- J'aime et je prends tout dans cet homme-là.
- Même si parfois, j'aurai besoin d'aide pour réussir à sourire et de solitude pour respirer ?
- Je veux les bons jours et les mauvais.
Moi, je me sens vide dans ce monde privé de lui. Dans ce monde dénué de sens où des parents martyrisent leurs enfants à coups de poings ou de mots blessants au lieu de les chérir et les aider à grandir.
Est-ce qu'on se remet un jour de ses abandons ?
Ce ne serait pas la première fois qu'on me lâche en plein vol... juste parce que je ne suis pas assez bien. Pas exactement comme les autres voudraient que je sois.
J'en ai maintenant 25 et la nostalgie m'étreint comme si j'avais déjà écoulé pour toujours mon quota de bonheur, déjà vécu mes meilleures années.
Mon passé ne détermine pas qui je suis. Les erreurs nous font grandir et avancer.
Si je ne le connaissais pas si bien, je dirais que son « respect » a un petit goût de lâcheté.
Je crie ma rage au ciel ensoleillé qui se fout bien de mes états d’âme et mes regrets.
Et la distance, ça vous change, ça vous éloigne, quoi que vous fassiez pour éviter cette fatalité.
Quand est ce que les hommes vont comprendre qu’on n’a pas besoin de leur avis sur nos physiques quand on ne le leur demande pas et encore moins de leur validation et de leur désir pour se sentir exister ?