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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Alex Rider vit tranquillement chez son oncle, un banquier à la vie simple mais peu présent.

Lorsqu'on annonce au jeune homme que celui-ci est mort dans un accident de voiture banal, Alex n'y croit pas et enquête. Il va découvrir rapidement que son oncle n'était pas du tout banquier.

Ayant fait preuve d'un grand talent pour ses recherches, l'agence secrète décide d'employer le neveu pour terminer le travail de l'oncle.


Voilà ce que m'annonçait ce livre : un roman ado avec quelques aventures inexistantes.
Point du tout.
Ce roman commence à dater, et il ne ressemble pas à la plupart de ceux qu'on nous met sous le nez de nos jours.
Notre héros n'est pas parfait (quoique), se prend des coups, se loupe mais vit quand même de sacrées aventures qui nous entraînent derrière.
Bon, n'attendez pas non plus un James Bond version ado mais on s'en approche.
Le méchant est méchant, les services secrets sont…non, pas secrets, mais typés boulets face au héros, l'aventure est simple mais difficile à réaliser pour un ado ordinaire.
Bref, un roman, comme je vous le disais, qui parait bateau mais qui possède ce grain de puissance qui empêche le lecteur de s'ennuyer.
L'écriture doit aussi jouer un rôle important puisque le style n'est ni trop chargé ni trop simple et qu'il ne donne pas l'impression au lecteur d'être pris pour un sous-doué en lecture et en grammaire…Comme certains…Je ne nomme personne…car beaucoup de crabes…Brrreeff.
Ce premier tome a été adapté au cinéma et j'ai commencé le visionnage mais celui-ci ne m'a pas assez plu pour que je le continue.
A savoir que notre héros Alex Rider apparaît dans une suite assez conséquente, ce qui réjouira ceux qui ont apprécié le roman. Pour ma part, je m'arrête là…Je ne trahirai jamais James…
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Stormbreaker est (un roman romantesque et fictionaire d'Anthony Horrowitz). C'est le premier tome de la série d'Alex Rider.
Le personnage principal de cette série est Alex Rider; c'est un collégien orphelin de 14 ans qui vit (alors) avec son oncle.
Plus tard, après la mort de celui ci, il découvre que son oncle ne travaillait pas dans une banque mais qu'il travaillait comme espion pour les services secrets brittanique (MI6).
Alex Rider étant le personnage principal, va être confronté à un monde encore inconnu, entouré de dangers. Il est à son tour enrolé par le MI6 pour découvrir ce qui se cache derrière le Stormbreaker, un nouvel ordinateur ultra-puissant qui inquiète le MI 6. Il echappe à deux doigts la mort.

Pourquoi j'ai aimé ce livre?
C'est un roman agréable et facile à lire pour adultes comme pour adolescents.
Il y a beaucoup de moments inatendus, de suspens, beaucoup de rebondissement d'action, on s'identifie assez facilement aux personnages.
Que ce soit un adolescent qui se mette en danger secrètement par ordre du MI6 pour sauver la vie à un grand nombre de personnes, plutôt que d'aller au college comme tout autres collégiens c'est très héroïque.
(Tess)
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Lu à voix haute en juillet 2018

Alex Rider, quatorze ans et orphelin, vit à Londres avec son oncle Ian. Un matin, on lui apprend que son oncle vient de périr dans un accident de voiture. Qui sont les personnes mystérieuses qui apparaissent à son enterrement ? Où Ian travaillait-il vraiment ? En enquêtant sur les conditions mystérieuses de son prétendu accident de voiture, Alex se trouve pris dans un engrenage qui le conduira au coeur d'une affaire d'espionnage pleine de rebondissements spectaculaires !
Ce premier tome des aventures d'Alex Rider réunit tous les ingrédients classiques du roman d'espionnage anglais : services secrets parfaitement camouflés, gadgets, messages chiffrés, péripéties à couper le souffle, ennemis machiavéliques bien sûr associés d'une manière ou d'une autre à la Russie et à la Chine… La monstrueuse méduse Physalie mérite une mention particulière !
Si le livre se conforme fidèlement aux conventions du roman d'espionnage, ce genre est assez inhabituel dans la littérature jeunesse et cette lecture a permis à mes garçons (de 7 et 8 ans) de le découvrir. Ils ont adoré. Alex est un vrai héro susceptible de susciter l'identification des jeunes lecteurs : sympathique, débrouillard, courageux, athlétique, intelligent, polyglotte, plein de sang-froid et de discernement. Anthony Horowitz, dont nous avions déjà beaucoup apprécié L'Île du Crâne l'année dernière, connaît son affaire : le style est fluide et agréable, l'intrigue est très bien ficelée et les scènes d'action s'enchaînent sans temps mort, avec une montée en puissance jusqu'à un final proprement vertigineux.
L'intérêt du roman est certainement moindre pour les lecteurs plus expérimentés qui noteront de nombreux parallèles avec la série des James Bond, une tendance au manichéisme caractéristique du genre, des cascades bourrées de testostérone et des invraisemblances ici ou là. le roman vit essentiellement de l'intrigue et va droit au but, sans proposer de contexte ou d'univers particulièrement travaillé. Il peut néanmoins être proposé sans hésitation aux jeunes amateurs de frissons et d'histoires d'espions, qui le dévoreront d'une seule bouchée…
Lien : https://elireblog.wordpress...
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J'avais vu le film il y a quelques années et il m'avait rendue très curieuse. J'aurais dû me plonger dans cette série beaucoup plus tôt, cependant, je ne l'ai débutée que récemment et je ne le regrette pas. Ce fut une très bonne lecture et j'ai passé un bon moment en compagnie d'Alex. le monde de l'espionnage est intéressant et bien exploité et j'espère véritablement pouvoir lire la suite. En attendant, c'est la parution de Roulette russe qui fut déterminante dans ma volonté de lire Stormbreaker. Les deux sont liés.

L'intrigue est palpitante. Elle se met en place rapidement, après la mort de Ian Rider, l'oncle d'Alex. Tout se bouscule et les événements conduisent le jeune garçon à faire la rencontre du MI 6 l'engageant pour une périlleuse mission : celle sur laquelle son oncle travaillait et qui lui aura coûté la vie. On alterne avec des passages truffés d'action, haletant et parfois tendu, notamment dans les passages d'infiltration avec des phases de réflexion pure, où Alex tente de comprendre ce qui l'entoure. le mélange donne un roman d'espionnage franchement bien mené et captivant du début à la fin, je suis restée accrochée jusqu'au bout !

Le style d'Anthony Horowitz est complètement facile à lire sans pour autant être simpliste. Les descriptions des lieux, des actions ou des objets restent fluides et agréables à lire, elles permettent de se plonger facilement dans ces ambiances sombres, mystérieuses propres à l'infiltration. Les dialogues sont vifs, ils donnent des renseignements importants, des révélations parfois étonnantes. On progresse aisément dans le récit grâce à cette plume lisible et précise, travaillée et agréable.

L'univers d'Alex Rider est très bien introduit dans ce premier tome. Les principaux protagonistes sont présentés avec force et suffisamment de mystère pour donner encore envie aux lecteurs de lire la suite. Je pense notamment aux espions du MI 6, Blunt en particulier. le monde de l'espionnage est bien montré, avec ses gadgets, ses percées avec les indices trouvés, avec la tension et l'adrénaline. L'histoire même du Stormbreaker avec cette bonne dose de science et d'informatique m'a de suite enchantée, parce qu'indirectement, comme Alex, on ne comprend l'histoire qu'à la fin. Quand toutes les pièces du puzzle s'imbriquent en somme. Avec ce genre de récit, j'ai facilement oscillé entre thriller et policier, c'est un mélange passionnant à lire et les personnages sont très attachants.

Je pense à Jack, la gouvernante d'Alex, nous la voyons peu, mais elle est terriblement gentille et protectrice envers son protégé. Alex Rider est un garçon très attachant, dès les premières lignes je l'ai apprécié et il sait impressionner, il est touchant et honnête, débrouillard et intéressant à suivre au fil de son aventure. Les antagonistes de cette affaire Stormbreaker sont eux aussi incroyablement attachants, ce sont des méchants, mais ils sont si singuliers. Sayle, Nadia Rami ou encore M. Rictus, ils ont tous quelque chose à apporter au récit et sont captivants, notamment Sayle. Toutefois, le personnage le plus charismatique en raison de la grande aura de mystère qui plane autour de lui, c'est Yassen Gregorovitch. Très curieux, c'est un tueur réputé et dangereux, pourtant ses dernières recommandations à Alex le rendent touchant. Il est sincèrement intéressant et c'est pour cette raison que j'ai lu Roulette russe, un spin off lui étant entièrement consacré.

En conclusion, l'univers Alex Rider est fantastique ! de l'action, de l'humour, des rebondissements, de l'aventure, de l'enquête, de la tension, voilà d'excellents ingrédients pour une série d'espionnage de haute voltige. Alex est un héros passionnant, il est obligé de suivre la voie de son oncle et une vraie évolution s'opère en lui durant cette affaire de Stormbreaker. le mélange science et informatique, les protagonistes intéressants et la plume soignée donne un récit palpitant impossible de lâcher. J'ai sincèrement passé un très bon moment avec ce premier tome, il sait introduire de bonnes bases tout en offrant une intrigue singulière.
Lien : http://la-citadelle-des-livr..
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Bien que ce livre ait un peu vieilli (utilisation de la game boy, etc ...), je trouve que tous les éléments pour faire un bon thriller d'espionnage sont réunis ici ; suspens, meurtre, tentative de meurtre, gadgets d'espion, actions ...
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Alex Rider est un adolescent de quatorze ans vit une vie banale dans un collège londonien quand sa vie bascule, il est enrôlé par le célèbre MI-6 pour une mission périlleuse, découvrir ce qui se cache sous le Stormbreaker, un très puissant ordinateur. Bon, quelques facilités au début, notamment quand Alex se fait recruter par l'agence d'espionnage mais globalement ça va. le livre ne m'a pas plus marqué que ça et en dehors du personnage principal, les autres semblent un peu fades je trouve. Je pense qu'il s'adresse plutôt à un public jeune adolescent qu'à du young-adult, c'est sans doute ce qui explique le caractère plutôt simple de l'intrigue.
J'ai quand même aimé, c'est plein d'action, de retournements de situations même si elles sont parfois capillotractées. Alex Rider est un bon personnage, facilement identifiable, le plus travaillé en tout cas. J'ai aussi aimé le petit côté thriller en plus de l'espionnage, je pense que c'est une bonne mise en jambe pour les jeunes lecteurs qui pourront ensuite grandir et aller sur des romans plus aboutis et plus complexes.

Pour faire court, si le roman manque de profondeur, l'action est belle et bien présente. le personnage principal a de quoi faire rêver tous les jeunes qui rêvent de devenir espions un jour et il s'adresse aussi bien aux filles qu'au garçon même si le héros est masculin.
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Aimant bien ce que j'avais déjà lu d'Antony Horowitz, la citadelle d'argent, l'humour pince sans rire des frères diamant alias simple, le diable et son valet, j'ai profité de l'occasion d'avoir sous la main le premier tome d'Alex Rider.
On reste dans du Horowitz, très calibré, très masculin, même si là c'est aussi un peu le genre, un pastiche de James Bond, qui veut aussi ça. Peu de personnages féminins: Jack l'américaine sympathique apparaît à peine, Mme Jones, figure maternelle mais sèche, Nadia Rami, la caricature de méchante à accent nazi (et une aimable bibliothécaire). Quant à Alex, il ne semble pas avoir 14 ans, et est hyper instruit et intelligent; l'auteur justifie ça par l'éducation donnée par son oncle qui le destinait peut-être à l'accompagner voire l'aider... Finalement il le remplacera! Mais Alex aura quelques élans de naïveté plus crédibles de la part d'un adolescent, des pièges un peu évidents mais qu'on ne grille pas forcément instantanément quand on a 14 ans et qu'on débute en tant qu'espion.

J'apprécie chez Horowitz son efficacité et sa rapidité à mettre en place l'intrigue, à une époque où maintenant chaque romancier.ère se sent obligé d'écrire 400 pages minimum par livre! Comme souvent chez lui, le héros frôle aussi la mort très régulièrement, et ce dès le début du livre où il manque finir dans la casse automobile... On ne manque pas de scènes d'action.

Petite remarque: Herod Sayle qui s'appelle Darius Sayle en version originale. Pour Horowitz je suppose que c'était une manière de faire allusion au souverain antique Darius vaincu par Alexandre le Grand, ici vaincu par Alex Rider ^^. Mais la traductrice Annick le Goyat a décidé de remplacer le prénom Darius par Herod, en référence je suppose à Hérode le Grand qui procéda au massacre des innocents par peur du futur Roi des Juifs, le Christ... je vous laisse deviner le plan diabolique du méchant!

Je n'ai jamais jugé les les couvertures françaises de ses romans très réussies et donnant envie; là, c'est plus soigné mais on verse dans... Je ne sais pas, un packaging de déodorant masculin : du noir, de l'argenté, une illustration de synthèse de sous-marin et des éclairs! Mennen ou Axe n'aurait pas fait mieux! Après, j'admets que le caractère plutôt viril de l'aventure ( paye ton stage commando, ta partie de billard avec le méchant , l'exploration de base secrète, le combat de quads, l'immersion dans la grotte, le saut en parachute de la fin hyper spectaculaire) complètement, mais complètement James Bond, s'y prête...

Alors bon, je suis un peu âgée maintenant (bientôt les 40 balais) par rapport au public visé par le livre, donc je rentre moins bien dans l'histoire, je vois plus la misogynie latente et les rouages ( ceci dit les rouages ça me dérange moins de les voir que la misogynie - et faire d'un Libanais le méchant n'est-il pas aussi un peu raciste? Aaah, ces anglais!), mais je pense que à l'âge ciblé par l'auteur, de 10 à 20 ans, je n'y aurais pas vu malice et j'aurais été enchantée de ma lecture.

Et Horowitz, avec son humour pince sans rire, sa manière très linéaire de constuire l'intrigue, ses savoureux méchants si caricaturaux, ses jeux de mots avec les noms, l'explication finale du méchant, son univers très masculin, se prête admirablement à cet exercice de James Bond version adolescent des années 2000.
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Roman d'espionnage jeunesse dans la même lignée que la série CHERUB ou Les effacés, celui-ci ressort positivement et réussit à être crédible. le tome 1 présente le personnage principal, Alex, dont l'oncle (qui était son tuteur) meurt dans un accident de voiture de façon plutôt louche. Alex a tôt fait de découvrir que son oncle a été assassiné et qu'il était en fait un agent secret du MI6. D'ailleurs, l'agence lui demande de prendre la relève dans une opération urgente qui nécessite l'utilisation d'un adolescent. Des ordinateurs (Stormbreaker) seront données à toutes les écoles du pays, mais le MI6 soupçonne quelque chose de louche. le récit est intrigant et Alex est assez intéressant pour qu'on ait envie de suivre ses aventures dans plus d'un tome. Ce premier tome est d'abord axé sur son entraînement et sur la découverte de ce qu'implique être un espion.

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Un roman d'espionnage jeunesse dont je garde un bon souvenir.

Un rythme vif et dynamique, un héro attachant de belles cascades... il répondait tout à fait à ce que j'en attendais et réclamais à l'époque.

Certes il y a un côté un peu stéréotypé du méchant mégalo et de l'espion adolescent malgré lui. Mais quand on a quatorze ans on ne s'arrête guère à ses détails, et le ton est plaisant.

Je le recommande vivement donc aux lecteurs et lectrices de cet âge.
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Si vous n'aimez pas la littérature pour adolescents, passez votre chemin !
Si comme moi, ça vous détend de vous y plonger de temps en temps, allez y sans hésitation... Il y a de l'action non stop et j'ai trouvé ce nouvel héros sympathique comme tout et sacrément courageux ;)
Ok, les méchants sont très méchants, les services secrets sont un peu balourds et les gentils bien gentils mais en même temps, si vous comparez avec un certain 007, mis à part la "balourdise" des espions, on est dans le même registre.
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