La vie se trouve juste derrière la peur. Ce ne sont que des anticipations, des fabrications de notre cerveau. Ils sont trop lourds, ces fardeaux que l’on ne portera jamais.
C’est pratique, la colère, pour camoufler la tristesse ou la peur, pour ensevelir la culpabilité ou la honte. C’est l’émotion joker, qui prend la place de chez qui nous encombrent et qui nous permet de mieux encaisser, tout en nous transformant en parfaits tyrans.
Je tremblais de rage. C'est pratique, la colère, pour camoufler la tristesse ou la peur, pour ensevelir la culpabilité ou la honte. C'est l'émotion joker, qui prend la place de celles qui nous encombrent et nous permet de mieux encaisser, tout en nous transformant en parfaits tyrans.
La vie se trouve juste derrière la peur. Ce ne sont que des anticipations, des fabrications de notre cerveau. Il sont trop lourds ces fardeaux que l'on ne portera jamais.
La vie se trouve juste derrière la peur.
Nous sommes tous les mêmes, sur la ligne de départ, c'est en route que nous différons. Les uns seront chaussés de souliers confortables, les autres seront ralentis par un sac à dos déjà trop lourd. Les uns auront un vent de bienveillance dans le dos, les autres seront pris dans des bourrasques de violence. Les uns sont nés sous une bonne étoile, les autres sont nés, tout court.
Une fois passés, les moments doux ne disparaissent pas. Quelque part ,au fond de nous ils durent pour toujours. On les appelle les souvenirs.
L'âge est une prison affirme la prof. Je refuse de me laisser enfermer. Il y a des vieilles de vingt ans, moi je suis une jeune de soixante ans ! C'est à toi de décider.
La vie se trouve juste derrière la peur.
« J’ai vécu vingt-sept ans avant toi et, en dix jours, tu es devenue essentielle. Mon cœur cogne plus fort, mes poumons se sont déployés, c’est comme si, jusque-là, tout mon être t’attendait pour sortir de l’hibernation. J’ai vécu vingt-sept ans sans savoir que tu me manquais. »