Derrière ce titre provocateur et (ouf!) ironique se cache une fable anticapitaliste au ton décalé, au rythme soutenu et à la morale plaisante. 80 années de la vie d'un homme moderne, passées à accumuler les billets. Mais à la fin, qu'en reste-t-il ? Je n'ai pleuré ni de plaisir ni d'émotion, en dépit de ce que prédisait la 4ème de couverture, mais j'ai passé un excellent moment !
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