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4,43

sur 6578 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Un livre qui deguise la réalité en faisant croire que les personnes placées en maison de retraite, par leur famille égoïste, sont heureuses et joyeises, alors que ce n'est jamais le cas.
Cette manière et manie de tout édulcorer, de tout cacher, de tout transformer en paradis artificiel, chez certains auteurs, commence franchement à me bassiner.
On sait parfaitement grâce aux enquêtes et par ses propres expériences que les personnes âgées souhaitent rester chez elles et même y mourir.
Ce roman est bourré à chaque page de clichés, et ça f…les jetons plus qu'autre chose. Non merci.
Alors que Virginie Grimaldi cesse avec ses histoires à l'eau de rose. Si cela lui plaît tant, j'espère qu'elle aura déjà fait sa réservation et versé des arrhes.
Commenter  J’apprécie          2014
Quand ma collègue m'a prêté ce livre, elle m'a prévenue qu'il était « moyen »... C'est même pire que ça ! le récit est creux et sans intérêt, il n'y a aucun style ni aucune psychologie (ce qui est dommage vu le métier de l'héroïne), et les tentatives d'humour tombent systématiquement à plat... Un roman insipide que j'ai abandonné au bout de 70 pages.
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Un petit livre " feel good" qui est facile à lire, voire amusant, parfois drôle...mais avec beaucoup de "clichés" sur la vie des anciens en maison de retraite ! de quoi rassurer celles ou ceux qui envisagent d'y aller ou d'y placer un proche ! c'est une maison de retraite idyllique ou tout le monde est rempli de bons sentiments...le récit "dégouline" d'amours, de joies, d'amitiés et comme le feuilleton favori des résidents " Plus belle la vie " chaque personnage se veut attachant, humain et porteur de souvenirs contrastés comme Julia la psychologue en titre qui passe son temps à pleurer ! ! !
Enfin, le dénouement est "heureux" pour tous dans l'ensemble et va plaire à ceux qui n'ont jamais réellement visité ces établissements et n'ont pas lu dans les yeux des pensionnaires la détresse, la solitude, la dépendance et les angoisses inhérentes à la peur de l'issue fatale..
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Sur Edistat, Virginie Grimaldi truste les premières places en permanence. En ce beau jour ensoleillé du 25 mai 2023, Virginie Grimaldi classe 3 romans dans les 200 meilleures ventes en France, avec les 2è, 3è et 137è places. Thilliez, Minier, King, Grangé, Bussi, Musso... placent 2 livres dans le top200.

Cela doit vouloir dire quelque chose. Mais quoi?

Que les gens achètent les livres de Virginie Grimaldi, pardi !

Pour le reste, je ne pense pas qu'il y ait un lien causal entre ventes et qualité... A titre personnel, j'ai rarement eu autant envie de ne pas terminer un roman. Toutes les 5 pages (longueur moyenne d'un chapitre) En nous montrant à quel point une maison de retraite est géniale, sympa, empathique, drôle, Virginie Grimaldi nous llivre un des meilleurs ouvrages de science-fiction du début du XXIè siècle...

Je rigole... Ce n'est pas un roman, c'est une brochure publicitaire sponsorisée par Orpéa. Bien sûr, nous avons tous envie de croire aux mensonges de Virginie Grimaldi. Nous avons tous envie de croire que les maisons de retraite sont des endroits cool où les petits vieux fument de l'herbe en rigolant béatement et en parlant en verlant djeun's. Nous avons envie de croire que les gosses de banlieue s'amusent avec des nonagénaires. Que personne dans un EHPAD n'a de souci d'audition, de vue, de digestion, de maladie. Pas d'euthanasie, pas de grabataires... Hop un mariage et tout le monde est là, sauf 2 pensionnaires.

En fait, ce n'est même pas une pub pour Orpéa (je rappellerai l'enquête d'un journaliste qui a révélé les dessous des maisons de repos)... c'est une sorte de méthode coué macroniste pour nous dire que tout va bien dans le meilleur des mondes.

Je pense qu'on touche le fond page 387 quand l'héroïne, psychologue de formation, va sur Google pour chercher "Comment se débarrasser de ses peurs"...

Revenons un instant sur le récit fortement décousu du roman. 107 chapitres pour 470 pages environ... Moins de 4,5 pages par chapitre. Autant dire que chaque chapitre est un mini-épisode, un microscopique événement dont l'addition concourt à nous amener plus près de l'idylle entre l'héroïne et Raphael, petit-fils d'une pensionnaire. Tout ça pour ça...

Je ne suis pas acheteur de ce genre de billevesées... je pense préférer la vérité au mensonge. J'ai trop visité de maisons de repos, véritables mouroirs oubliés de tout le monde. Evidemment, ce roman à côté de la plaque est antérieur au COVID... mais cela ne justifie en rien une telle distance avec la vérité. Littérature au kilo... 475 pages "justifiées" par les remerciements qui signalent que des éléments biographiques, réels, figurent dans le récit... Littérature arrosée de larmes salées bon marché, les grosses ficelles fonctionnent bien. A aucun moment, ce roman n'a résonné en moi. Jamais je n'ai eu la moindre empathie pour les personnages. Je passe mon tour.

Sur les vieux, les résidences, je ne peux que conseiller Résidence autonomie, d'Eric Salch. C'est trash, 100% véridique, sans édulcorant ni exhausteurs de goût.
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Attention, chick lit.
Julia, trentenaire esseulée, vient se perdre dans une maison de retraite du sud de la France. Pas folichon quand on sait qu'elle n'aime pas vraiment les vieux. Elle est psychologue. Elle doit voir tous les résidents chaque semaine. Et là, miracle ! Ce sont eux qui lui font sa psychothérapie. Il faut dire que "Les Tamaris" ressemble plus au Club Med qu'aux établissements dont on a entendu parler ces derniers temps. Ici tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ou presque. Cela m'a paru long, long, long, long comme un jour sans biscotte. Même la fin ne m'a pas réconciliée avec cette eau de rose.
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Longuet, répétitif, mais sympa quand-même.
Et je suis gentille...
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Je fuis les romans commerciaux, je fuis les romans "feel-good-à-paillettes", je fuis les auteurs populaires, je fuis les couvertures pleines de couleurs sur lesquelles un post-it "tu es une femme ? achète-moi vite !" pourrait être collé.

Je fuis donc les romans de Virginie Grimaldi.

Mon mari a une théorie : "Si, sur la couverture, le nom de l'auteur est plus grand que le titre du roman, méfie-toi".
C'est une très très sage théorie.

Mais j'ai eu besoin de comprendre l'engouement général. J'ai eu besoin de me faire ma propre opinion, et d'en être sûre. Alors j'ai choisi celui-ci, compte tenu de sa note ahurissante de 4,36 sur 5.

J'arrête ma lecture à 219 pages sur 473, car c'est bon : j'en suis définitivement sûre, mon opinion sur ce genre de romans ne changera pas.

Voici mon résumé du roman :
La mort c'est trop triste,
Le temps passe tellement vite,
Alors aimons-nous tous très très fort,
Et profitons de chaque jour comme si c'était le dernier.

Voilà. C'est vraiment original comme message. Je n'ai pas du tout la sensation d'être prise pour une idiote à carte bancaire.
Du tout du tout.

À noter : le nombre délirant de références musico-culturelles destinées à obliger la lectrice à s'identifier à l'héroïne et à la maintenir connectée. Cette technique écoeurante que j'ai retrouvée dans d'autres romans que j'ai détestés est manifestement bien à la mode...

Ce qui me dérange le plus, c'est que compte tenu du nombre de ventes que ces autrices à succès génèrent, la majorité des lectrices de 2023 aiment ce genre de romans.

Comment la lectrice de 2023 peut-elle se retrouver dans ce roman, rempli de clichés sur les femmes, sur l'amour, sur le couple, sur le mariage, sur la vie, sur la vieillesse, sur la psychologie, sur la santé mentale, sur la sexualité, sur l'amitié, sur la résilience... ???

La vie est heureusement tellement plus complexe, et hélas tellement plus compliquée aussi.

Je suis une femme, je suis une lectrice, et ce genre de romans sans profondeur me révolte. Vraiment.
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Je suis contente de ne pas avoir commencé par celui-ci.
Il a tous les torts que n'avaient pas les moments doux.
Je ne suis pas entrée dedans. La psychologue est inconsistante et désagréable avec son vieux cynisme ; elle vit des drames insurmontables qui sont juste... la vie. Pour surmonter elle enchaine les mecs, elle se barre à pétaouchnok dans une maison de retraite inconsistante elle aussi. Elle met 1000 ans à comprendre que l'autre boug la drague.
Tous les personnages sont ultra caricaturaux, je passe sur les jeunes de banlieue.
Enfin, je suis du domaine du soin, la maison de retraite, c'est pas ça.
Le rebondissement final est horripilant.
Littérature feel good ? Franchement navrant. Soulagée d'avoir fini.

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