https://repairedeslivres.wor..
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