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sur 1076 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Quelques années après le tome précédent : les Honorées Matriarches pourchassent les soeurs du Bene Gesserit dans tout l'univers connu, vitrifiant des planètes entières dans leur recherche effrénée du siège des Révérendes Mères que nous ne connaissons que sous le surnom de Chapitre (titre du tome en anglais). Sous la férule d'Odrade, nouvelle Mère Supérieure, le Bene Gesserit s'est engagé dans la transformation du Chapitre en un nouveau Dune : le ver emporté d'Arrakis a engendré des truites sauvages, le désert grignote les vergers, le climat se métamorphose, et tout le monde attend l'arrivée des nouveaux vers et ses promesses d'épice naturelle.

Le Bene Gesserit vit des heures sombres et sa survie est menacée. Alors qu'elles n'avaient plus de vrais contre-pouvoirs, elles sont confrontées à des ennemies impitoyables et doivent s'adapter pour ne pas mourir. Quant à Scytale, dernier survivant du Bene Tleilax, il garde caché en lui une capsule contenant les cellules des membres de sa communauté et d'autres éminents personnages, espérant les faire revivre grâce aux cuves axlotl : il ne peut pas imaginer être le dernier des siens, le dernier de son espèce et de sa religion.

Frank Herbert nous parle toujours de pouvoir et de manipulation de la religion, mais ce tome est axé sur la nécessité de l'adaptation pour survivre dans un contexte de crise. La menace de l'extinction est réelle face à des hordes meurtrières. Adaptation du Bene Gesserit, mais aussi adaptation des personnages : Duncan, Murbella et Sheeana évoluent en profondeur dans un environnement en mutation et doivent dépasser ce qu'ils sont pour trouver leur destin. Les Honorées Matriarches, quant à elles, semblent figées dans leur folie sanglante et leur hubris.

La tension est omniprésente, avec la nostalgie d'un passé qui ne reviendra pas. Nous apprenons mieux d'où sont nées les Honorées Matriarches, ce qui les caractérise, et pénétrons dans leur antre. Toujours la question demeure : que fuient-elles ?

Ce roman est dense, très dense, parfois touffu. Franck Herbert n'est pas un auteur « facile », et son histoire est au service d'une réflexion sur les mécanismes du pouvoir et les travers violents de l'humanité. Il nous livre parfois, au détour d'un paragraphe, tout un monde de démesure, comme quand une simple phrase suffit pour dire que les Honorées Matriarches ont tué des milliards d'êtres humains. On retrouvait déjà ce procédé dans le Messie de Dune pour les agissements du Jihad des Fremens sur l'Univers Connu : cette seule phrase, laissée isolée au milieu d'un long chapitre, fait froid dans le dos et souligne le dédain pour la vie humaine.

Et à la fin ?

On dit que l'auteur envisageait une saga en 7 tomes, mais il est mort peu après l'écriture de celui-ci. Et même si on a une fin ici, on sent bien qu'il pourrait y avoir une conclusion supplémentaire, pour le devenir de certains personnages qui reste en suspens, pour le destin du Bene Gesserit et pour l'humanité dans son ensemble. le fils de l'auteur a prétendu avoir retrouvé 20 ans plus tard des notes de son père, affirmation à laquelle personne ne croit mais qui lui a permis de publier deux romans « concluant » la saga des Atréides. Cette suite semble moins bonne si j'en crois les commentaires, aussi je ne sais pas si je les lirai (je ne parle même pas du site internet des fans francophones qui exécutent littéralement les romans du fiston qui exploitent l'univers de papa en multipliant les préquelles et les séquelles).

En conclusion, cette saga monumentale a tout pour être hors-norme : une réinvention du space opera à l'époque, de nombreuses réflexions profondes (mais parfois absconses) sur le pouvoir et la religion, une histoire qui enjambe les millénaires, une profondeur dans la vision des forces qui font avancer l'humanité, un texte littéraire soigné, et des personnages mémorables.

À lire absolument !

Lien : https://feygirl.home.blog/20..
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Il s'agit probablement de l'un de mes livres préférés. L'écriture, plus fluide et moins dense, à gagner en maturité depuis les premiers romans du cycle et il y a un je ne sais quoi de beau dans ce roman, peut-être le fait que parfois une étrange mélancolie se dégage de ce chez-d'oeuvres, et ce livres est très philosophique, comme tous les autres, mais les personnages sont plus humains et plus portés sur leur condition. Un livres pour tout les fan de Franck Herbert et du cycle de Dune.
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Voilà terminée cette sensationnelle saga.
J ai adoré cet univers, ce retour aux sources par toutes ces voies possibles et inimaginables.
Les personnages sont attachants .
Que dire sinon que ce fut un véritable plaisir que de se laisser emporter dans l univers particulier de Dune à travers le temps et l histoire.
Une agréable et stimulante découverte pour moi qui n osait pas lire de fantasy.
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On prend les anciens pour faire le grand final ?

Odrade, la Mère supérieure du Bene Gesserit est une Atréide. Miles Teg, est un golah dont nous avons rencontré la vraie personnalité au tome précédent. C'est un guerrier dévoué aux Atréides car cela en est un. Idaho, que nous connaissons depuis le début fournit une descendance de folie au Bene Gesserit avec Murbella, qui faisait partie du camp adverse.

Vous pensiez que c'était compliqué ? C'est que dalle car cela ne fait partie que de l'intrigue principale. Tout ceci n'ayant qu'un seul but : fonder une organisation qui maîtrise les Vers de sable, qui pourrait former une nouvelle planète Dune. Qui remportera donc la palme ? Qui va devenir le Roi de la Montagne, j'ai envie de dire ? Vous aurez les réponses ici, bien entendu.


Franck Herbert nous clôture aussi ses pensées sur l'écologie.

En effet, un des enjeux principaux de cette saga, c'est l'impact des vers de sable sur l'écologie d'une planète. En effet, où les vers de sable s'implantent, la planète se transforme en planète désert. Et le pire du pire c'est que pour un intérêt économique majeur, les gens choisissent de changer entièrement l'écosystème de la planète où ils s'implante. Et là, la réflexion est folle.

En effet, sur notre planète à nous, la Terre, on voit sans arrêt les gens sur différentes parties de notre planète, changer l'écosystème de leur région pour développer telle ou telle culture ou tel ou tel élevage. Et personne ne s'inquiète. Franck Herbert a ici l'intelligence, bien entendu, de nous mettre ces choses régionales à l'échelle planétaire pour que nous puissions mieux voir les conséquences que cela peut avoir.

En bref : un final grandiose. Je suis très heureuse mais aussi très triste d'avoir terminé cette saga fleuve qui va me manquer
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Dans les coulisses du Bene Gesserit (suite)
Quand je relis cette série, j'aborde toujours ce dernier tome avec un petit pincement au coeur. Toutes les qualités de la série sont là : un dépaysement totale, un univers décrit avec beaucoup de richesse (la géopolitique, l'économie, la génétique et la religion...) sans que ce soit jamais ennuyeux, la complexité des intrigues est toujours parfaitement stimulante, les coups de théâtre, les rebondissements, l'inattendu nous guettent dans chaque chapitres et nous poussent à aborder le suivant avec délectation. Pourquoi tant de nostalgie en débutant ce dernier volume ? Parce que je sais que c'est le dernier , que Frank Herbert est mort, alors que l'on sent très bien qu'il préparait une suite. le tout dernier chapitre peut être mal perçu, mais il ne faut pas oublier de lire la postface de l'auteur où il rend hommage à sa femme pour mieux le comprendre, j' y vois pour ma part un clin d'oeil malicieux...
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Dans la vastitude des sables de Dune, l'âme s'immerge une treizième fois, sous ma plume critique, dans le cycle monumental de Frank Herbert. À chaque relecture, cette saga devient une nouvelle révélation, une méditation sur la nature humaine, la politique, la religion, et notre lutte incessante contre les prédestinations que nous nous créons.

Herbert, avec une finesse presque prophétique, tisse une épopée qui traverse le temps et l'espace, m'invitant à réfléchir sur les méandres de notre propre existence. Dans cette dernière lecture, je ne peux m'empêcher de voir l'écho de nos crises actuelles dans la lutte pour le pouvoir, le contrôle des ressources, et la quête incessante de l'humain pour une signification plus profonde.

Je trouve, au coeur de cette treizième lecture, un écho troublant avec les tourments de notre époque. Les conflits du monde de Dune résonnent d'une manière étrangement prophétique avec les tumultes de notre réalité actuelle.

Je ne peux ignorer la tragédie qui se déroule entre Israël et la Palestine, où chaque jour apporte son lot de désespoir et de mort. La terre sainte, loin de son idéal de paix, est devenue un champ de bataille où la vie humaine semble avoir perdu toute sacralité. Là-bas, les Palestiniens tombent sous des assauts impitoyables, victimes d'une lutte sans fin pour la terre et l'identité.

À l'Est, la Russie et l'Ukraine sont enfermées dans une guerre qui dévore non seulement les corps mais aussi l'âme des nations, un conflit où l'histoire, la fierté et la peur se mêlent pour créer un cycle apparemment infini de violence. Et il ne s'agit là que de l'un des nombreux affrontements qui déchirent notre monde, de l'Afrique à l'Asie, où d'innombrables vies sont prises dans le tourbillon de la guerre.

Mais la lutte ne se limite pas aux champs de bataille. Dans nos sociétés qui se targuent d'être des phares de lumière et de raison, nous assistons à une montée inquiétante des régimes fascistes nationaux et fascistes néolibéraux. Sous des bannières diverses, ces idéologies propagent une vision du monde où l'égoïsme, la peur de l'autre et l'avidité sont non seulement acceptés mais encouragés. Elles menacent de détruire les fondements de notre coexistence, semant la division et l'hostilité là où devraient régner la compréhension et la solidarité.

Dans "La Maison des Mères", la leçon ultime est celle de la mesure et de l'acceptation de vivre dans un monde incertain et toujours inattendu. Alors que je referme ce cycle, je suis frappé par la pertinence de cette leçon pour notre propre monde. En ces temps troublés, nous avons plus que jamais besoin de cette sagesse, de cette capacité à voir au-delà de nos différences et à reconnaître notre humanité commune. Nous avons besoin de la littérature, de la danse, de l'art, pour nous rappeler les vérités éternelles et pour nous guider vers un avenir où la paix et la compréhension prévaudront sur la haine et la division.

Les personnages, plus que de simples acteurs dans un drame de science-fiction, sont des reflets de nous-mêmes, avec nos ambitions, nos peurs et nos espoirs. Paul Atréides, avec sa vision prédestinée et son fardeau de messie, nous parle de la solitude du pouvoir et du danger des idéologies non contrôlées. Les Bene Gesserit, avec leur mélange de sagesse et de manipulation, rappellent les complexités du pouvoir féminin dans un monde dominé par les hommes.
La richesse thématique de Dune est un miroir de la complexité de l'âme humaine, un miroir dans lequel je me suis plongé à chaque période cruciale de ma vie.

En ce qui concerne l'extension de l'univers par son fils, je demeure sceptique. Brian Herbert, bien que diligent dans sa continuation de l'univers, n'a pas saisi l'essence métaphysique et philosophique qui fait le coeur battant de l'oeuvre originale. Les machines, comme ennemis dans les suites, me semblent une interprétation superficielle et manquée du tabou profond laissé par la Jihad Butlerienne.

En conclusion, le cycle de Dune n'est pas simplement une série de livres à lire ; c'est une expérience à vivre, une quête de compréhension qui dépasse les frontières de l'imagination pour toucher les cordes profondes de notre être. C'est une oeuvre qui nous rappelle que, malgré nos ténèbres, il y a toujours un chemin vers la lumière, une danse avec l'incertitude qui peut nous mener vers une nouvelle aube.

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Critique de la 12ème lecture : 2019
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Et je referme le livre
Et je ferme le cycle de Dune pour la 12ème fois depuis 1980.
Comment être à la hauteur pour en discourir. Une oeuvre imprégné d'une spiritualité si sincère, si profonde, si discrète et si humble. Une spiritualité si douce qu'elle marche avec ses chausson sur la pointe des pieds, parce qu'elle ne veut pas encombrer, ni déranger, ni Dieu, ni les dieux et déesses. Et ces femmes sont des déesses.
Par contre Herbert ne se gène pas pour nous bousculer dans nos certitudes en matière politique. Il nous fait prendre conscience de ce qu'est l'amour profond, l'amour de ce qui aime et sont près à tout donner pour des descendants qui n'existe pas encore. Un amour Divin.
Un cycle a coté duquel, il ne faut pas passer, même et surtout aujourd'hui en ces temps trouble, en ces temps intéressant comme le dirais ce cher Miles Teg et cet adorable Duncan Idaho. Mais mon amour le plus profond va à Odrade qui a tout donné.
Lien : https://tsuvadra.blog/2023/1..
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C'est avec ce roman que Frank Herbert clôt le Cycle de Dune. Nous sommes, cette fois, totalement immergés dans la communauté des soeurs du Bene Gesserit.
Cette communauté est très présente tout au long du cycle, parfois un peu en retrait mais toujours au coeur de l'évolution de l'humanité. Un peu comme les Atréides.
Pourtant, nous en connaissions assez peu sur leur organisation interne et leur évolution. C'est chose faite avec ce tome six qui nous emmène encore plus loin dans le bouleversement du monde.

J'ai trouvé ce dernier tome très profond et philosophique. Beaucoup de préceptes énoncés peuvent tout à fait être transposés dans notre monde. Car, comme toujours, Frank Herbert sait magistralement décortiquer l'âme humaine.
Tous ses personnages sont vivants et réalistes. Et très attachants pour la plupart. Certains sont effrayants dans leur cruauté, d'autres sont totalement antipathiques. Et bien sûr, il y a tous ceux auxquels on s'attache sans condition. Mais aucun personnage ne laisse indifférent car ils sont tous complexes.

Lien : https://labibliothequedallys..
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Cette fois pas de bond de plusieurs millénaires dans le temps, @la maison des mères est la suite directe de @les hérétiques de Dune, et la fin de cette grande saga écrite par @Frank Herbert dont on a l'impression qu'il aurait pu en tirer des centaines de roman tant l'univers créé est vaste et riche.

On retrouve à peu près les mêmes personnages que dans le tome précédent excepté Miles Teg qui s'était sacrifié à la fin, sniff.
Cette fois il s'agit de conclure l'affrontement entre le Bene Gesserit et les Honorées Matriarches. Beaucoup d'intrigues et d'actions ; qui sont les maîtres mots de l'ensemble de l'oeuvre ; sont à nouveau présentes même s'il y a sans doute moins d'action que dans @les hérétiques de Dune à part le final qui déménage.

En commençant @Dune j'avais un peu d'appréhension, je lis peu de science-fiction, même si j'aime ça. Alors lire un cycle de 5 tomes plutôt épais qui plus est, hum, je m'attendais à une certaine lassitude, beaucoup de redondances qui auraient achevées ma détermination initiale. J'ai donc intercalé d'autres lectures entre chaque tome et j'ai retrouvé avec un certain plaisir l'univers à chaque fois. Je ne nie pas qu'il y ait parfois quelques longueurs mais j'ai kiffé l'ensemble des romans.
@Isaac Asimov et @Dan Simmons me font de l'oeil dans ma bibliothèque, il va falloir trancher !

Challenge Multi-Défis
Challenge pavé
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Fin de la saga ! Comme souvent chez Herbert , c'est de la synthèse des opposés (Bene gesserit et Honorées Matriarches ) que peut naître une solution . Mais Duncan Idaho représente un facteur de liberté chaotique . le mystérieux couple de jardiniers cosmiques semble incarner la puissance démiurgique du romancier . Quant à Scytale, avec sa capacité de ressusciter tous les personnages de la saga il doit représenter le rêve hollywoodien d'une série aux épisodes infinis.
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Bon voila, terminé le dernier tome de cette monumentale saga. La lecture de Dune n'est pas une lecture de tout repos. Elle requière une attention, de par la profondeur des sujets développés pars l'auteur tout au long de son oeuvre.
Frank Herbert nous fait part de différents points de vue, en fonction des personnages dans ses romans, sur des sujets propre à l'homme, et qui on toujours une connotation avec notre époque. Que ce soit avec les effets du changement climatique, en faisant évoluer les planètes, la politique en nous mettant au coeur des complots et de la religion avec le Bene Gesserit et les Honorées Matriarches.
Ma lecture de ces 6 tomes n'a pas été de tout repos, je l'avoue. Mais bon, avec de la volonté, nous voyageons au côté de l'imaginaire de l'auteur.
Dans ce tome-ci, nous nous retrouvons sur la planète du Chapitre du Bene Gesserit. Darwi Odrade, la Mère Supérieure, doit gérer la sauvegarde de cet ordre millénaire,, tout en subissant les terribles assauts des Honorées Matriarches sur d'autres planètes. Car n'oublions pas que ces catins veulent anéantir les sorcières. Odrade ne sera pas seule pour cet affrontement. À ses côtés ce tiendront ses conseillères les plus fidèle, que nous connaissons depuis le tome précédant, Bellonda et Tamalane sans oublier Sheeana. Toutes trois essaieront de lui apporter une aide précieuse en fonction de leurs caractères et de leurs savoirs.
Le Ghola Duncan Idaho est toujours présent avec Murbella, Honorée Matriarche, qui essai de devenir une soeur du Bene Gesserit. Nous verrons leur évolution au seins du non-vaisseau qui leur sert de prison. À leurs côtés, ce trouvera le Tleilaxu Scytale toujours en maille à partir avec les soeurs. N'oublions pas Miles Teg, que l'on retrouve sous les traits d'un enfant, élevé dans l'espoir de retrouver sa mémoire de Bashar.
Darwi Odrade va devoir ce démener pour concilier toute ces personnes pour la réalisation de son plan, que l'on attend avec impatience. Ils vont tous avoir leurs rôles à jouer pour permettre l'accomplissement du plan de la Mère Supèrieur.
Nous nous retrouverons aussi sur la planète Jonction, l'antre des catins, au côté de la Très Honorée Matriarche Dama.
L'auteur nous transporte d'un personnage à l'autre, de leurs pensées à leurs envies, de leurs tourments à leurs doutes. Tous ses personnages, qu'ils soient bons ou mauvais, bien intentionné ou mesquin, pourraient être d'authentiques personnes.
Tout au long de son récit, il nous fait voyager au coeur de ces décors que l'on visualise à la perfection, grâce à de très bonnes description des endroits où il veut que l'on soit. Je peut même dire comme si mous y étions.
L'intrigue que Frank Herbert nous livre au cours de cet opus, ou de la saga entière, est composée de main de maître, un très bon imbroglio qui nous tiens en éveil constant au fil de la lecture.
Dune : La Maison Des Mères, est un roman de Science-Fiction qui a tout simplement un fond qui nous parle d'écologie, de politique, de religion et de la survie de l'espèce humaine, mais si possible, de la meilleure qui soit.
Du coup, me voila pressé de relire du Frank Herbert. Je peut désormais dire que celui-ci fait parti intégrante de mes auteurs préféré. Car lui fait parti de ceux qui prouvent que la Science-Fiction est un genre littéraire qui en englobe beaucoup d'autres.
Chaque tome de cette saga mérite ces 5 étoiles.
Bravo à ce Grand Monsieur Frank Herbert.
R.I.P
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