Gone, tome 4 : Épidémie

C'est la merde...

La Zone et ses habitants sont dans une situation horrible : une épidémie d'une genre de grippe où tu craches réellement tes poumons, Drake qui revient en force avec une armée d'insectes gros comme des caravanes, et une découverte d'animaux qui te bouffent sous ta peau (dégouttant, ne lisez pas le livre si vous êtes sensible, vraiment).

De plus, Sam part à la découverte de la Zone pour aller chercher de l'eau avec Dekka et Jack, et donc ils ne seront pas là pour défendre Perdido Beach.

Bref, vous l'avez compris, ce n'est vraiment pas la joie dans ce roman. Michael Grant a un véritable don pour écrire des situations répugnantes, où la Mort est présente en permanence. Cependant, j'hésite pour lire le tome 5… qu'en pensez-vous ?

En fait, j'ai plutôt apprécié ce tome-là, mais j'ai été déçu par la façon dont l'histoire tourne. Dans les premiers tomes, l'histoire ne part pas ‘trop loin', mais là, c'est un peu beaucoup. Dois-je lire ce tome 5 ?

De plus, le fait que Brittney et Drake aient le même corps est très étrange et non-expliquée (ou pas). J'ai trouvé que cette ‘chose' était particulière dans ce roman et j'aimerais savoir jusqu'où l'auteur aimerait venir avec ce corps à deux esprits…

Bref, je suis content de cette lecture, mais en y repensant, je trouve plutôt que le roman est déroutant…

Re bref, j'espère que la lecture du 5e tome sera plus ‘réfléchie' que ce tome 4.


Bonnes lectures en février 2020 et 160 critiques !

Vous savez quoi ? Depuis le début de cette saga, c'est mon tome préféré !

Nous suivons donc les aventures de Sam et ses amis (et ses ennemis aussi) dans la Zone. Cela fait plus de 6 mois que les enfants sont tous seuls. Ils viennent de vivre de sacrés mauvais moments et ils ne sont toujours pas au bout de leurs peines. D'un côté, une épidémie mystérieuse et mortelle touche les enfants les uns après les autres. D'un autre, Drake est plus que jamais une menace puisqu'il a réussi à s'échapper de la prison dans laquelle Sam l'avait enfermé. Et puis, il y a ce truc étrange qui arrive à Hunter, cet insecte qui lui sort de l'épaule et qui semble le bouffer de l'intérieur… Et ce n'est que le début !

Franchement, on a l'impression que cette fois, ils sont vraiment en train de vivre le pire du pire. On a du mal à imaginer ce qu'ils pourraient subir d'autres d'encore plus dur que ça !

Une fois n'est pas coutume, j'ai eu l'impression que, non seulement, il se passait rapidement quelque chose, mais qu'en plus les événements s'enchaînaient sans trop nous laisser le temps de souffler. Il se passe pas mal de choses dans ce tome-ci. Pour une fois, je n'ai pas eu cette impression de surplace que me laissaient les premiers tomes.

Autre chose, cette fois non plus je n'ai pas eu l'impression de tourner en rond. Peut-être que c'est lié au manque de temps mort ? Les personnages n'ont pas tellement le temps de ressasser leurs pensées en boucle. Ils sont pris dans les événements et font ce qu'ils peuvent pour s'en sortir.

Donc oui, tout ceci fait que j'ai davantage apprécié ce tome que les précédents. Sans compter que nous n'avons pas encore toutes les réponses à nos questions. L'auteur continue de nous surprendre en nous inventant continuellement de nouvelles intrigues, de nouveaux mystères. Et au milieu de tout cela, il nous distille quelques petites révélations qui font qu'on a quand même envie de connaître le fin mot de l'histoire.

Du coup, je me lance dans le tome 5 en espérant qu'il continue dans la lignée de celui-ci !

Les enfants de Perdido Beach sont dans la Zone depuis maintenant huit mois. Ils ont vécu bon nombre de choses et ont affronté le pire. Toutefois, ce n'est pas fini et le sort s'acharne sur eux, avec un nouvelle épidémie (entre autres choses).

Ce quatrième tome est résolument plus sombre et plus gore que les précédents. C'est une saga littéraire jeunesse, mais je ne la mettrais pas entre les mains de tous. Si le premier tome est plutôt gentillet, les choses se corsent de plus en plus et certaines scènes pourraient choquer (même si elles ne sont pas décrites dans les détails, les faits sont là).

Il y a beaucoup d'intrigues qui s'entrecroisent dans ce quatrième tome, si bien que l'on n'a pas le temps de s'ennuyer. Il y a toujours un rebondissement quelque part (il s'en passe des choses en 72h seulement !). Toutefois, cela ne m'a pas empêchée d'être un peu déçue. le côté fantastique est beaucoup trop présent, et trop abracadabrantesque par moments. Si certaines choses ont déjà été expliquées "scientifiquement" dans les tomes précédents (les mutations génétiques, la présence de l'Ombre...) il n'empêche que j'ai du mal avec les insectes géants et volants par exemple.

Je vous conseille de ne pas lire mon avis à partir de là si vous n'avez pas lu les trois premiers tomes de la saga.

La psychologie des personnages est vraiment intéressante. Sam commence à penser à tous leurs actes terribles qu'ils ont dû faire jusqu'ici. Comment cela se passera-t-il s'ils parviennent à sortir ? Pourront-ils se justifier ? le méritent-ils vraiment ? Et puis, après une telle épreuve, comment penser à redevenir un enfant, tout simplement ? C'est un aspect de la vie qui n'avait pas été abordé jusque là, et j'ai trouvé ça vraiment intéressant. On découvre aussi d'autres facettes du personnage de Caine. Jusqu'ici nous voyions surtout son côté cruel, mais cette fois-ci on voit son génie, son intelligence. Quant à Astrid, c'est celle qui m'a le plus surprise. Elle est totalement désespérée et semble prête à tout pour que ce cauchemar s'arrête, et désormais il va falloir qu'elle vive avec certains de ses malheureux choix sur la conscience.

Je suis également un petit peu déçue au niveau des personnages que l'on a commencé à connaître dans le précédent tome. On ne les voit pas beaucoup et ils m'ont manqué. J'espérais qu'on apprendrais à les connaître davantage dans ce quatrième opus, maintenant qu'ils ont rejoint Perdido Beach.

Fin des spoilers éventuels.

Pour conclure, j'ai passé un bon moment avec « Gone, tome 4 : l'épidémie ». A chaque tome l'auteur sait donner un nouveau souffle à son histoire et à ses personnages. Toutefois, je suis un tout petit peu moins emballée que pour les tomes précédents car certains aspects fantastiques du récit me dérangent. J'ai tout de même hâte de lire les deux derniers tomes de la série !
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Ce 4ème volume n'a pas fait exception à la règle : j'ai adoré. Gone est vraiment une de mes sagas préférées ! On trouve toujours cette atmosphère pesante, oppressante et toujours cette envie de connaître la suite. Certains personnages évoluent mais ils sont tous surpassés, ils pètent les plomb. Encore une fois, de nombreux morts accompagnent ce livre -dont celle d'un personnage très important- notamment à cause d'une violente épidémie et puis, d'autres dangers, pires les uns que les autres s'accumulent... Même si les tomes ne sont pas si différents, on ne s'ennuie jamais. Vraiment des livres géniaux ! J'ai déjà commencé le 5ème tome !

Et surtout merci à... ma meilleure amie qui m'a offert ce livre merveilleux !!!

La Zone, toujours. Des enfants contactent une sorte de grippe qui s'avère d'un genre très particulier, comme seule la Zone peut en créer : certains malades se mettent à cracher littéralement leurs poumons et autres organes en toussant, jusqu'à ce que mort s'ensuive. Les pouvoirs de Lana la guérisseuse ne peuvent rien contre cette terrible maladie qui se répand rapidement. Par ailleurs, l'organisation menée d'une main de fer par Albert concernant l'approvisionnement en eau est en nourriture commence à rencontrer des difficultés : l'eau potable, en particulier, se fait rare. Il faut que quelqu'un aille chercher une autre source. Autre "soucis", Drake est bien décidé à s'enfuir du sous-sol dans lequel Sam l'a fait prisonnier et compte sur les faiblesses d'Orc, son gardien, pour arriver à ses fins. le petit Pete, quant à lui, est fiévreux, inconscients. Astrid perd pied à s'occuper de lui tout en étant rongée par l'idée que si son frère disparaissait, la Zone en ferait autant. Dans tout cela, le Gaiaphage n'a pas dit son dernier mot.

J'ai moins aimé ce tome que le précédent. J'ai reproché au 2e d'être lent, je reproche à celui-ci d'avoir voulu trop en faire au point d'introduire des incohérences de scénario dérangeantes.
La plus grosse : Albert a repéré sur une carte la présence d'un lac. Celui-ci pourrait permettre de régler le problème de la source d'eau douce. Et c'est Sam qui est missionné pour se rendre là-bas. Il part donc pour plusieurs jours accompagnés de Dekka, Jack le crack et Taylor. Parmi les mutants susceptibles de protéger la ville, il ne reste donc en ville qu'Orc, peu fiable puisqu'alcoolique avéré, et Brianna.
Pourquoi ? Certes, ça permet à l'auteur de faire s'échapper le personnage de Drake et d'avoir un bon prétexte littéraire pour faire revenir Caine de son île paradisiaque. Mais par rapport à l'histoire, ça ne colle pas. Les explications données ne tiennent pas la route. Cette incohérence m'a gênée tout le long de ma lecture de ce tome.

Pour le reste, beaucoup de choses, bonnes ou moins bonnes.
L'épidémie totalement gore est très bien trouvée, les insectes parasites qui mangent leurs hôtes humains sont écoeurants mais correspondent bien à la ligne de conduite donnée au Gaïaphage depuis le début de la série, le personnage de Toto apporte un peu de nouveauté bienvenue ainsi que Sanjit et Virtue. J'ai aimé que les histoires des personnages continuent de se développer au delà de Sam, Astrid et Edilio. Ici, Lana prend plus de profondeur alors qu'elle avait été laissée de côté dans le tome 3. Diana prend également une autre dimension. J'ai également aimé qu'on trouve encore le moyen de nous faire découvrir des espaces de la Zone que l'on n'avait pas visité... et qu'on apprenne ce qu'ils recèlent.

Par contre, Astrid est limite soporifique dans ce tome avec son "Je le tue ? Je le tue pas ? Est-ce mal ? Mais si ça sauve les autres enfants ? Et qu'est-ce que Dieu veut que je fasse" Certes, c'est son frère et la décision ne se prend pas à la légère mais cette réflexion commence à la fin du tome 3 et on n'avait pas besoin d'en faire autant tout au long de ce tome. La relation Astrid/Sam aussi devient lourdingue.

Je suis mitigée sur Drake dans ce tome. Je reste assez fan de l'idée du corps partagé avec Brittney et que chacun garde sa volonté propre. (Attention, gros spoile) le retour dans la grotte du Gaïaphage était par contre de trop, je trouve. D'autant qu'elle n'apporte pas grand chose. (fin du gros spoile)

J'ai également été déçue par le fait de ne pas en apprendre davantage sur la Zone, Pete, le Gaïaphage. On continue de comprendre que l'ensemble est lié mais point de grande découverte cette fois-ci (contrairement au tome précédent)

En bref : un tome dans lequel on a voulu mettre beaucoup de choses mais avec un certain manque de finesse dans l'articulation des évènements et dans l'équilibre donné. Pour autant, on reste capté, il y a encore beaucoup de bonnes idées. Je lirai volontiers la suite. D'autant que la fin de ce tome-ci annonce des rebondissements surprenants !

C'est "agréable" de voir les enfants de Perdido Beach à nouveau affronter un nouveau danger hors du commun : l'idée des insectes carnivores est une trouvaille.

J'adore nos héros, leur courage ou même leur lâcheté car finalement, ce ne sont que des enfants qui doivent essuyer des catastrophes que plus d'un adulte aurait fui avant eux. On explore la Zone, des endroits encore inconnus auparavant de nos protagonistes et enfin découvert mais pour le meilleur ou pour le pire? L'écriture de l'auteur est toujours un régal à lire, je ne me lasse pas de ces aventures, je suis juste extrêmement frustrée face aux décisions prises par les personnages, de cette impression de tourner en rond à cause de leur caractère... Mais cela n'enlève en rien mon addiction à l'intrigue et à enfin savoir le pourquoi du comment de cette situation inimaginable ! Cette série est à découvrir sans hésitation, les deux derniers tomes m'attendent dans ma pile et j'ai tellement hâte de les lire !
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Je retrouve, pour ce 4ème tome avec joie, mes chers enfants de Perdido Beach moins affamés, mais manquant considérablement d'eau. La maladie qui s'est soi-disant estompée n'arrange encore moins la situation dans laquelle ils vivent.
Sam est en pleine phase de déprime. Il se lamente, et tout ça pour la belle Astrid. Il en va jusqu'à même peloter Taylor. À cause du manque d'eau, Albert va l'envoyer dans un endroit où se trouve un lac, pour inspecter les lieux. Il y emmène avec lui Dekka, Jack et Taylor soit, tous les mutants les plus fort de la Zone. Ce qui n'arrangera encore moins les péripéties qui suivront, en effet le danger est proche et la ville est sans protection. Heureusement, j'ai enfin retrouvé le Sam du premier tome, courageux et brillant. le Sam qui trouve toujours un plan face aux éventuelles rencontres qu'il fait et qu'il va de nouveau faire là-bas.
Pendant ce temps à Perdido Beach, c'est Edilio qui gère tout ce petit monde. Albert se réfugie à la moindre bagarre. Une maladie bien pire que la précédente se répand. C'est une grippe terrible qui se propage, faisant cracher aux enfants leurs propres poumons. Les morts accumulent, tandis que de monstrueuse bestioles apparaissent. Ce sont celles qui ont dévoré de l'intérieur, Hunter. En effet, à la simple petite morsure d'une de ces bêtes, l'infection produit pleins d'insectes dans le corps de ce dernier, qui ensuite, dévore tout ce qui se trouve sur leur passage pour enfin grandie et trouer la chaire. À la fin, il ne reste que de la charpie. C'étaient des passages assez glauques. Et j'ai parfois eu envie de vomir, les descriptions sont… horribles. Pour ceux qui sont courageux d'esprit, et qui aiment ce genre de lecture n'hésitez pas à acheter Gone. Ca m'a vraiment dégoûté, mais étrangement ça ne m'a pas déplu.
Mais en plus de tout ça, Drake réussit à s'échapper à cause d'Orc. Plus affreux, et terrifiant que jamais, conduit par la voix du Mal – soit L'ombre ou Gaïaphage – il essaie coûte que coûte de poursuivre Sam son ennemi de toujours. Mais Drake est guidé par L'Ombre… pour son plus grand malheur ce n'est pas lui qui décidera de tous ses faits et gestes même lui ne peut rien contre Elle.
Dans tout ce Chaos, les enfants doivent faire appel à Caine pour vaincre cette armée d'insectes "à carapaces presque indestructibles", mais ce qui est encore plus étonnant, c'est la personne qui lui demandera son aide. Evidemment Caine en profite, même s'il avait la belle vie depuis son arrivée sur cette île. Cependant, il préfère le pouvoir au confort.
Sanjit et sa petite famille réussissent à se créer une place au sein de cette ville. Sanjit accompagne Lana tout le long du livre. Leurs dialogues sont assez drôles, et j'ai apprécié les répliques qu'ils s'adressaient. En fait je suis une grande fan de Sanjit, j'aime tout chez lui, sa façon de tenir tête aux gens, sa façon de s'exprimer, bref tout. Je ne sais pas pourquoi, mais ce personnage m'a tout de suite plu même s'il ne tient pas réellement un rôle important dans ce tome. Lana, par contre, je ne la supporte pas. Elle est toujours maussade, répond mal, profite des autres grâce à son don pour guérir les gens. Certes, elle a vécu des choses horrible, mais ce n'est pas une raison et en tout cas c'est comme ça que je la perçois, je hais cette fille. Cette fois-ci, elle est moins présente dans ce quatrième tome, et comme à son habitude elle soigne les enfants.
Au départ, Brianna ne me plaisait pas trop. Elle se vente constamment, se fait même surnommer la Brise. Pourtant, je l'ai trouvé extrêmement courageuse, et pour une fois j'ai aimé son comportement, comment elle agissait etc… Elle se rend très utile, et cette fois-ci ce personnage se bat plus qu'elle ne parle. Et c'est très agréable, beaucoup d'actions, de bagarres à la vitesse éclair… !
Astrid. Cette jeune fille, à l'allure fière, intelligente, surnommée Astrid le Petit Génie, eh bien c'est là que je l'ai vue pour la première fois dépérir. Mais encore plus que la dernière fois, elle n'a plus confiance en elle et après s'être retirée du conseil, va s'exiler vers le milieu du livre. Encore plus agacée par le petit Pete, elle va regretter un acte qui la fera énormément culpabiliser…
Conclusion :Je ne sais pas si c'est à force de lire autant de livres de la série, mais les personnage me sont de plus en plus familiers. Au début, quand j'ai commencé la saga j'avais peur de ne plus m'y retrouver avec tous ces personnages, ces morts, ces revenants, ces nouvelles venues. Puis au fil des tomes, je comprends de mieux en mieux les enfants de la Zone, je m'attache à eux et je les connais mieux. Pour ceux qui ont commencé le premier tome, et sont déçus par rapport au manque de profondeur niveau personnage, n'ayez pas peur de continuer la suite. Les livres sont assez gros, et à chaque fois une multitudes d'événements croustillants en font place à d'autres et ainsi de suite, pour au final chambouler l'ordre des choses. le hic, c'est que pour aborder toutes ces révélations, et surprises l'auteur doit mettre moins de place aux caractères des personnages etc… En revanche, cela n'empêche pas que de tome en tome, on les découvre un peu plus.
Pour le quatrième tome, j'ai savouré chaque page avec délice et je n'ai rien à lui reprocher. Pour l'instant, je trouve que c'est le meilleur de la saga et j'ai hâte de connaître la suite !
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Meilleur que les tomes 2 et 3, ce roman de la série Gone amène des pistes de solutions, de l'action et une présentation plus détaillée et très intéressante de certains personnages secondaires. Si l'auteur étirait un peu moins la sauce, la série serait meilleure (on aurait pu faire deux tomes avec les quatre premiers). Espérons que les deux derniers tomes seront convaincants.

Me voilà de nouveau embarquées dans de nombreuses aventures avec les enfants de Perdidio Beach et je dois dire que je n'ai pas eut le temps de m'ennuyer.
Dans ce tome il ya enormement de rebondissement donc j'ai eut du mal à lacher mon livre et il egalement beaucoup plus sanglant voir gore dans certaines descriptions.
Vous l'aurez compris ce fut une très bonne lecture, le seul reproche que j'ai à faire c'est qu'on ne nous donne pas beaucoup d'information sur ce qui se passe. J'espere avoir de bonnes révélations dans les derniers tomes et ne pas rester sur ma faim.