Pouvez-vous nous prêter votre mari ? et autres scènes de la vie sexuelle

“What is cowardice in the young is wisdom in the old, but all the same one can be ashamed of wisdom.”

Gagner la confiance de quelqu’un exige à peu près la tactique qu’emploient certains hommes pour séduire les femmes : ils tournent en rond, loin de leur but véritable ; ils s’efforcent d’intéresser ou d’amuser jusqu’à ce qu’arrive enfin le moment de frapper.

Les femmes, me font toujours penser à une salade de la veille macérée dans la sauce : vous savez, ces feuilles humides et gluantes qui nagent positivement.

Il y avait chez ce garçon une sorte d’innocence qui justifiait l’amour de sa femme ; je préférais penser qu’il manquait encore de maturité, qu’il s’était marié en toute bonne foi et que seules les circonstances actuelles le conduisaient au bord d’une expérience d’un genre différent.

On ne fait pas le portrait d’une femme pour que le lecteur connaisse tous ses traits en couleurs et en formes sans vie, mais pour lui faire partager une émotion.

 Pauvre garçon. Il a confondu le plaisir de monter à cheval avec le désir de monter… une pouliche.

C’est toujours comme ça. Les gens qui vous paient pour décorer leur maison ont eux-mêmes un goût effroyable.

On peut toujours compter sur les Anglais pour prolonger plus que quiconque leur séjour bien avant dans l’automne. Nous accordons au soleil méridional une foi aveugle et nous sommes pris au dépourvu quand un vent glacé se met à souffler sur la Méditerranée. Alors commence une guerre d’usure entre clientèle et hôtelier au sujet du chauffage au troisième étage, et le carrelage vous glace les pieds.

Pour un homme parvenu à l’âge où tout ce qu’il demande est un peu de bon vin, un peu de bon fromage et un travail qui l’occupe, c’est la meilleure saison de toutes.