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Citations sur Dune, tome 1 (385)

Que méprisez-vous ? Par cela, on vous connaît vraiment.
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Lorsqu’il presserait la détente, le marteleur commencerait à lancer son appel . Quelque part dans le sable , un faiseur entendrait et viendrait. Paul savait qu’avec les tiges à hameçons il pouvait chevaucher un anneau de ver géant. En effet aussi longtemps que l’anneau et était maintenu par l’hameçon et que sa face interne était soumise au souffle abrasif du sable, le ver ne replongerait pas dans le désert. Il lovait son corps gigantesque afin d’élever aussi haut que possible le segment ouvert.
Je suis un cavalier des sables se dit Paul.
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« Il n'y a pas, dans tout l'Empire, de planète plus inhospitalière que Dune »
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Le Duc tapa sur le bras de l'homme de la propagande, ce qui signifiait que le message avait la priorité absolue et qu'il devait être transmis immédiatement. Puis il s'éloigna, répondant aux hommes d'un signe de tête, souriant, échangeant une plaisanterie avec l'un ou l'autre. Celui qui commande, songeait-il, doit toujours paraître confiant. Cette foi est comme un fardeau sur mes épaules. Je suis devant le danger et je ne dois pas le montrer.
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[A propos de l'utilisation de l'épice]
La drogue est dangereuse, mais elle donne un pouvoir véritable. Par elle, une Diseuse de Vérité peut visiter bien des lieux dans sa mémoire... dans la mémoire de son corps. Elle peut se pencher sur maintes avenues du passé... mais seulement sur des avenues féminines.
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Si les voeux étaient des poissons, nous lancerions tous des filets.
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Rien ne saurait acquérir autant de loyauté à un chef que son air de bravoure
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(suite) Quelques citations/extraits du livre Dune (1965) de Frank Herbert (Édition Pocket, 2012) :

• « Combien de fois l’homme en colère nie-t-il avec rage ce qui lui souffle son moi intérieur ? » (Extrait de Les Dits de Muad’Dib, par la Princesse Irulan.) p. 666.

• « L’un des moments les plus terribles de la vie d’un enfant, reprit Paul, c’est lorsqu’il découvre que son père et sa mère sont des êtres humains qui partagent un amour auquel il ne peut vraiment goûter. Il perd ainsi quelque chose mais, en même temps s’éveille à l’idée que le monde est bien là et que nous y sommes seuls. Ce moment porte avec lui sa vérité. On ne peut la fuir. » (Paul à Gurney pour lui convaincre que Jessica n’a pas trahi le Duc) p. 679.

• « La terre est belle, alors, c’est vrai, dit Chani. Mais elle est aussi pleine de tristesse. » « La tristesse est le prix de la victoire. » (Chani et Jessica) p. 688.

• « Que diriez-vous de vivre des millards et des millards d’existences ? demanda Paul. Quel réservoir de légendes ! Pensez à toutes les expériences, à toute la sagesse qu’il peut en résulter. Mais la sagesse atténue l’amour n’est-ce pas ? Et elle donne une forme nouvelle à la haine… Comment savoir ce qui est impitoyable si l’on n’a pas exploré les tréfonds de la cruauté comme ceux de la bonté ? Vous devriez me redouter, Mère. Je suis le Kwisatz Haderach. » (Paul à Jessica après la bataille finale et avant l’arrivée dans le Grand Hall de l’Empereur) p. 735.
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Au-delà d'un point critique dans un espace fini, la liberté décroît comme s'accroît le nombre. Cela est aussi vrai des humains dans l'espace fini d'un écosystème planétaire que des molécules d'un gaz dans un flacon scellé. La question qui se pose pour les humains n'est pas de savoir combien d'entre eux survivront dans le système mais quel sera le genre d'existence de ceux qui survivront
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Soudain, des paroles de Gurney Halleck traversèrent l'esprit du Duc. Il avait dit une fois, à propos du Baron : "Et, debout sur le fond sableux de la mer, je vis une bête surgir... et je vis sur sa tête son nom : blasphème."
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