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Citations sur Wild Heart (84)

Il n'y avait pas de réveil possible, pas de lumière à allumer pour chasser les ombres. Elles resteraient au-dessus de nos têtes. Elles s'accrocheraient à nos pas, comme des chaînes. Elles seraient nos fantômes, nos revenants, et nous ne pourrions plus jamais nous en défaire.
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- Tu veux que je te dise un secret, Luis ? lui murmurai-je.
Il hocha la tête en déglutissant.
- Si je ne pleure jamais, c'est parce que je ne sais pas où sont mes larmes.
- Tu les as perdues ?
- Depuis longtemps, oui.
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Je t'aime comme un éclat de colère, comme une lueur de fureur.
Comme l'ombre d'une douceur à laquelle il fait bon de se couler de temps en temps.
Je t'aime avec incertitude, avec espoir.
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J’avais connu ma première blonde, ma première brune et même ma première rousse. Des premières fois qui m’avaient laissé froid et indifférent. J’avais espéré que ces moments deviennent si puissants et particuliers que j’aurais traîné les soirs dans le seul but de recommencer. Il n’y avait pas eu d’éclat ou de feux d’artifice alors que ces filles couvraient mon corps d’attentions délicates et audacieuses. Je voulais frémir, chavirer, connaître cette révolution que m’avait si bien décrite Darius quand il parlait de ses petites amies. Mais je restais de marbre devant ces silhouettes voluptueuses. Elles étaient belles et je les touchais. Je fermais les yeux, je faisais glisser ma bouche sur leur peau. Mes mains entre leurs cuisses. J’écoutais la chanson de leurs gémissements, le baromètre de leur plaisir. Pourtant, en moi, tout restait mécanique, presque chirurgical. Il manquait la passion et une réelle envie.
Je voulais ressentir quelque chose de plus fort. De plus grand. Quelque chose qui terrasserait tout le reste
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Pourquoi mes cris n'étaient que des souffles qui se perdaient ?
Pourquoi personne ne les entendait ?
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Javier et Crystel auraient voulu me rendre mon enfance, mais on ne redonnait pas quelque chose qui vous avez été arraché.
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J'ai découvert un paradoxe. Si vous aimez jusqu'à la douleur, il n'y a plus de douleur, seulement plus d'amour.
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« — Monsieur Perez, recommença-t-il. Les mots sont une chose. La violence en est une autre.
— Je vois, sifflai-je.
Si les mots étaient venus de Luis, sans doute aurait-il tenu un autre discours.
— Donc si je vous suis bien, monsieur… « le Directeur », je peux parfaitement vous dire que vous êtes un enfoiré de connard, vous n’y trouverez rien à redire ? Par contre, si je vous colle un coup de poing dans la gueule, là, il y aura un malaise ? »
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Que je sois dans une chambre de trois mètres carrés ou perdu dans le désert saharien, je ne me sentirais libre nulle part. Mes barrières, je les portais en moi.
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Je caressais ses paupières closes en me demandant à quoi il rêvait. Vers où son sommeil l'emportait.
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