Citations sur Une enquête de Regan Reilly, tome 4 : Sur la corde (6)
Dans ces parages plus que partout ailleurs en Irlande, reprit-il, la musique est la détente populaire par excellence et elle l'a toujours été. Ici, au beau milieu de nulle part, rien de mieux que de se réunir à la veillée chez un voisin pour se raconter des histoires au coin du feu. Il faut savoir se contenter de peu, Dieu sait !
Ce soir-là, il ne pouvait penser qu’au morceau de bois d’un arbre mort, abattu quelque part en Irlande Dieu seul savait quand, qui jouissait avec insolence de son statut de violon magique. L’idée que cet instrument serait porteur non seulement d’une bénédiction mais d’une mystérieuse malédiction le lui rendait plus fascinant encore et exacerbait sa convoitise
Je ne croyais pas au dicton qui dit que vos possessions vous possèdent. Maintenant, je le comprends.
L'étalage des fruits, où les framboises et les pêches côtoyaient les prunes, les airelles et les melons, embaumait au point de lui faire venir l'eau à la bouche.Quand aux légumes, artistiquement disposés pour faire jouer les contrastes de couleurs, c'était un enchantement pour la vue.
- Ce sera tout, mademoiselle? lui demanda le vendeur, dont les mains calleuses et la peau tannée par les intempéries trahissaient le maraîcher qui ecoulat ses propres produits.
"Les gens s'imaginent qu'on peut avoir tout ce qu'on veut avec du fric ! fulmina Darla Wells. Eh bien, non. Ce serait trop beau."
Ce n'est pas un vrai gourou, au fait.
_pfff ! Fit Chappy
_Pff toi-même.