Astérix, tome 15 : La Zizanie

Durant ma jeunesse, cet album était l'un de mes préférés. Il l'est resté bien des années après. le graphisme est excellent, tout comme les jeux de mots. le personnage de Détritus est savoureux et sa pratique de la guerre psychologique avec certainement le plus éclairé des romains pour la pratiquée donne quelques scènes cocasses.
Excellent album !

" La Zizanie" était l'un de mes Astérix préférés quand j'étais plus jeune. Une relecture adulte ne me fait que confirmer le coup de coeur ! Les relations humaines sont finement analysées et les situations drôlissimes sont nombreuses. Mes blagues préférées : " La guerre psychologique" et " L'arrière-garde". Gros point bonus pour l'illustration d'une page entière au sujet de la bataille. du détail, de l'humour. On adore !

Diable , qu'il est , hélas , d'actualité ce tome 15 d'Astérix !
Tullius Détritus est envoyé par César, décidé à "diviser pour mieux régner ", dans le village des gaulois pour y semer la zizanie.
Calomnies, fake news et interprétations hasardeuses, tout est bon pour cultiver la méfiance de chacun envers son prochain. le tout sans réseau social !
Encore un épisode très réussi et assez accessible au jeune public!

Goscinny avait une véritable intuition des valeurs humaines et une science des travers humains, que l'on trouve pleinement dans cet opus ; j'ai franchement ri et particulièrement apprécié la colorisation en vert des conversations, dès qu'un conflit apparaît !
j'ai même pris l'habitude de citer certains gags de la Zizanie dans quelques unes de mes interventions en gestion managériale des conflits, histoire de désamorcer par l'humour.

Cette fois-ci, il n'est plus question de donner des baffes : l'arme que vont utiliser les romains est psychologique. Et moi derrière de faire une critique, comme toujours, hélas assez peu creusée à cause de ma mauvaise capacité à analyser cette série.
Néanmoins, l'idée de semer la dispute dans le village était peut-être le plus gros coup de génie jusqu'à présent. Les gaulois ont un don incroyable pour se disputer, et c'est presque aussi drôle que de les voir se donner des baffes. Envisager un banquet où Assurancétourix se rend compte à quel point les choses ont dégénéré (je ne vous en dis pas plus !) était un autre gag que Goscinny avait réussi avec brio. le plus incroyable est bien sûr que Détritus s'en tire toujours, sans jamais qu'on n'aperçoive ses coups bas glissés dans son langage. C'est l'antagoniste qu'il manquait à la BD franco-belge : il est vicieux, hypocrite, sournois. Et surtout, il est intelligent.
Sur cette tranche d'âge de la série, certains critiques diront qu'Astérix, par des thématiques plus graves et une révélation de ses faiblesses, passe à l'âge adulte. Mais c'est fait avec tant de subtilité et de douceur (!) que l'on ne s'en rend même pas compte.

Projet de relire cette série qui a bercé mon enfance, en complétant avec les ouvrages plus récents.
Voici un chouette album, avec un sujet différent et plus subtil, puisqu'il y est question de psychologie. Un odieux petit personnage romain, qui porte terriblement bien son nom, est envoyé par César pour semer « La zizanie » dans le village gaulois.
Cette histoire est habilement menée. Elle commence bien, avec quelques phrases fétiches entre Jules César et son fils Brutus. Elle est pleine de rebondissements et on ne s'y ennuie pas un seul instant.
Très efficace.

J'ignore où je dois placer cet album sur le podium de mes épisodes favoris des aventures d'Astérix, mais toujours est-il qu'il figure aisément parmi mes trois albums favoris de la saga.

César tente une nouvelle fois de détruire le seul village gaulois résistant encore à l'envahisseur romain. Il tente de ce fait de détruire l'unité qui existe entre les villageois en envoyant un romain qui a la particularité de créer la discorde partout où il va. le romain use ainsi de toute son ingéniosité afin de créer la zizanie au sein du village gaulois.

Cet album qui tourne autour du sujet des commérages et de la calomnie est vraiment passionnant. La manière dont chaque trait d'esprit du romain engendre divers types de comportements est vraiment exquis. Je recommande vraiment chaudement cet album.

Le meilleur tome de Astérix, jusqu'ici ! Jules César n'en peut plus du célèbre village des irréductibles gaulois d'Armorique, qui ne cesse de combattre ses légions avec une aisance qui le confond ! Il questionne alors ses conseiller qui l'orientent finalement vers Tullius Perfidus un semeur de zizanie sans faille ! Aussitôt dit, aussitôt fait, lorsqu'il débarque dans le village, la zizanie, ne perd pas de temps ! Les combats deviennent toujours plus intenses et une étonnante atmosphère glaciale règne entre les commerces. Ce tome déborde d'humour, tandis que la guerre psychologique est à tordre de rire le lecteur. le scénario est à la fois fin et le reflet d'une société corrompue. Les illustrations enveloppent bien le tout (Uderzo, en a dessiné des personnages énervés !).

Un excellent cru, qui touche à des sentiments profonds (nature humaine) et va loin dans l'analyse des rapports humains. Tout en gardant heureusement tout l'humour, les jeux de mots, les calembours qui font le sel des albums de nos héros. Et Détritus est magnifiquement détestable, une des grandes réussites de Goscinny et Uderzo.

Ils sont zinzins ces romains...


Tout comme la BD précédente, j'ai trouvé celle-ci par hasard au vide-maison. En plus, je crois que celle-ci je ne l'avais jamais lue.


C'est sympa de retrouver nos deux gaulois préférés avec tous leurs amis dans une nouvelle aventure. Il s'agit du tome 15, le thème est très intéressant et les auteurs nous montre que les apparences  sont parfois trompeuses et qu'il est simple de créer un problème là où il n'y en a pas.