Trouvé au hasard d'une vente d'occasion, je l'ai saisie, l'occasion de me procurer le deuxième recueil des chroniques de SDG, lui aussi s'appelle Groodt.
Je m'étais tant poilé à la lecture du premier opus, que j'avais reçu en cadeau, pas aux puces comme le second, je salivais d'avance comme un mâtin à l'idée de sa promenade matinale, ou vespérale, c'est selon... Et forcément je n'ai pas été déçu, cet homme SDG, a la langue aussi bien pendue que la plume affûtée et se joue des mots comme une infirmière de ses seringues, ça n'a rien à voir je sais, mais c'est pour l'image. En clair si vous voulez savoir ce que j'en pense, et même si vous ne voulez pas, reportez-vous à ma critique du premier volume, je n'ai rien de plus à ajouter.
Sinon peut-être que la dernière chronique est un bijou de respect et d'hommages à tous les joueurs de mots qui l'ont inspiré, de Pierre Dac à
Raymond Devos ou de Francis Blanche à
Pierre Desproges, pour ne citer que les plus récemment disparus, quoique pour certains ça fait un bon moment, mais comme depuis, des humoristes, des vrais, ceux qui font rire, on n'en trouve plus, on est obligé de s'en tenir, et c'est déjà énorme de ces anciens disparus. Et de Stéphane de Groodt, fort heureusement.