Il faut que j'en parle à notre chef ; ce n'est pas normal que des Romains bravent les dangers de la forêt , surtout quand les dangers, c'est nous
Contremaître ! Faites votre travail ! Je me sens un peu las ; venez me donnez quelques coups de fouet !
- Est-ce clair, esclave !
- C'est dur à admettre, maître.
[le centurion au bout du rouleau]
Mes hommes sont en grève, mais le dialogue n'est pas rompu. Aujourd'hui, nous devons aborder le problème des permissions de minuit, que les délégués veulent prolonger d'une heure.
Tu te rends compte que si tu étais à Rome tu aurais vendu ces poissons à cinq sesterces pièce ?!!!
- As-tu fini, médecin ?
Je crains fort que je ne fasse que commencer...
[Obélix] Mais en arrachant les arbres, vous faites de la peine à Idéfix, aux sangliers...
[Astérix] ... aux corneilles...
[Panoramix] Oui, c'est un problème cornélien, entre autres...
DANS L'INFIRMERIE DU CAMP D'AQUARIUM :
- Je t'avais prévenu Anglaisus : ces gaulois sont des barbares, et ils n'aimentpas qu'on se promène dans leur forêt.
- Ce n'est pas leur forêt, centurion Oursenplus ! C'est le chantier du futur Domaine des Dieux ! Finis, les barbares et les forêts !
Place à la civilisation ! Nous allons commencer à déboiser !
- Faudra dégauloiser d'abord.
Asterix : prodigieux
Obélix : pourquoi ? C'est un chêne comme les autres.
Astérix : mais, tu as vu à quelle vitesse il a poussé ?
Obélix : ben, c'est la première fois que je vois pousser un chêne, alors, je ne sais pas à quelle vitesse ils poussent, d'habitude.
L'esclave numide : vous nous empêchez de devenir des hommes libres, en nous empêchant d'achever le travail.
Obelix : mais en arrachant les arbres, vous faites de la peine à Idefix, aux sangliers...
Asterix :...aux corneilles
Panoramix : oui c'est un problème cornélien...
L'esclave numide : les corneilles sont libres, elles, les sangliers, votre chien aussi !