AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,36

sur 103 notes
5
3 avis
4
2 avis
3
4 avis
2
1 avis
1
3 avis
Suite à ma première lecture de cette auteure, « de l'eau pour les éléphants » qui fut un véritable coup de coeur pour moi, il me fallait donc que je me procure un deuxième livre de Sara Gruen pour voir si j'avais autant d'engouement à le lire, et bien oui ! Une chose est sûre c'est que ses autres romans sont déjà inscrits dans mon cahier d'envie !

Annemarie Zimmer est une femme d'une trentaine d'années passées. Suite à un terrible accident de jumping, qui lui a laissé des séquelles et qui a coûté la vie à son merveilleux cheval Highland Harry, elle ne remonte plus à cheval et laisse sa passion s'enfouir bien au fond d'elle.
Alors que ses parents devenus trop âgés traversent une période difficile, que sa fille Eva est en pleine crise d'adolescence, et que la vie de couple d'Annemarie bat violemment de l'aile, elle décide de retourner chez ses parents pour aider au centre équestre.
Lorsqu'un jour, chez Dan, elle rencontre un cheval, le portrait craché de son Highland Harry, qui la propulse inévitablement dans son passé et dans sa passion qu'elle croyait totalement révolue…

Encore une fois, je suis conquise par cette histoire… Je n'ai pas pu m'empêcher de tourner les pages, toujours plus vite, avide de savoir ! Elle m'a fait découvrir le monde équestre, moi qui suis une phobique des chevaux, je pense que maintenant, je vais les regarder d'un autre oeil…

Concernant les personnages, malgré les contradictions de ces derniers, j'ai réussi à m'attacher à tout le monde, chose rare chez moi. Cela montre la passion et la force d'écriture de Sara Gruen.

D'ailleurs, dans l'écriture de Sara Gruen, qui ici est différente de celle que j'ai pu découvrir dans « de l'eau pour les éléphants » mais que j'aime tout autant, elle nous fait réellement passer un message, comme si elle avait une véritable passion pour les animaux. Et je sais que ce n'est pas fini, parce qu'il me reste d'autres livres à découvrir dont la suite de celui-là, dont le titre est « Parcours sans faute » que j'ai bien évidemment commandé dans ma librairie et que j'attends bien sagement…

Alors si vous aussi vous aimez les animaux, si vous aussi vous voulez passer un merveilleux moment, vous pouvez ouvrir ce livre, vous ne serez pas déçus !
Commenter  J’apprécie          130
anse avec lui. Cette histoire ne m'a pas terriblement intéressée, cela se lit vraiment très facilement mais en fait c'est Annemarie qui m'a beaucoup énervée.

J'ai eu beaucoup de mal à m'apitoyer sur son sort, sa séparation d'avec son mari, ses mauvaises relations avec sa mère et sa fille, sa mauvaise gestion du centre hippique, elle fait vraiment n'importe quoi et elle a bien cherché les ennuis qui lui arrivent.

Je l'ai lu sans déplaisir mais sans grand enthousiasme non plus.
Lien : http://pages.de.lecture.de.s..
Commenter  J’apprécie          30
Très déçue par ce livre. Après avoir adoré "De l 'eau pour les éléphant" de Sara Gruen, je m'attendais à mieux. L'histoire, dans la lignée de "l'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux" m'avait emballée, mais l'écriture un peu trop simpliste m'a déçue, et les personnages plutôt agaçants, occultent la beauté du monde de l'équitation.
Commenter  J’apprécie          30
Si on enlève la fausse histoire de chevaux dans le panneau duquel pas mal de lectrices sont tombées.
Si on enlève la traduction désastreuse des termes techniques de Valérie Malfoy.
Et bien ce livre reste quand même un roman dont on se passerait bien.
Considérez comme moi le temps que vous avez passé à le lire et que vous auriez pu consacrer à une lecture plus intéressante... Moi, je l'ai fait et j'en ai tiré illico les conséquences : je n'ai pas ouvert "Parcours sans faute" (la suite) que j'avais emprunté pleine d'enthousiasme en même temps que "la leçon d'équitation" à la B.M.

Je m'explique :
Je pense que le thème "femme + chevaux" est un schéma marketing bien rôdé (Palomino de D. Steel, Dans le silence de l'aube de F. Bourdin) dont les éditeurs ne se privent pas. Pour preuve, toutes celles qui confessent n'avoir acheté le bouquin que parce qu'il y avait un rapport avec le monde équestre.

Ensuite, pour celles qui se sont décidées pour La leçon d'équitation à cause des chevaux, c'est la double peine.
En effet, tous les termes techniques sont mal traduits. Je ne veux pas critiquer la traductrice - Valérie Malfoy en l'occurence - car c'est une très bonne traductrice. En effet, elle a été couronnée par le prix Maurice-Edgar Coindreau en 2014. Mais quand on ne connait pas le vocabulaire technique, pourquoi ne demande-t-on pas à quelqu'un ? Même, il y a des passages où on se demande si elle a compris ce qu'elle traduisait. Par exemple, quand elle traduit "boxe" par "stalle" et qu'elle décrit leur taille, disposition, les portes qui s'ouvrent grâce à un rail au sol.

On éviterait ainsi que les lecteurs s'énervent dès la première page quand la cavalière "enroule les rênes autour de ses gants noirs" (I run the reins across the black gloves ), quand on traduit "licol" par "têtière", "nez" par "muffle", "fumier" par "purin", "bandes de travail" par "bandes molletières sortant du pressing" (sic).

Mais plus grave, il y a tout le thème central du "brindle horse" (malencontreusement traduit par "cheval zébré") - on dirait "bringué" en français mais en fait, l'auteur fourvoie la traductrice car les marques sont blanches. On le voit lors du passage de la teinture. Il ne s'agit donc pas d'un "brindle horse" mais bien d'un rabicano (rubican en français).

Mais l'apothéose du ridicule pour l'auteur - et de l'énervement pour le lecteur - se trouve à la fin de l'ouvrage quand l'auteur essaie d'étaler les connaissances qu'elle n'a pas. Par exemple, la monitrice dit : "Demi-arrêt à l'angle puis part au galop" ou "Il y a une bride, le mors est ordinaire. J'aurais préféré un mors à olives" et quand les chevaux sont nourris de "boulettes" !

Sara Gruen se présente comme vivant avec deux chevaux ainsi que d'autres animaux mais ce n'est pas une cavalière. Sinon, elle n'exprimerait pas son dégoût (à travers celui de son héroïne) qui "sent mauvais, sale, misérable avec de la paille dans les cheveux" car elle a rentré des bottes de paille et elle serait qu'une écurie n'est pas chauffée.

Mais je crois qu'elle ne s'y connait pas mieux en cuisine : "je papillonne avec grâe pour aller ramasser (sic) un hâchis de je-ne-sais-quoi sur une planche à découper et le balancer (re-sic) grésillant ..."

Je ne parle pas de l'euthanasie du père : "Papa s'est suicidé", tu parles, il est paralysé dans un fauteuil..."Bien sûre, je n'ai rien fait de mal." (p. 241).
A ce propos, l'antienne "In paradisum deducant te angeli" se chante à l'église quand on entre en procession derrière le cercueil et donc par conséquent jamais au cimetière.

Pour finir, pour terminer sur une note positive : Si vous voulez lire la même histoire - mais en vrai - je vous conseille "Cavalière" d'Adeline Wirth : elle raconte son enfance et son adolescence passée la peur au ventre à cheval pour être une championne, entrainée par une mère tyrannique. Elle avoue avoir poussé son cheval pour gagner un concours en sachant qu'en faisant cela elle l'estropiait à vie et comment elle a fini par abandonner tout ça en se consacrant à la préparation des jeunes chevaux.

Bref, ne nous trompons pas de lectures !

Commenter  J’apprécie          20
Une histoire simple mais efficace autour de plusieurs personnages : Annemarie, une ancienne championne d'équitation qui suite à un accident, a perdu son cheval, sa fille, en crise d'adolescence, les parents d'Annemarie dont le père est malade et enfin Dan, l'ancien amoureux. Un beau récit dans lequel je me suis plongé sans souci !
Commenter  J’apprécie          20
Avis mitigé pour ce livre.

Le roman en lui-même n'est pas mal. L'histoire, quoique prévisible, se laisse découvrir avec plaisir.

Mais le style de l'auteure est décevant. Les phrases, les dialogues sont très courts, secs. Aucune émotion ne ressort de ce livre alors que la trame s'y prête pourtant très fort.

Dommage.

Commenter  J’apprécie          20
Lu il y a un certain temps...J'en garde un souvenir agréable mais pas impérissable.
Commenter  J’apprécie          20
J'aime particulièrement les chevaux, et donc j'ai choisi de lire ce livre. Je trouve l'histoire pas mal, mais sans non plus être géniale. Les relations entre les personnes du père et de la mère sont particulièrement intéressantes, et également le mystère envoutant autour du cheval.
Au final, une histoire pas très originale (peur de monter à cheval après un accident, même si ça va plus loin que ça) mais j'ai tout de même bien aimé, avec un style léger, et je suppose une bonne traduction.
Commenter  J’apprécie          20
Un roman efficace, qui se lit très bien et qui est très agréable. Cependant, les personnages auraient pu être plus travaillés ; cela manque de profondeur.
Commenter  J’apprécie          10
Je débute le mois de novembre par la lecture de ce roman trouvé dans une cabane à livres et sélectionné par ma mini-moi.
.
J'ai été agréablement surprise lors de cette lecture qui au départ ne me motivait pas du tout. J'ai rapidement eu envie de connaître la suite de l'histoire, et de suivre les aventures d'Anne-Marie et de sa famille mais aussi de découvrir l'identité de ce cheval zébré nouvellement arrivé au haras. Ça reste une histoire assez légère (une chute à cheval à l'adolescence alors qu'une carrière prometteuse s'annonçait), parfois un peu exagérée (la teinture), mais l'histoire se lit bien.
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (224) Voir plus



Quiz Voir plus

Coupe du monde de rugby : une bd à gagner !

Quel célèbre écrivain a écrit un livre intitulé Rugby Blues ?

Patrick Modiano
Denis Tillinac
Mathias Enard
Philippe Djian

10 questions
861 lecteurs ont répondu
Thèmes : rugby , sport , Coupe du mondeCréer un quiz sur ce livre

{* *}