Tu comprendras quand tu seras plus grande

Il y a quelques temps de cela, alors qu'un client me tenait la jambe en me racontant combien il savait s'amuser comme un p'tit fou en enchaînant queue leu leu, paquito et jeux aux subtilités jarretièresques, je décrochais de la discussion et le laissais monologuer. Certainement dans le but de me faire remarquer qu'il notait fort bien mon manque d'attention, il me balança : "Et vous ? Vous aimez vous amuser ou vous êtes plutôt du genre pimbêche ?". Surprise de sa saillie, j'en oubliais ma position commerçante et lui répliquais sans réfléchir : "Si être pimbêche c'est pas aimer faire tournoyer son soutif au dessus d'sa tête, j'suis une putain de pimbêche, ouais".

Je vous informe que, dorénavant, à cette définition de pimbêche, vous pouvez ajouter "insensible au feelgood chamallow nappé de chocolat et saupoudré de vermicelles arc-en-ciel". Bien que Virginie Grimaldi soit dans le top dix des auteurs qui vendent le plus, je me rends compte que c'est le style de littérature qui ne m'intéresse plus... du tout. Et pour la dose mensuelle de ce genre d'humour recommandé par les autorités non-compétentes pour maintenir son moral au beau fixe, je préfère largement écouter les anecdotes de mes copines marrantes dans la vraie vie, et avec un verre à la main, si possible.

Et pour info le paquito, c'est pas avant le dixième verre, et c'est en général le moment ou j'arrête de m'amuser.
N'est pas pimbêche qui veut...

Roman avec plusieurs passages amusants qui m'ont fait sourire et parfois même éclater de rire.
Mais pour ce qui est de l'histoire, je l'ai trouvé très banale, les personnages peu attachants et crédibles, particulièrement au niveau de Julia. La vie des seniors présentée dans ce livre est très réductrice et remplie de stéréotypes.
Vite lu, vite oublié.

Je doute très fort que la vie dans les maisons de retraite soit aussi idyllique que celle décrite dans ce livre...
Mais bien sûr, il s'agit d'un roman, agréable à lire, sans plus.

Un roman que ma Maman m'a passé, car j'aime bien les romans de l'auteure dans l'ensemble. Cependant, cette fois-ci, cela ne l'a pas fait avec moi malheureusement...

L'histoire est celle de Julia, qui débarque en tant que psychologue à la maison de retraite Les Tamaris. Elle a tout plaqué pour se sauver... et pour ce boulot, alors qu'elle ne déborde pas vraiment d'affection pour les personnes âgés. Mais au fil des jours, elle découvre chacun des pensionnaires et chacune de leur histoire. Son quotidien s'illumine et lui montre qu'une autre vie est peut-être possible, surtout lorsqu'elle fait la connaissance du petit-fils d'une des pensionnaires...

Dés les premières pages, j'avoue que je ne suis pas vraiment rentrée dans l'histoire. Je pense que je ne suis pas dans un phase de ma vie où je pouvais m'identifier facilement à la vie de Julia et cela m'a empêché de rentrer réellement dans cette lecture. Néanmoins, les pensionnaires m'ont beaucoup appris à travers leur récit sur la vie dans un ensemble. Ils ont des anecdotes, ils ont vécu des choses, qui peuvent servir à la jeune génération. Cependant, ce côté-là n'a pas gommé le fait que je me suis un peu senti en dehors de ma lecture...

Du côté des personnages, je vais revenir principalement sur Julia, qui a tout plaquer pour devenir psychologue dans une maison de retraite, même si elle n'apprécie pas vraiment les personnes âgés. Pourtant, au fil des jours, elle va vraiment se sentir chez elle et reprendre goût à la vie. Au vu de ce qu'elle a pu traverser, j'aurais pu m'attacher à elle. Pourtant, cela n'a pas été le cas... Je trouve qu'il m'a manqué quelque chose pour réellement m'attacher ou m'identifier à elle. En fait, je ne sais pas si c'est le fait de ne pas être rentrée dans l'histoire ou c'est si je n'ai pas réussi à m'attacher à Julia qui a fait que je n'ai pas réussi à apprécier ma lecture.

Tous les autres personnages, comme les pensionnaires, permettent de faire évoluer Julia. Malheureusement, leurs histoires ne sont pas assez développées tout au long du roman pour que je puisse m'attacher. Cela m'a vraiment manqué dans cette lecture...

Pourtant, j'ai vraiment apprécié le style de l'auteure. Je pense que j'ai fait, peut-être, un blocage sur l'histoire ou le résumé... Cela ne m'empêchera pas de découvrir d'autres romans de l'auteure, surtout que j'en ai déjà un dans ma PAL qui m'attend !

En général, une lecture mitigée, qui ne restera pas dans mon esprit bien longtemps...
Lien : https://www.fifty-shades-dar..

Parce que j'ai du temps, je le lis... Ça doit être drôle, je suppose.
Un feel good sans finesse, car prévisible.
L'héroïne, Julia : trop pleunicharde, fleur bleue, trop "clan", nostalgique.
Bref, je suis sûre que c'est un bon livre pour certain, dommage que je n'en fasse partie.

Trop de clichés, trop de bons sentiments, des personnages stéréotypés. Je me suis ennuyée à mourir. le cadre du récit ne me déplaisait pas fondamentalement mais j'attendais bien mieux, d'autant plus que je trouvais que Virginie Grimaldi était vraiment une plume exceptionnelle à l'époque de son blog...

Mon avis sur ce livre est assez mitigé...
En effet, le style est plutôt fluide, bien écrit et se lit bien. Les chapitres sont cours ce qui donne l'impression d'avancer vite. Les personnages sont attachants: que ce soient les résidents de la maison de retraite ou le personnel qui y travaille.
Malgré tout, je trouve que cela manque de profondeur et j'ai eu du mal à me sentir pleinement concernée. D'ailleurs j'ai du mal également à en faire une critique constructive car rien de concret ne permet d'expliquer ces 2 étoiles...
Malgré tout, je tenterai probablement de lire son best seller "le premier jour du reste de ma vie"...

Roman très neuneu. Je l'ai écouté en audiobook pendant le boulot ... ça passe le temps ... sans plus ! Déçue parce que c'est ma première "Grimaldi" (que je vois beaucoup partout) ... je m'attendais à beaucoup plus abouti.

Même si ce n'est pas le genre de livre que je lis habituellement, je me suis régalée.
Je me suis totalement laissée prendre et choses rare j'ai même ri.
Alors bravo pour ce bon moment de détente.

Se lit vite. Se lit... tout simplement. Heureusement parsemé d'humour pour supporter tous les poncifs. Presqu'un de ces bouquins pour "développement personnel". Injonction au positivisme. L'histoire d'amour à l'eau de rose me laisse insensible mais je crois que je n'aime pas les histoire d'amour du style ,il est beau , il sent bon le sable chaud..... le rebondissement de la fin est intéressant.
Et j'avoue pour avoir fréquenté un EHPAD, tout à fait convenable, avec un personnel attentif, que je n'en ai pas quand même pas gardé une vision aussi réjouissante. Ils ne fumaient peut-être pas le pétard! On devrait rendre le pétard légal en fin de vie! Bref un roman à lire dans un train ou sur la plage mais je suis surprise de sa note.